EREVAN
Accrochage entre forces de police et petits marchands
L'ensemble de la presse arménienne fait état de l'accrochage de jeudi,
devant le btiment du gouvernement, entre les petits marchands des
rues soutenus par les députés du parti d'opposition au parlement
Héritage et la police. Juste après l'incident, les députés ont réussi
à s'entretenir avec le PM, qui a chargé le chef de la police
d'effectuer une enquête administrative. Selon les députés, les
policiers ont violé la loi sur les rassemblements pacifiques
appliquant la force non seulement contre les manifestants, mais aussi
contre les députés bénéficiant de l'immunité parlementaire. Lors de
son entretien téléphonique avec le chef de la police, le Président de
l'AN s'est dit préoccupé par cet accrochage.
Commentant cet incident, Galoust Sahakian, chef du groupe
parlementaire du parti Républicain a remarqué que « la place du député
est à la tribune de l'AN et non pas dans les rues ». Le service de
presse de la police a qualifié les actions des députés de «
provocation ». Le parti Héritage a condamné, à son tour, les actions
de la police réclamant la punition des coupables. L'attitude des
policiers ont été également condamnées par les partis d'opposition
Dachnak (au parlement), le CNA et le Parti du peuple.
La police voulant évacuer les manifestants, un député, en veste de
cuir noir, rappelle qu'ils se trouvent sur la place centrale, là où il
n'y a pas de circulation et qui n'est pas une "zone réservée à
l'armée". Il exige qu'on explique la loi concernant les manifestations
aux policiers de terrain.
"Je suis député, et personne n'a le droit de violer mes droits, ni
d'utiliser illégalement la force contre moi [...], c'est inacceptable
! C'est ce qui se passe dans les pays totalitaires !", a-t-il
protesté.
samedi 5 mars 2011,
Jean [email protected]
From: A. Papazian
Accrochage entre forces de police et petits marchands
L'ensemble de la presse arménienne fait état de l'accrochage de jeudi,
devant le btiment du gouvernement, entre les petits marchands des
rues soutenus par les députés du parti d'opposition au parlement
Héritage et la police. Juste après l'incident, les députés ont réussi
à s'entretenir avec le PM, qui a chargé le chef de la police
d'effectuer une enquête administrative. Selon les députés, les
policiers ont violé la loi sur les rassemblements pacifiques
appliquant la force non seulement contre les manifestants, mais aussi
contre les députés bénéficiant de l'immunité parlementaire. Lors de
son entretien téléphonique avec le chef de la police, le Président de
l'AN s'est dit préoccupé par cet accrochage.
Commentant cet incident, Galoust Sahakian, chef du groupe
parlementaire du parti Républicain a remarqué que « la place du député
est à la tribune de l'AN et non pas dans les rues ». Le service de
presse de la police a qualifié les actions des députés de «
provocation ». Le parti Héritage a condamné, à son tour, les actions
de la police réclamant la punition des coupables. L'attitude des
policiers ont été également condamnées par les partis d'opposition
Dachnak (au parlement), le CNA et le Parti du peuple.
La police voulant évacuer les manifestants, un député, en veste de
cuir noir, rappelle qu'ils se trouvent sur la place centrale, là où il
n'y a pas de circulation et qui n'est pas une "zone réservée à
l'armée". Il exige qu'on explique la loi concernant les manifestations
aux policiers de terrain.
"Je suis député, et personne n'a le droit de violer mes droits, ni
d'utiliser illégalement la force contre moi [...], c'est inacceptable
! C'est ce qui se passe dans les pays totalitaires !", a-t-il
protesté.
samedi 5 mars 2011,
Jean [email protected]
From: A. Papazian