Agence France Presse
1 octobre 2004 vendredi 5:02 PM GMT
Référendum sur la Turquie: le PS "prend acte"
PARIS
1er oct 2004
Le PS a pris "acte" vendredi de la proposition de Jacques Chirac de
réviser la Constitution française pour garantir une consultation des
Français par référendum sur l'entrée de la Turquie dans l'Union
européenne et sur les élargissements ultérieurs.
Le PS rappelle que "cette entrée de la Turquie n'est qu'une hypothèse
et qu'elle ne sera possible que dans une dizaine d'années, une fois
qu'elle aura réglé un certain nombre de conditions, notamment sur la
démocratie et la reconnaissance du génocide arménien", selon un
communiqué de son porte-parole Julien Dray.
Jacques Chirac ayant précisé que "dans son esprit", ce référendum ne
concernerait pas la Roumanie, la Bulgarie et la Croatie, dont les
négociations d'adhésion "sont pratiquement achevées", M. Dray
souligne qu'il "ne peut y avoir de référendum concernant strictement
l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne".
"L'Europe étant amenée à évoluer, la question doit porter sur tout
nouvel élargissement et la Turquie ne peut être un cas particulier".
1 octobre 2004 vendredi 5:02 PM GMT
Référendum sur la Turquie: le PS "prend acte"
PARIS
1er oct 2004
Le PS a pris "acte" vendredi de la proposition de Jacques Chirac de
réviser la Constitution française pour garantir une consultation des
Français par référendum sur l'entrée de la Turquie dans l'Union
européenne et sur les élargissements ultérieurs.
Le PS rappelle que "cette entrée de la Turquie n'est qu'une hypothèse
et qu'elle ne sera possible que dans une dizaine d'années, une fois
qu'elle aura réglé un certain nombre de conditions, notamment sur la
démocratie et la reconnaissance du génocide arménien", selon un
communiqué de son porte-parole Julien Dray.
Jacques Chirac ayant précisé que "dans son esprit", ce référendum ne
concernerait pas la Roumanie, la Bulgarie et la Croatie, dont les
négociations d'adhésion "sont pratiquement achevées", M. Dray
souligne qu'il "ne peut y avoir de référendum concernant strictement
l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne".
"L'Europe étant amenée à évoluer, la question doit porter sur tout
nouvel élargissement et la Turquie ne peut être un cas particulier".