REVUE DE PRESSE
Déjà un mois que je suis ici au Karabakh !
Achod Papazian (Ile-De-France, France)
Pour faire le résumé des épisodes précédents, je travaille donc à
Shushi, au Naregatsi Art Institute, une structure fondée en 2006 et
qui permet aux jeunes Shushetsis de pratiquer l'art sous toutes ses
formes. J'y enseigne la guitare et le français. J'ai environ une
trentaine d'élèves et c'est un grand plaisir de travailler avec eux.
Ils sont curieux, attentifs et doux. Certains d'entre eux sont déjà
tombés amoureux de la guitare et c'est tout l'objectif de mon travail.
J'enseigne le français quatre fois par semaine en petits groupes, en
partant de zéro...kamats, kamats ... euuuuh yavash, yavash ! (dans le
dialecte d'ici) Ces cours de français sont en même temps des cours
d'arménien pour moi, et l'enthousiasme de mes chers élèves rend la
tche passionnante. En somme, j'apprends à enseigner.
A propos de la langue : j'ai décidé de venir au Karabakh afin de ne
parler QU'EN ARMENIEN. Pas de français, d'anglais... A Erevan, on me
mettait en garde cinq fois par jour : « Mais tu ne comprendras pas
leur dialecte, même nous on ne le comprend pas ! » En effet, le
dialecte est hermétique, mais tous ceux que j'ai rencontrés parlent
aussi bien ce dialecte qu'un arménien littéraire plus clair qu'à
Erevan. En mois, mon niveau en arménien a fait un bond de géant. Je
commence à lire de la littérature et à faire des blagues stupides dans
ma langue « paternelle ».
pour lire la suite cliquer sur le lien
http://birthrightarmenia.wordpress.com/2011/11/09/deja-un-mois-que-je-suis-ici-au-karabakh/
dimanche 11 décembre 2011,
Stéphane ©armenews.com
From: Baghdasarian
Déjà un mois que je suis ici au Karabakh !
Achod Papazian (Ile-De-France, France)
Pour faire le résumé des épisodes précédents, je travaille donc à
Shushi, au Naregatsi Art Institute, une structure fondée en 2006 et
qui permet aux jeunes Shushetsis de pratiquer l'art sous toutes ses
formes. J'y enseigne la guitare et le français. J'ai environ une
trentaine d'élèves et c'est un grand plaisir de travailler avec eux.
Ils sont curieux, attentifs et doux. Certains d'entre eux sont déjà
tombés amoureux de la guitare et c'est tout l'objectif de mon travail.
J'enseigne le français quatre fois par semaine en petits groupes, en
partant de zéro...kamats, kamats ... euuuuh yavash, yavash ! (dans le
dialecte d'ici) Ces cours de français sont en même temps des cours
d'arménien pour moi, et l'enthousiasme de mes chers élèves rend la
tche passionnante. En somme, j'apprends à enseigner.
A propos de la langue : j'ai décidé de venir au Karabakh afin de ne
parler QU'EN ARMENIEN. Pas de français, d'anglais... A Erevan, on me
mettait en garde cinq fois par jour : « Mais tu ne comprendras pas
leur dialecte, même nous on ne le comprend pas ! » En effet, le
dialecte est hermétique, mais tous ceux que j'ai rencontrés parlent
aussi bien ce dialecte qu'un arménien littéraire plus clair qu'à
Erevan. En mois, mon niveau en arménien a fait un bond de géant. Je
commence à lire de la littérature et à faire des blagues stupides dans
ma langue « paternelle ».
pour lire la suite cliquer sur le lien
http://birthrightarmenia.wordpress.com/2011/11/09/deja-un-mois-que-je-suis-ici-au-karabakh/
dimanche 11 décembre 2011,
Stéphane ©armenews.com
From: Baghdasarian