Simon Yessayan « la frontière de l'Arménie ira jusqu'au fleuve Koura
si l'Azerbaïdjan déclenche une guerre »
ARMENIE-AZERBAÏDJAN
dimanche9 mai 2010, par Krikor Amirzayan/armenews
« Sans la victoire lors de la Guerre Patriotique, le peuple arménien
aurait disparu ! Cette victoire était décisive pour nous les Arméniens
» affirma hier le Président du conseil des vétérans de guerre
d'Arménie, Simon Yessayan lors d'une conférence de presse à Erévan. S.
Yessayan a par ailleurs affirmé que le mois de mai avait une
signification toute particulière pour les Arméniens. « Sans la
victoire de la Seconde guerre mondiale, il n'y aurait pas eu la
libération de Chouchi » fait aussitôt la parallèle S. Yessayan. Il a
estimé que les quelque 3 600 vétérans de guerre recensés aujourd'hui
en Arménie ont besoin d'avantage du soutien de l'Etat dans leurs soins
et leurs pensions.
Revenant sur les déclarations guerrières de l'Azerbaïdjan, S. Yessayan
a dit « ces derniers temps l'Azerbaïdjan parle beaucoup trop souvent
de la guerre, mais je dois vous dire que l'armée arménienne est plus
forte, et plusieurs fois plus forte que celle du temps de ses
victoires face à l'Azerbaïdjan (...) notre armée peut répliquer à tout
moment à une éventuelle attaque azérie (...) mais nous, les Arméniens
ne souhaitons pas la guerre car chaque guerre procure des victimes,
mais si l'Azerbaïdjan essaie de la déclencher, nous sommes convaincus
que la frontière de l'Arménie ira jusqu'au fleuve Koura ».
si l'Azerbaïdjan déclenche une guerre »
ARMENIE-AZERBAÏDJAN
dimanche9 mai 2010, par Krikor Amirzayan/armenews
« Sans la victoire lors de la Guerre Patriotique, le peuple arménien
aurait disparu ! Cette victoire était décisive pour nous les Arméniens
» affirma hier le Président du conseil des vétérans de guerre
d'Arménie, Simon Yessayan lors d'une conférence de presse à Erévan. S.
Yessayan a par ailleurs affirmé que le mois de mai avait une
signification toute particulière pour les Arméniens. « Sans la
victoire de la Seconde guerre mondiale, il n'y aurait pas eu la
libération de Chouchi » fait aussitôt la parallèle S. Yessayan. Il a
estimé que les quelque 3 600 vétérans de guerre recensés aujourd'hui
en Arménie ont besoin d'avantage du soutien de l'Etat dans leurs soins
et leurs pensions.
Revenant sur les déclarations guerrières de l'Azerbaïdjan, S. Yessayan
a dit « ces derniers temps l'Azerbaïdjan parle beaucoup trop souvent
de la guerre, mais je dois vous dire que l'armée arménienne est plus
forte, et plusieurs fois plus forte que celle du temps de ses
victoires face à l'Azerbaïdjan (...) notre armée peut répliquer à tout
moment à une éventuelle attaque azérie (...) mais nous, les Arméniens
ne souhaitons pas la guerre car chaque guerre procure des victimes,
mais si l'Azerbaïdjan essaie de la déclencher, nous sommes convaincus
que la frontière de l'Arménie ira jusqu'au fleuve Koura ».