LES DASHNAKS DERRIERE LES CRITIQUES DE KOCHARIAN A L'ENCONTRE DU GOUVERNEMENT
par Stephane
armenews
mardi30 mars 2010
Armenie
Un leader de la Federation Revolutionnaire Armenienne (Dashnaktsutyun)
a defendu jeudi l'ancien president Robert Kocharian dans sa critique
de la politique economique du gouvernement armenien et ses appels a
l'appui par le gouvernement a soutenir le secteur de la construction.
Dans une interview a l'agence de presse Mediamax, Robert Kocharian a
rejete une vue repandue que l'economie armenienne s'est contracte
brusquement l'annee dernière parce qu'elle trop dependante du
developpement trop rapide du secteur de la construction.
Il a pointe que des facteurs objectifs avaient conduit au boom
de la construction mais que ces derniers ont pris fin en dans le
dernier quart de 2008. Robert Kocharian a aussi pretendu que le
gouvernement aurait pu prevenir la recession de 2009 dans le secteur
de la construction s'il avait maintenu la demande "enorme" de nouveaux
logements et espace de bureau.
Armen Rustamian le leader de facto du parti Dashnaktsutyun en Armenie,
a dit que Kocharian a presente " des faits irrefutables " et a suggere
un remède correct quant a la possibilite du pays de sortir de la crise
economique. " Il dit la verite " a affirme Armen Rustamian a RFE/RL. "
Ce sont la des chiffres reels. Les autorites actuelles le nient-elles
? Non "
" Il est vrai que chaque personne peut se permettre d'acheter un
appartement. Mais il y avait une demande et il fallait l'employe "
a-t-il dit. Robert Kocharian a raison de presser que l'administration
du President Serge Sarkissian soutienne la demande de logement
et prenne d'autres mesures qui augmenteraient le secteur de la
construction, a ajoute Armen Rustamian.
Hrant Bagratian, un ancien Premier ministre et membre du Congrès
National Armenien (HAK), a reaffirme jeudi son rejet des declarations
de Kocharian. " La crise economique en 2009 etait si aiguë c'est
a cause de sa politique de construction irresponsable et inutile "
a dit Hrant Bagratian lors d'une conference de presse.
Hrant Bagratian a soutenu que la crise du boom de la construction est
dû a sa concentration dans le centre d'Erevan et resulte principalement
a la construction d'appartements de luxe et d'espace de bureau cher
d'un coût total de 3 milliards de $. " Ce 3 milliards de $ n'ont pas
servi a stimuler le developpement du pays, " a-t-il dit, alleguant
de nouveau que Kocharian en a personnellement profite.
Le chef du HAK a de nouveau pretendu que 12000 nouveaux appartements
doivent encore trouver des acheteurs. " En jugeant l'interview on
comprend que le souci principal de Kocharian est de les vendre,
" a-t-il dit.
Les remarques de Kocharian ont chauffe la speculation sur un possible
retour politique de l'ex-president.
Armen Rustamian a affirme que le Dashnaktsutyun ne complote pas
pour retourner au gouvernement ensemble avec Kocharian. " Nous ne
conditionnons absolument pas notre politique et nos decisions avec
cela " a-t-il dit. " C'est a Kocharian de decider que faire. Nous
decidons nos propres actions et les effectuerons nous-memes. "
par Stephane
armenews
mardi30 mars 2010
Armenie
Un leader de la Federation Revolutionnaire Armenienne (Dashnaktsutyun)
a defendu jeudi l'ancien president Robert Kocharian dans sa critique
de la politique economique du gouvernement armenien et ses appels a
l'appui par le gouvernement a soutenir le secteur de la construction.
Dans une interview a l'agence de presse Mediamax, Robert Kocharian a
rejete une vue repandue que l'economie armenienne s'est contracte
brusquement l'annee dernière parce qu'elle trop dependante du
developpement trop rapide du secteur de la construction.
Il a pointe que des facteurs objectifs avaient conduit au boom
de la construction mais que ces derniers ont pris fin en dans le
dernier quart de 2008. Robert Kocharian a aussi pretendu que le
gouvernement aurait pu prevenir la recession de 2009 dans le secteur
de la construction s'il avait maintenu la demande "enorme" de nouveaux
logements et espace de bureau.
Armen Rustamian le leader de facto du parti Dashnaktsutyun en Armenie,
a dit que Kocharian a presente " des faits irrefutables " et a suggere
un remède correct quant a la possibilite du pays de sortir de la crise
economique. " Il dit la verite " a affirme Armen Rustamian a RFE/RL. "
Ce sont la des chiffres reels. Les autorites actuelles le nient-elles
? Non "
" Il est vrai que chaque personne peut se permettre d'acheter un
appartement. Mais il y avait une demande et il fallait l'employe "
a-t-il dit. Robert Kocharian a raison de presser que l'administration
du President Serge Sarkissian soutienne la demande de logement
et prenne d'autres mesures qui augmenteraient le secteur de la
construction, a ajoute Armen Rustamian.
Hrant Bagratian, un ancien Premier ministre et membre du Congrès
National Armenien (HAK), a reaffirme jeudi son rejet des declarations
de Kocharian. " La crise economique en 2009 etait si aiguë c'est
a cause de sa politique de construction irresponsable et inutile "
a dit Hrant Bagratian lors d'une conference de presse.
Hrant Bagratian a soutenu que la crise du boom de la construction est
dû a sa concentration dans le centre d'Erevan et resulte principalement
a la construction d'appartements de luxe et d'espace de bureau cher
d'un coût total de 3 milliards de $. " Ce 3 milliards de $ n'ont pas
servi a stimuler le developpement du pays, " a-t-il dit, alleguant
de nouveau que Kocharian en a personnellement profite.
Le chef du HAK a de nouveau pretendu que 12000 nouveaux appartements
doivent encore trouver des acheteurs. " En jugeant l'interview on
comprend que le souci principal de Kocharian est de les vendre,
" a-t-il dit.
Les remarques de Kocharian ont chauffe la speculation sur un possible
retour politique de l'ex-president.
Armen Rustamian a affirme que le Dashnaktsutyun ne complote pas
pour retourner au gouvernement ensemble avec Kocharian. " Nous ne
conditionnons absolument pas notre politique et nos decisions avec
cela " a-t-il dit. " C'est a Kocharian de decider que faire. Nous
decidons nos propres actions et les effectuerons nous-memes. "