LOI SUR LE GENOCIDE ARMENIEN : ECOLOGISTES ET RADICAUX DE GAUCHE CRITIQUES
Stephane
armenews.com
lundi 26 decembre 2011
Les deputes ecologistes n'ont pas participe au vote sur la proposition
de loi reprimant la negation des genocides et les senateurs radicaux
de gauche ne voteront pas ce texte lorsqu'il passera devant la Haute
assemblee, a-t-on appris auprès de ces deux mouvements.
Dans un communique, Jean-Michel Baylet, president du Parti radical de
gauche, a annonce que les senateurs de son parti "ne voteront pas la
proposition de loi" car "les radicaux de gauche sont opposes a cette
nouvelle loi memorielle".
"La France a deja reconnu le genocide armenien par la loi du 29 janvier
2001, il est donc inutile de legiferer a nouveau sur cette question"
a ajoute M. Baylet.
De son cote, Francois de Rugy, depute EELV, a indique a l'AFP que lui
et ses deux collègues a l'Assemblee n'avaient pas participe au vote.
"Naturellement nous sommes pour la reconnaissance du genocide armenien,
mais nous refusons les lois qui font dire aux tribunaux l'Histoire,
quel que soit le sujet", a-t-il explique.
Stephane
armenews.com
lundi 26 decembre 2011
Les deputes ecologistes n'ont pas participe au vote sur la proposition
de loi reprimant la negation des genocides et les senateurs radicaux
de gauche ne voteront pas ce texte lorsqu'il passera devant la Haute
assemblee, a-t-on appris auprès de ces deux mouvements.
Dans un communique, Jean-Michel Baylet, president du Parti radical de
gauche, a annonce que les senateurs de son parti "ne voteront pas la
proposition de loi" car "les radicaux de gauche sont opposes a cette
nouvelle loi memorielle".
"La France a deja reconnu le genocide armenien par la loi du 29 janvier
2001, il est donc inutile de legiferer a nouveau sur cette question"
a ajoute M. Baylet.
De son cote, Francois de Rugy, depute EELV, a indique a l'AFP que lui
et ses deux collègues a l'Assemblee n'avaient pas participe au vote.
"Naturellement nous sommes pour la reconnaissance du genocide armenien,
mais nous refusons les lois qui font dire aux tribunaux l'Histoire,
quel que soit le sujet", a-t-il explique.