Souhayr Belhassen, a appelé à la libération immédiate des prisonniers
politiques en Arménie
ARMENIE
vendredi9 avril 2010, par Stéphane/armenews
Le 37ème congrès de la FIDH, par la voix de sa présidente, Souhayr
Belhassen, a appelé aujourd'hui à la libération immédiate des
prisonniers politiques en Arménie. La FIDH a également réitéré sa
demande d'une enquête indépendante et crédible sur les évènements de
mars 2008 et sur l'usage disproportionné de la force par les services
de sécurité. Enfin, la FIDH a exprimé ses préoccupations sur les
conditions d'organisation et de tenue des scrutins électoraux et sur
les obstacles à la liberté de l'information.
« Nous avons exprimé ces préoccupations à plusieurs reprises ces
derniers mois aux autorités arméniennes au plus haut niveau - et ce
matin encore au Président de la République, comme nous l'avons promis
hier aux familles des victimes et des prisonniers politiques », a
déclaré Souhayr Belhassen. « L'ensemble de ces points préoccupent le
congrès de la FIDH tout entier qui aujourd'hui, par ma voix, lance un
appel aux autorités : nous espérons des réponses concrètes à ces
préoccupations. Nous persisterons jusqu'à les obtenir », a-t-elle
ajouté.
`Libérer tous les prisonniers politiques et poursuivre en justice les
responsables de la mort de dix personnes lors des événements du 1er
mars, sont deux des conditions essentielles pour une justice efficace
en Arménie', a conclu Artak Kirakosyan, représentant du Civil Society
Institute, organisation membre de la FIDH en Arménie.
politiques en Arménie
ARMENIE
vendredi9 avril 2010, par Stéphane/armenews
Le 37ème congrès de la FIDH, par la voix de sa présidente, Souhayr
Belhassen, a appelé aujourd'hui à la libération immédiate des
prisonniers politiques en Arménie. La FIDH a également réitéré sa
demande d'une enquête indépendante et crédible sur les évènements de
mars 2008 et sur l'usage disproportionné de la force par les services
de sécurité. Enfin, la FIDH a exprimé ses préoccupations sur les
conditions d'organisation et de tenue des scrutins électoraux et sur
les obstacles à la liberté de l'information.
« Nous avons exprimé ces préoccupations à plusieurs reprises ces
derniers mois aux autorités arméniennes au plus haut niveau - et ce
matin encore au Président de la République, comme nous l'avons promis
hier aux familles des victimes et des prisonniers politiques », a
déclaré Souhayr Belhassen. « L'ensemble de ces points préoccupent le
congrès de la FIDH tout entier qui aujourd'hui, par ma voix, lance un
appel aux autorités : nous espérons des réponses concrètes à ces
préoccupations. Nous persisterons jusqu'à les obtenir », a-t-elle
ajouté.
`Libérer tous les prisonniers politiques et poursuivre en justice les
responsables de la mort de dix personnes lors des événements du 1er
mars, sont deux des conditions essentielles pour une justice efficace
en Arménie', a conclu Artak Kirakosyan, représentant du Civil Society
Institute, organisation membre de la FIDH en Arménie.