GENOCIDE ARMENIEN : BOYER (UMP) STUPEFAITE PAR LE NIVEAU DE REACTION DE LA TURQUIE
armenews.com
mercredi 21 decembre 2011
La deputee UMP Valerie Boyer, qui va defendre jeudi la proposition
de loi sur la penalisation de la negation du genocide armenien,
s'est declaree mardi "stupefaite par le niveau de reactions des Turcs".
"Aujourd'hui, les Turcs pratiquent la diplomatie de la menace. C'est
particulièrement choquant et l'on est stupefait par le niveau de
reactions des Turcs", a declare a l'AFP Valerie Boyer.
La proposition de loi de la deputee des Bouches-du-Rhône, co-signee
par plus d'une quarantaine de deputes de la majorite presidentielle,
propose de sanctionner la contestation des genocides reconnus par la
loi d'un an de prison et de 45.000 euros d'amendes.
Elle a suscite la colère de la Turquie qui menace la France de
represailles diplomatiques et economiques si le texte est adopte.
"La diplomatie de la menace est particulièrement archaïque. C'est
une ingerence qui ne peut que renforcer la determination des
parlementaires", a insiste Mme Boyer.
"Cette proposition est l'aboutissement d'un long processus legislatif
qui a demarre avec la reconnaissance du genocide armenien en 2001. Il
fallait aller plus loin avec la penalisation de la contestation du
genocide", a encore affirme cette elue, selon laquelle cette "decision
des parlementaires francais est inspiree par les droits de l'Homme"
et "n'est dirigee contre aucun pays".
armenews.com
mercredi 21 decembre 2011
La deputee UMP Valerie Boyer, qui va defendre jeudi la proposition
de loi sur la penalisation de la negation du genocide armenien,
s'est declaree mardi "stupefaite par le niveau de reactions des Turcs".
"Aujourd'hui, les Turcs pratiquent la diplomatie de la menace. C'est
particulièrement choquant et l'on est stupefait par le niveau de
reactions des Turcs", a declare a l'AFP Valerie Boyer.
La proposition de loi de la deputee des Bouches-du-Rhône, co-signee
par plus d'une quarantaine de deputes de la majorite presidentielle,
propose de sanctionner la contestation des genocides reconnus par la
loi d'un an de prison et de 45.000 euros d'amendes.
Elle a suscite la colère de la Turquie qui menace la France de
represailles diplomatiques et economiques si le texte est adopte.
"La diplomatie de la menace est particulièrement archaïque. C'est
une ingerence qui ne peut que renforcer la determination des
parlementaires", a insiste Mme Boyer.
"Cette proposition est l'aboutissement d'un long processus legislatif
qui a demarre avec la reconnaissance du genocide armenien en 2001. Il
fallait aller plus loin avec la penalisation de la contestation du
genocide", a encore affirme cette elue, selon laquelle cette "decision
des parlementaires francais est inspiree par les droits de l'Homme"
et "n'est dirigee contre aucun pays".