GEL DU PROCESSUS TURQUIE / ARMENIE - REACTION DE L'ASSOCIATION A.R.A.M.
Stephane
armenews
23 avril 2010
FRANCE
La decision annoncee aujourd'hui, par la coalition au pouvoir en
Armenie, de geler le processus de ratification des protocoles avec
la Turquie n'est pas une surprise.
En effet, de nombreux signes avant-coureurs ont precede ce choix.
Depuis octobre 2009, la Turquie s'est obstinee a rajouter des
preconditions qui n'existent pas dans les protocoles.
Aujourd'hui encore, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a
declare que " le succès de ce processus dependait des progrès entre
l'Armenie et l'Azerbaïdjan dans le conflit du Haut-Karabakh ".
Pour l'association pour la recherche et l'archivage de la memoire
armenienne (ARAM), le choix de la coalition en Armenie est une
decision logique.
La balle est maintenant dans le camp d'Ankara mais le retard que prend
le processus rapproche un peu plus la Turquie d'une echeance majeure
: les elections generales en 2011. Ce qui pourrait expliquer que la
situation se fige pour un certain temps.
" L'etablissement des relations normales entre les deux Etats est
une necessite. Rien n'est perdu et tout reste a faire " a confie le
president de l'association Jacques Ouloussian.
Stephane
armenews
23 avril 2010
FRANCE
La decision annoncee aujourd'hui, par la coalition au pouvoir en
Armenie, de geler le processus de ratification des protocoles avec
la Turquie n'est pas une surprise.
En effet, de nombreux signes avant-coureurs ont precede ce choix.
Depuis octobre 2009, la Turquie s'est obstinee a rajouter des
preconditions qui n'existent pas dans les protocoles.
Aujourd'hui encore, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a
declare que " le succès de ce processus dependait des progrès entre
l'Armenie et l'Azerbaïdjan dans le conflit du Haut-Karabakh ".
Pour l'association pour la recherche et l'archivage de la memoire
armenienne (ARAM), le choix de la coalition en Armenie est une
decision logique.
La balle est maintenant dans le camp d'Ankara mais le retard que prend
le processus rapproche un peu plus la Turquie d'une echeance majeure
: les elections generales en 2011. Ce qui pourrait expliquer que la
situation se fige pour un certain temps.
" L'etablissement des relations normales entre les deux Etats est
une necessite. Rien n'est perdu et tout reste a faire " a confie le
president de l'association Jacques Ouloussian.