" ARMENIE : UNE MERE DE SIX ENFANTS TROUVE LA JOIE DANS SES GOSSES ET ROSES " PAR GRISHA BALASANYAN
Stephane
armenews.com
mercredi 20 juillet 2011
La famille Hakobyan vit dans Kapan, une ville dans le sud de
l'Arrmenie. Pour joindre les deux bouts, tous les enfants, meme les
plus petits sont forces de ceuillir des baies dans la foret pour
les vendre.
Ils quittent la maison tôt le matin avec leur grand-mère. Quand nous
sommes arrives, deux des gosses etaient avec la grand-mère. " Les
baies n'ont pas encore mûri sur les buissons epineux et les vignes
" a dit leur maman Medya.
La famille composee de dix personnes vit dans une maison delabree -
la mère et père avec leurs 6 enfants et les grands-parents.
Quatre des six gosses ont l'âge d'etre scolarises et se trouvent a la
Pension Kapan où ils sont alimentes et suivent les cours des classes.
Pendant les jours feries d'ete ils aident a la maison avec les travaux
de menage de la famille.
Il y a neuf ans les Hakobyan ont achete la maison pour 200 $. Elle
n'a toujours pas ete officiellement enregistree en leur nom parce
que les honoraires du gouvernement coûtent chers. Aucune reparation
n'a ete faite dans la structure.
Le toit est fait de bois et quelques poutres ont pourri. Quelques-unes
des fenetres sont cassees et les murs ne sont pas plâtres. Une
minuscule TV est assise dans la salle de sejour. Les enfants nous ont
dit que la TV doit etre allume 10 minutes avant que leur programme
favori debute. Cela prend longtemps a la TV pour se rechauffer.
Medya a dit qu'il y a quatre ans leur vie etait complètement
differente. Son mari, Artur, travaillait dans un combinat Cuivre -
Molybdenum comme mecanicien et gagnait assez pour soutenir la famille.
Les choses se sont degradees après qu'il ait recu quelque chose dans
l'un de ses yeux. Sa vue a commence a s'affaiblir. Les docteurs l'ont
avise d'eviter le travail lourd et poussiereux. Medya a dit que son
mari prefererait prendre des risques au lieu de rester inoccupe.
" D'abord, je ne pouvais pas imaginer que les choses deviendraient
si mauvaises. Mon mari gagnait 120000 drams par mois et parfois plsu
grâce a des emplois saisonniers. Nous avons vecu une vie normale,
mieux que beaucoup. Mon mari achetait toujours des bananes et des
oranges pour les gosses. Regardez-nous maintenant " .
Mais ils s'accrochent toujours a l'espoir d'un meilleur avenir. En
decrivant les conditions dans lesquelles ils vivent, il a semble que
Medya, un sourire sur son visage, a accepte la realite actuelle. Le
fait que les filles de 8 et 10 ans dorment dans le lit a côte de celui
de leurs parents n'a pas semble la derouter. Artur n'etait pas a la
maison quand nous l'avons visite. Quand sa femme lui a telephone,
disant que des journalistes etaient arrives, nous l'avons entendu
dire qu'il ne viendrait pas parce qu'il etait embarrasse.
En plus de ce qu'ils trouvent dans la foret pour le vendre a famille
recoit aussi une allocation de 58000 drams. Le père d'Artur obtient
aussi 25000 drams de pension. Medya a aussi mentionne ils ont une
vache qui fournit du lait.
Etonnamment, Medya a aussi dit qu'ils sont capables de rembourser
quelques-unes de leurs dettes alimentaires aux commercants locaux. Il
semble que les marchands ont confiance dans le père d'Artur et l'homme
âge fait personnellement les achats.
La famille a contracte environ 150000 drams de dette auprès des
epiceries locales.
Les gosses obtiennent des vetements et des affaires scolaires du
centre de soin. À quelques occasions l'ONG Vision du Monde a fait
don de quelques vetements aux gosses.
Medya dit qu'elle n'a jamais recu d'aide du gouvernement pour elevers
tant d'enfants. " Si je pouvais revenir en arrière alors je n'aurais
pas eu tant de gosses " a-t-elle dit.
Elle ajoute, cependan que ses enfants sont une benediction qui
fournissent beaucoup de joie malgre les difficultes.
" Ce sont de bons gosses qui ne demandent pas beaucoup. Nous jouons
avec eux et participons meme aux expositions qu'ils font pour eux. À
l'occasion du Jour International Des Enfants, la Municipalite Kapan
a fait don de deux bouteilles d'huile vegetale, de quelques kilos de
riz, de sarrasin et des lentilles et du cafe et du the.
Comme nous partions, Medya nous a montre son petit jardin avec des
tomates et des poivrons.
" Je ne veux pas que les gens aient l'impression que nous sommes un
groupe de faineants " a-t-elle plaisante.
" Prenez quelques photos de mes belles roses. Ils sont ma fierte et
joie ".
http://hetq.am
mercredi 20 juillet 2011, [email protected]
Stephane
armenews.com
mercredi 20 juillet 2011
La famille Hakobyan vit dans Kapan, une ville dans le sud de
l'Arrmenie. Pour joindre les deux bouts, tous les enfants, meme les
plus petits sont forces de ceuillir des baies dans la foret pour
les vendre.
Ils quittent la maison tôt le matin avec leur grand-mère. Quand nous
sommes arrives, deux des gosses etaient avec la grand-mère. " Les
baies n'ont pas encore mûri sur les buissons epineux et les vignes
" a dit leur maman Medya.
La famille composee de dix personnes vit dans une maison delabree -
la mère et père avec leurs 6 enfants et les grands-parents.
Quatre des six gosses ont l'âge d'etre scolarises et se trouvent a la
Pension Kapan où ils sont alimentes et suivent les cours des classes.
Pendant les jours feries d'ete ils aident a la maison avec les travaux
de menage de la famille.
Il y a neuf ans les Hakobyan ont achete la maison pour 200 $. Elle
n'a toujours pas ete officiellement enregistree en leur nom parce
que les honoraires du gouvernement coûtent chers. Aucune reparation
n'a ete faite dans la structure.
Le toit est fait de bois et quelques poutres ont pourri. Quelques-unes
des fenetres sont cassees et les murs ne sont pas plâtres. Une
minuscule TV est assise dans la salle de sejour. Les enfants nous ont
dit que la TV doit etre allume 10 minutes avant que leur programme
favori debute. Cela prend longtemps a la TV pour se rechauffer.
Medya a dit qu'il y a quatre ans leur vie etait complètement
differente. Son mari, Artur, travaillait dans un combinat Cuivre -
Molybdenum comme mecanicien et gagnait assez pour soutenir la famille.
Les choses se sont degradees après qu'il ait recu quelque chose dans
l'un de ses yeux. Sa vue a commence a s'affaiblir. Les docteurs l'ont
avise d'eviter le travail lourd et poussiereux. Medya a dit que son
mari prefererait prendre des risques au lieu de rester inoccupe.
" D'abord, je ne pouvais pas imaginer que les choses deviendraient
si mauvaises. Mon mari gagnait 120000 drams par mois et parfois plsu
grâce a des emplois saisonniers. Nous avons vecu une vie normale,
mieux que beaucoup. Mon mari achetait toujours des bananes et des
oranges pour les gosses. Regardez-nous maintenant " .
Mais ils s'accrochent toujours a l'espoir d'un meilleur avenir. En
decrivant les conditions dans lesquelles ils vivent, il a semble que
Medya, un sourire sur son visage, a accepte la realite actuelle. Le
fait que les filles de 8 et 10 ans dorment dans le lit a côte de celui
de leurs parents n'a pas semble la derouter. Artur n'etait pas a la
maison quand nous l'avons visite. Quand sa femme lui a telephone,
disant que des journalistes etaient arrives, nous l'avons entendu
dire qu'il ne viendrait pas parce qu'il etait embarrasse.
En plus de ce qu'ils trouvent dans la foret pour le vendre a famille
recoit aussi une allocation de 58000 drams. Le père d'Artur obtient
aussi 25000 drams de pension. Medya a aussi mentionne ils ont une
vache qui fournit du lait.
Etonnamment, Medya a aussi dit qu'ils sont capables de rembourser
quelques-unes de leurs dettes alimentaires aux commercants locaux. Il
semble que les marchands ont confiance dans le père d'Artur et l'homme
âge fait personnellement les achats.
La famille a contracte environ 150000 drams de dette auprès des
epiceries locales.
Les gosses obtiennent des vetements et des affaires scolaires du
centre de soin. À quelques occasions l'ONG Vision du Monde a fait
don de quelques vetements aux gosses.
Medya dit qu'elle n'a jamais recu d'aide du gouvernement pour elevers
tant d'enfants. " Si je pouvais revenir en arrière alors je n'aurais
pas eu tant de gosses " a-t-elle dit.
Elle ajoute, cependan que ses enfants sont une benediction qui
fournissent beaucoup de joie malgre les difficultes.
" Ce sont de bons gosses qui ne demandent pas beaucoup. Nous jouons
avec eux et participons meme aux expositions qu'ils font pour eux. À
l'occasion du Jour International Des Enfants, la Municipalite Kapan
a fait don de deux bouteilles d'huile vegetale, de quelques kilos de
riz, de sarrasin et des lentilles et du cafe et du the.
Comme nous partions, Medya nous a montre son petit jardin avec des
tomates et des poivrons.
" Je ne veux pas que les gens aient l'impression que nous sommes un
groupe de faineants " a-t-elle plaisante.
" Prenez quelques photos de mes belles roses. Ils sont ma fierte et
joie ".
http://hetq.am
mercredi 20 juillet 2011, [email protected]