TOUS ENSEMBLE DEVANT LE SENAT Mardi 18 Mai 2010 A 18 Heures
Stephane
armenews
3 mai 2010
FRANCE
Appel aux opinions publiques
Le negationnisme est un delit. Pour le punir, il faut une loi....
Le CCAF appelle l'ensemble des Francais d'origine armenienne et
toutes les bonnes volontes attachees aux droits de l'homme et a la
condition humaine a se rendre le mardi 18 mai 2010 devant le Palais
du Luxembourg pour exiger des Senateurs l'adoption de la proposition
de loi sur la penalisation de la negation du genocide des Armeniens.
L'Assemblee Nationale a accompli le premier pas en adoptant ce texte
en octobre 2006. Depuis cette date, la procedure est bloquee au Senat.
Or, publiquement, tous les Partis representes au Parlement sont
favorables a son examen par la Haute Chambre de notre Republique. Dans
les faits, aucun ne bouge ! Aucun n'a le courage d'inscrire a l'ordre
du jour du Senat l'examen de ce texte digne du patrimoine universel
de notre Republique fondee sur les droits de l'Homme et du citoyen.
Alors que la France est de plus en plus le theâtre de propos
negationnistes a l'encontre du genocide des Armeniens, l'adoption de
ce texte conforterait la paix civile, l'ordre public et la cohesion
sociale. La France, se doit d'etre a l'ecoute de ces concitoyens
soucieux de defendre leurs droits naturels a la dignite.
La lutte contre le negationnisme n'enfreint pas la liberte pour
l'Histoire, mais protège l'histoire des interferences et des pressions
de la Turquie qui met ses moyens de 16ème puissance economique au
service de sa reecriture politique.
Le mensonge de la Turquie ne passera pas ! Sa strategie d'anesthesie
de la question armenienne se heurte et se heurtera toujours au mur
de la verite et a notre combat unitaire.
La reconnaissance du genocide des Armeniens n'est pas un acte partisan,
ni de droite, ni de gauche. C'est un acte citoyen, humaniste et
republicain. La France a eu le courage d'accomplir ce geste politique
par l'adoption d'une loi en 2001. A nous de lui donner les moyens d'en
trouver davantage pour faire barrage aux agressions negationnistes
qui s'inscrivent dans la continuite du genocide et en constituent le
volet politique.
Stephane
armenews
3 mai 2010
FRANCE
Appel aux opinions publiques
Le negationnisme est un delit. Pour le punir, il faut une loi....
Le CCAF appelle l'ensemble des Francais d'origine armenienne et
toutes les bonnes volontes attachees aux droits de l'homme et a la
condition humaine a se rendre le mardi 18 mai 2010 devant le Palais
du Luxembourg pour exiger des Senateurs l'adoption de la proposition
de loi sur la penalisation de la negation du genocide des Armeniens.
L'Assemblee Nationale a accompli le premier pas en adoptant ce texte
en octobre 2006. Depuis cette date, la procedure est bloquee au Senat.
Or, publiquement, tous les Partis representes au Parlement sont
favorables a son examen par la Haute Chambre de notre Republique. Dans
les faits, aucun ne bouge ! Aucun n'a le courage d'inscrire a l'ordre
du jour du Senat l'examen de ce texte digne du patrimoine universel
de notre Republique fondee sur les droits de l'Homme et du citoyen.
Alors que la France est de plus en plus le theâtre de propos
negationnistes a l'encontre du genocide des Armeniens, l'adoption de
ce texte conforterait la paix civile, l'ordre public et la cohesion
sociale. La France, se doit d'etre a l'ecoute de ces concitoyens
soucieux de defendre leurs droits naturels a la dignite.
La lutte contre le negationnisme n'enfreint pas la liberte pour
l'Histoire, mais protège l'histoire des interferences et des pressions
de la Turquie qui met ses moyens de 16ème puissance economique au
service de sa reecriture politique.
Le mensonge de la Turquie ne passera pas ! Sa strategie d'anesthesie
de la question armenienne se heurte et se heurtera toujours au mur
de la verite et a notre combat unitaire.
La reconnaissance du genocide des Armeniens n'est pas un acte partisan,
ni de droite, ni de gauche. C'est un acte citoyen, humaniste et
republicain. La France a eu le courage d'accomplir ce geste politique
par l'adoption d'une loi en 2001. A nous de lui donner les moyens d'en
trouver davantage pour faire barrage aux agressions negationnistes
qui s'inscrivent dans la continuite du genocide et en constituent le
volet politique.