HOLLANDE ET DEVEDJIAN D'ACCORD SUR LE TEXTE SUR LE GENOCIDE ARMENIEN
Agence France Presse
9 octobre 2006 lundi
Patrick Devedjian, depute UMP et proche conseiller de Nicolas
Sarkozy, est tombe d'accord dimanche soir avec Francois Hollande,
premier secretaire du parti socialiste, sur la necessite de voter la
proposition de loi socialiste sur le genocide armenien.
Le texte, qui vient jeudi en discussion a l'Assemblee, impose des
sanctions a quiconque nierait le genocide armenien de 1915.
Presente deja en mai a l'assemblee, son examen avait ete suspendu
avant d'etre vote.
"La majorite avait alors fait une procedure de report, nous revenons
avec ce texte", a note Francois Hollande dans France Europe express
(France 3 et France-infos).
M. Devedjian a fait valoir que les lecons de la Turquie n'etaient
"pas très bien venues", puisqu'il y avait un article du code penal
turc qui "interdit d'affirmer l'existence du genocide".
Il a indique qu'il soutenait cette proposition de loi, "avec un
amendement tendant a la rendre raisonnable", qui ferait echapper aux
poursuites tout travail a caractère scientifique.
Nous devons le faire "dans un esprit d'interet general", a-t-il ajoute.
--Boundary_(ID_bcclGJ5cb6dy7zVZ89jzEg)--
Agence France Presse
9 octobre 2006 lundi
Patrick Devedjian, depute UMP et proche conseiller de Nicolas
Sarkozy, est tombe d'accord dimanche soir avec Francois Hollande,
premier secretaire du parti socialiste, sur la necessite de voter la
proposition de loi socialiste sur le genocide armenien.
Le texte, qui vient jeudi en discussion a l'Assemblee, impose des
sanctions a quiconque nierait le genocide armenien de 1915.
Presente deja en mai a l'assemblee, son examen avait ete suspendu
avant d'etre vote.
"La majorite avait alors fait une procedure de report, nous revenons
avec ce texte", a note Francois Hollande dans France Europe express
(France 3 et France-infos).
M. Devedjian a fait valoir que les lecons de la Turquie n'etaient
"pas très bien venues", puisqu'il y avait un article du code penal
turc qui "interdit d'affirmer l'existence du genocide".
Il a indique qu'il soutenait cette proposition de loi, "avec un
amendement tendant a la rendre raisonnable", qui ferait echapper aux
poursuites tout travail a caractère scientifique.
Nous devons le faire "dans un esprit d'interet general", a-t-il ajoute.
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