La Tribune
10 août 2006
CAFOUILLAGE SUR LA LICENCE RUSSE DE PERNOD-RICARD
Pernod-Ricard a été victime d'une fcheuse erreur technique. Hier, le
journal russe Kommersant a révélé que Zao PR Rouss, filiale du groupe
français, s'était vue retirer sa licence de distribution en Russie
pour des raisons sanitaires, à la demande du Rospotrebnadzor, le
service de protection des consommateurs russes. Une information jugée
préoccupante pour Pernod-Ricard dont le cognac arménien assure 55 %
des ventes de cognac en Russie.
En fait, il n'en est rien : le Rospotrebnadzor que citait le journal
a fait une erreur de publication. " Tout est en ordre avec leur
licence ", a indiqué un porte-parole de l'organisme.
Ce cafouillage fait suite à une série de polémiques que le
Rospotrebnadzor a suscitées, notamment en imposant un embargo sur des
vins moldaves et géorgiens. Il intervient aussi alors que les Russes
s'inquiètent d'une pénurie de vodka. Destiné à lutter contre l'alcool
frelaté, un nouveau timbre fiscal à apposer sur les bouteilles depuis
le 1er juillet dernier n'a pas été imprimé en quantités suffisantes.
10 août 2006
CAFOUILLAGE SUR LA LICENCE RUSSE DE PERNOD-RICARD
Pernod-Ricard a été victime d'une fcheuse erreur technique. Hier, le
journal russe Kommersant a révélé que Zao PR Rouss, filiale du groupe
français, s'était vue retirer sa licence de distribution en Russie
pour des raisons sanitaires, à la demande du Rospotrebnadzor, le
service de protection des consommateurs russes. Une information jugée
préoccupante pour Pernod-Ricard dont le cognac arménien assure 55 %
des ventes de cognac en Russie.
En fait, il n'en est rien : le Rospotrebnadzor que citait le journal
a fait une erreur de publication. " Tout est en ordre avec leur
licence ", a indiqué un porte-parole de l'organisme.
Ce cafouillage fait suite à une série de polémiques que le
Rospotrebnadzor a suscitées, notamment en imposant un embargo sur des
vins moldaves et géorgiens. Il intervient aussi alors que les Russes
s'inquiètent d'une pénurie de vodka. Destiné à lutter contre l'alcool
frelaté, un nouveau timbre fiscal à apposer sur les bouteilles depuis
le 1er juillet dernier n'a pas été imprimé en quantités suffisantes.