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L'OMBUDSMAN DEMANDE AUX PROPRIETAIRES DE KIOSQUES DE SE BATTRE
Stephane
armenews.com
lundi 22 aout 2011
ARMENIE
L'Ombudsman en charge des droits de l'homme en Armenie Karen Andreasian
a presse les proprietaires de kiosques a Erevan de se lancer dans
" une lutte politique " contre le gouvernement qui essaye de fermer
leurs boutiques.
" Si les motifs [pour la fermeture des kiosques] ne sont pas
absolument legaux dans les affaires vous impliquant, je vous aviserais
... d'entretenir vos protestations non pas comme une lutte legale,
mais comme une lutte politique " a dit Karen Andreasian.
" Vous devez m'interpeller de facon legale parce que j'ai quelque
chose a faire ici " a-t-il dit a un groupe de proprietaires lors
d'une reunion qui s'est tenue dans son bureau.
La reunion est venue deux jours après que Karen Andreasian ait
condamne comme illegale la fermeture controversee de centaines de
kiosques ordonne par le Maire d'Erevan Karen Karapetian. Il a dit en
particulier que le bureau du maire a viole la loi quand il a essaye
de demonter plusieurs petits magasins dans le district d' Arabkir la
semaine dernière.
Un porte-parole de Karapetian, Artur Gevorgian, a admis que leurs
proprietaires avaient recu a tort des avis ecrits les informant de
la fermeture prochaine de leurs affaires. Il a blâme " l'erreur "
sur l'administration du district et a dit que ces kiosques ne seront
pas demontes.
Arthur Gevorgian a aussi reitere les declarations de Karapetian
que l'ordre controverse affectera seulement les kiosques n'ayant pas
d'autorisations officielles ou qui sont places sur " des rues centrales
". Les gens qui y travaillent recevront une " compensation adequate
" ou d'autres " offres emplois " a-t-il dit.
Les commercants ont ecarte les engagements du gouvernement disant
que des centaines d'entre eux sont toujours laissees sans source
de revenu. Des douzaines d'entre eux ont de nouveau manifeste a
l'exterieur du bâtiment du gouvernement a Erevan.
" Cela cree un grand problème socio-economique, ce n'est pas des
caprices " a dit Arevik, un membre feminin du comite. " L'apparence
de la ville est secondaire quand est en jeu la survie du peuple ".
" Tout ce que nous voulons est de continuer a travailler et d'employer
ce que nous avons cree " a-t-elle ajoute.
Le parti Zharangutyun (Heritage) a exige des auditions urgentes
au Parlement.
Stephane
armenews.com
lundi 22 aout 2011
ARMENIE
L'Ombudsman en charge des droits de l'homme en Armenie Karen Andreasian
a presse les proprietaires de kiosques a Erevan de se lancer dans
" une lutte politique " contre le gouvernement qui essaye de fermer
leurs boutiques.
" Si les motifs [pour la fermeture des kiosques] ne sont pas
absolument legaux dans les affaires vous impliquant, je vous aviserais
... d'entretenir vos protestations non pas comme une lutte legale,
mais comme une lutte politique " a dit Karen Andreasian.
" Vous devez m'interpeller de facon legale parce que j'ai quelque
chose a faire ici " a-t-il dit a un groupe de proprietaires lors
d'une reunion qui s'est tenue dans son bureau.
La reunion est venue deux jours après que Karen Andreasian ait
condamne comme illegale la fermeture controversee de centaines de
kiosques ordonne par le Maire d'Erevan Karen Karapetian. Il a dit en
particulier que le bureau du maire a viole la loi quand il a essaye
de demonter plusieurs petits magasins dans le district d' Arabkir la
semaine dernière.
Un porte-parole de Karapetian, Artur Gevorgian, a admis que leurs
proprietaires avaient recu a tort des avis ecrits les informant de
la fermeture prochaine de leurs affaires. Il a blâme " l'erreur "
sur l'administration du district et a dit que ces kiosques ne seront
pas demontes.
Arthur Gevorgian a aussi reitere les declarations de Karapetian
que l'ordre controverse affectera seulement les kiosques n'ayant pas
d'autorisations officielles ou qui sont places sur " des rues centrales
". Les gens qui y travaillent recevront une " compensation adequate
" ou d'autres " offres emplois " a-t-il dit.
Les commercants ont ecarte les engagements du gouvernement disant
que des centaines d'entre eux sont toujours laissees sans source
de revenu. Des douzaines d'entre eux ont de nouveau manifeste a
l'exterieur du bâtiment du gouvernement a Erevan.
" Cela cree un grand problème socio-economique, ce n'est pas des
caprices " a dit Arevik, un membre feminin du comite. " L'apparence
de la ville est secondaire quand est en jeu la survie du peuple ".
" Tout ce que nous voulons est de continuer a travailler et d'employer
ce que nous avons cree " a-t-elle ajoute.
Le parti Zharangutyun (Heritage) a exige des auditions urgentes
au Parlement.