LE SECOURS ARMENIEN FETE SON 100E ANNIVERSAIRE
par Stephane
armenews
jeudi6 mai 2010
REVUE DE PRESSE
Une foule immense au Palais des Congrès Emile Laloud a Dbaye pour
feter en grande pompe le centième anniversaire du Secours armenien.
Pour l'occasion, place a la musique d'inspiration armenienne,
mais aussi au repertoire classique international avec l'Orchestre
philharmonique libanais, place sous la houlette de maestro Harout
Fazlian. En invites d'honneur, le pianiste virtuose Vardan Mamikonian
et la soprano Anahid Mikhitaryan pour un choix de pages entre brio du
clavier avec Sergueï Rachmaninov et tremolos et vibratos des grands
airs de l'art lyrique. En première partie, les Variations pour piano
et orchestre de Paganini selon les envolees de Rachmaninov. Bravoure
absolue aux touches d'ivoire pour suppleer aux magiques coups d'archet.
Ont resonne ensuite, après l'entracte, dans la grande salle, le Kilikia
de Yeranian, une aria de Jules Cesar de Haëndel, l'ouverture d'Anouch
de Tigranian et la celèbre scène de la folie, de meme que des pages
de Bizet dans Carmen et L'Arlesienne, une aria de Donizetti tiree de
Linda di Chamounix, ainsi que le très colore Bolero de Ch.
Lecoq et la semillante chanson espagnole, extrait des Filles de Cadix
de Leo Delibes. Tonnerre d'applaudissements pour une soiree musicale
qui a enchante l'auditoire.
From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress
par Stephane
armenews
jeudi6 mai 2010
REVUE DE PRESSE
Une foule immense au Palais des Congrès Emile Laloud a Dbaye pour
feter en grande pompe le centième anniversaire du Secours armenien.
Pour l'occasion, place a la musique d'inspiration armenienne,
mais aussi au repertoire classique international avec l'Orchestre
philharmonique libanais, place sous la houlette de maestro Harout
Fazlian. En invites d'honneur, le pianiste virtuose Vardan Mamikonian
et la soprano Anahid Mikhitaryan pour un choix de pages entre brio du
clavier avec Sergueï Rachmaninov et tremolos et vibratos des grands
airs de l'art lyrique. En première partie, les Variations pour piano
et orchestre de Paganini selon les envolees de Rachmaninov. Bravoure
absolue aux touches d'ivoire pour suppleer aux magiques coups d'archet.
Ont resonne ensuite, après l'entracte, dans la grande salle, le Kilikia
de Yeranian, une aria de Jules Cesar de Haëndel, l'ouverture d'Anouch
de Tigranian et la celèbre scène de la folie, de meme que des pages
de Bizet dans Carmen et L'Arlesienne, une aria de Donizetti tiree de
Linda di Chamounix, ainsi que le très colore Bolero de Ch.
Lecoq et la semillante chanson espagnole, extrait des Filles de Cadix
de Leo Delibes. Tonnerre d'applaudissements pour une soiree musicale
qui a enchante l'auditoire.
From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress