YéZéGUéLIAN ET SON VILAIN PETIT CANARD
Ara
armenews.com
lundi 31 octobre 2011
Dernier épisode des attaques menées par Yézeguélian contre NAM :
le 8 novembre a 16h, il assigne le journal devant le tribunal des
référés de Paris ( 4 bd du Palais, escalier M, 1er étage) pour
exiger que le journal procède a la pose d'un compteur électrique dans
ses bureaux (avec une demande d'astreinte de 1000 euros pas jour de
retard !). Un comble quand on sait que le plaignant lui-même multiplie
depuis juillet les coupures d'électricité dans les bureaux de NAM
tout en s'opposant a la mise en place d'un tel compteur, que ne cesse
de réclamer la rédaction du journal. Pire, le propriétaire du 95
bd Gouvion Saint Cyr et son gérant empêchent depuis des mois ERDF
d'accéder a ses propres installations dans l'immeuble, et font la
sourde oreille a ses injonctions d'ouvrir les locaux les renfermant,
condition nécessaire a l'exécution des travaux. La justice qui
a déja condamné deux fois Yézéguélian dans ses litiges contre
NAM tranchera.
Cette nouvelle agression s'inscrit dans le cadre de l'offensive
lancée contre le journal par ce personnage qui a juré sa perte
et qui croit visiblement en la toute puissance de l'argent-roi pour
arriver a ses fins et exercer a sa guise une influence politique dans
notre communauté.
Nous avons dénoncé en leurs temps les tentatives de Raymond
Yézéguélian de s'offrir les faveurs du monde associatif arménien
contre l'octroi de diverses contreparties (dont en particulier l'achat
d'espace dans la presse). Cette Â" générosité intéressée Â"
destinée a gagner la sympathie de ses obligés a débuté fin 2010
et s'est prolongée durant toute une partie de l'année 2011. Elle
répondait aux besoins de la candidature au CCAF d'une association
d'avocats coprésidée par Yézéguélian et a la montée du bras
de fer engagé contre Nouvelles d'Arménie Magazine. Un conflit
déclenché consécutivement au refus de NAM de se soumettre a
l'influence que cet individu croyait pouvoir exercer sur ses pages,
au nom de quelques avantages matériels prodigués au journal (un
tout petit local proposé a un loyer modéré, plus l'achat d'espaces
publicitaires).
Les événements qui se sont succédé depuis ont montré que ce Â"
mécénat Â" n'avait d'altruiste que l'apparence, puisqu'il semblait
induire, du moins dans l'esprit de son auteur, des contreparties
éditoriales. Ce qu'aucun partenaire commercial de NAM depuis 18
ans ne s'était jamais permis d'exiger, toute contribution étant au
contraire censée lui donner les moyens de son indépendance.
On connaît la suite : la résistance de Nouvelles d'Arménie et de
son directeur a ces pressions, leur refus de céder aux exigences
de Yézéguélian, qui souhaitait notamment acheter du contenu
rédactionnel a sa gloire et a celle de son association controversée
de juristes, leur a valu de subir un flot d'attaques. Celles-ci ont
commencé par des menaces contre la vie du magazine, des injures sur
internet, des dénonciations calomnieuses auprès des administrations
francaises, des procès pour expulser notre rédaction de ses bureaux,
des coupures d'électricité répétitives visant a l'empêcher de
travailler, un procès en diffamation contre le forum d'Armenews
(avec une demande de 50â~@~I00 euros de dommages et intérêts),
des tentatives de manipulation de nos actionnaires pour leur racheter
leurs parts, et peut-être aussi, mais nous n'en avons pas la preuve,
divers actes de vandalisme (clés cassées a plusieurs reprises dans
notre serrure).
Le but évident de ces manÅ"uvres étant d'atteindre NAM, de nuire a
son activité, de l'épuiser financièrement a travers une suite de
procès, pour pouvoir se le payer, dans tous les sens du terme.
Cette déclaration de guerre a l'un des principaux organes de presse de
la communauté arménienne de France, dont il est possible qu'elle ait
été explicitement ou tacitement encouragée a l'époque par quelques
entités froissées par certains articles du journal, se double de
plus en plus manifestement d'un volet politique. Et c'est l'hebdo en
ligne Noyan Tapan, sponsorisé par ce même Yézéguélian, qui mène
la charge en se faisant le support de ses règlements de comptes
personnels. Ses cibles : Ara Toranian, NAM, et maintenant le CCAF
dont A.T. copréside avec Mourad Papazian la section parisienne. Ces
agressions, fondées ni plus ni moins sur des contre-vérités, ont
été fustigées a deux reprises par le Conseil National du CCAF
(Paris, Lyon, Marseille), qui en a dénoncé les Â" manipulations
grossières Â", les Â" mensonges Â" et les Â" manÅ"uvres Â" tendant
a Â" semer la zizanie Â" dans ses rangs. Mais rien n'y fait, NT et
Yézéguélian récidivent, persistent et signent.
Distribuée gratuitement sur Internet, cette feuille virtuelle poursuit
sa triste besogne d'intoxication, tout en assurant, sans doute dans la
perspective naïve de s'attacher la complaisance de quelque autorité,
la promotion du ministre Thierry Mariani (apparemment a son corps
défendant), dont les photos et les interviews repiquées d'autres
journaux parsèment ses diverses éditions. Et ce, sans pour autant
que les sources soient citées : le piratage et la contrefacon,
y compris de certains articles de NAM (un comble), ne faisant pas
peur a ce journal dont le siège situé a Erevan le met a l'abri de
toutes poursuites. Et l'amène peut-être a se croire dispensé de
toute déontologie.
Ces coups dirigés contre NAM et Armenews ne portent pas seulement
atteinte a l'existence d'une presse libre et n'atteignent pas
uniquement les personnes physiques et morales visées. Ils touchent a
l'intégrité et l'unité de l'ensemble de la communauté arménienne
sur laquelle tente de faire main basse un monsieur dont l'âge est
peut être respectable mais la moralité plus sujette a caution (outre
l'affaire contre les NAM, il fait l'objet d'une mise en examen pour
Â" proxénétisme aggravé par plusieurs victimes Â") et dont les
comportements douteux ont provoqué sa mise a la porte de l'AFAJA
(association franco-arménienne des juristes et avocats).
La cote dans les sphères de pouvoir de Yézéguélian, qui visiblement
n'aime rien tant que se faire photographier auprès de personnalités
et se mettre ainsi en scène dans les journaux qu'il achète semble
cependant en déclin. Il a été écarté de toutes les cérémonies
officielles franco-arméniennes récentes, en particulier celles
liées a la visite de Nicolas Sarkozy a Erevan, malgré son titre de
Â" coprésident de l'Union des Francais de l'Etranger Â" en Arménie
et bien qu'il se soit rendu spécialement sur place pour l'occasion.
En dépit de sa soif d'honorabilité, de ses efforts et de son
argent, le vent est en train de tourner pour ce personnage qui semble
vouloir importer dans notre communauté des mÅ"urs politiques en
cours dans certaines républiques bananières africaines où il a
pignon sur rue, mais dont la nature ne saurait être compatible avec
l'éthique de conviction qui seule doit présider au fonctionnement
de nos structures.
Exception faite des malveillants, cette situation particulièrement
malsaine devrait inspirer une sage réserve aux quelques personnes qui,
par naïveté ou opportunisme, continuent de se faire les complices
directs ou indirects des manÅ"uvres de Yézéguélian et de son vilain
petit canard, dont aucun caractère ne recèle le moindre Â" signe Â"
a venir de majesté.
La rédaction en chef de Nouvelles d'Arménie Magazine
Ara
armenews.com
lundi 31 octobre 2011
Dernier épisode des attaques menées par Yézeguélian contre NAM :
le 8 novembre a 16h, il assigne le journal devant le tribunal des
référés de Paris ( 4 bd du Palais, escalier M, 1er étage) pour
exiger que le journal procède a la pose d'un compteur électrique dans
ses bureaux (avec une demande d'astreinte de 1000 euros pas jour de
retard !). Un comble quand on sait que le plaignant lui-même multiplie
depuis juillet les coupures d'électricité dans les bureaux de NAM
tout en s'opposant a la mise en place d'un tel compteur, que ne cesse
de réclamer la rédaction du journal. Pire, le propriétaire du 95
bd Gouvion Saint Cyr et son gérant empêchent depuis des mois ERDF
d'accéder a ses propres installations dans l'immeuble, et font la
sourde oreille a ses injonctions d'ouvrir les locaux les renfermant,
condition nécessaire a l'exécution des travaux. La justice qui
a déja condamné deux fois Yézéguélian dans ses litiges contre
NAM tranchera.
Cette nouvelle agression s'inscrit dans le cadre de l'offensive
lancée contre le journal par ce personnage qui a juré sa perte
et qui croit visiblement en la toute puissance de l'argent-roi pour
arriver a ses fins et exercer a sa guise une influence politique dans
notre communauté.
Nous avons dénoncé en leurs temps les tentatives de Raymond
Yézéguélian de s'offrir les faveurs du monde associatif arménien
contre l'octroi de diverses contreparties (dont en particulier l'achat
d'espace dans la presse). Cette Â" générosité intéressée Â"
destinée a gagner la sympathie de ses obligés a débuté fin 2010
et s'est prolongée durant toute une partie de l'année 2011. Elle
répondait aux besoins de la candidature au CCAF d'une association
d'avocats coprésidée par Yézéguélian et a la montée du bras
de fer engagé contre Nouvelles d'Arménie Magazine. Un conflit
déclenché consécutivement au refus de NAM de se soumettre a
l'influence que cet individu croyait pouvoir exercer sur ses pages,
au nom de quelques avantages matériels prodigués au journal (un
tout petit local proposé a un loyer modéré, plus l'achat d'espaces
publicitaires).
Les événements qui se sont succédé depuis ont montré que ce Â"
mécénat Â" n'avait d'altruiste que l'apparence, puisqu'il semblait
induire, du moins dans l'esprit de son auteur, des contreparties
éditoriales. Ce qu'aucun partenaire commercial de NAM depuis 18
ans ne s'était jamais permis d'exiger, toute contribution étant au
contraire censée lui donner les moyens de son indépendance.
On connaît la suite : la résistance de Nouvelles d'Arménie et de
son directeur a ces pressions, leur refus de céder aux exigences
de Yézéguélian, qui souhaitait notamment acheter du contenu
rédactionnel a sa gloire et a celle de son association controversée
de juristes, leur a valu de subir un flot d'attaques. Celles-ci ont
commencé par des menaces contre la vie du magazine, des injures sur
internet, des dénonciations calomnieuses auprès des administrations
francaises, des procès pour expulser notre rédaction de ses bureaux,
des coupures d'électricité répétitives visant a l'empêcher de
travailler, un procès en diffamation contre le forum d'Armenews
(avec une demande de 50â~@~I00 euros de dommages et intérêts),
des tentatives de manipulation de nos actionnaires pour leur racheter
leurs parts, et peut-être aussi, mais nous n'en avons pas la preuve,
divers actes de vandalisme (clés cassées a plusieurs reprises dans
notre serrure).
Le but évident de ces manÅ"uvres étant d'atteindre NAM, de nuire a
son activité, de l'épuiser financièrement a travers une suite de
procès, pour pouvoir se le payer, dans tous les sens du terme.
Cette déclaration de guerre a l'un des principaux organes de presse de
la communauté arménienne de France, dont il est possible qu'elle ait
été explicitement ou tacitement encouragée a l'époque par quelques
entités froissées par certains articles du journal, se double de
plus en plus manifestement d'un volet politique. Et c'est l'hebdo en
ligne Noyan Tapan, sponsorisé par ce même Yézéguélian, qui mène
la charge en se faisant le support de ses règlements de comptes
personnels. Ses cibles : Ara Toranian, NAM, et maintenant le CCAF
dont A.T. copréside avec Mourad Papazian la section parisienne. Ces
agressions, fondées ni plus ni moins sur des contre-vérités, ont
été fustigées a deux reprises par le Conseil National du CCAF
(Paris, Lyon, Marseille), qui en a dénoncé les Â" manipulations
grossières Â", les Â" mensonges Â" et les Â" manÅ"uvres Â" tendant
a Â" semer la zizanie Â" dans ses rangs. Mais rien n'y fait, NT et
Yézéguélian récidivent, persistent et signent.
Distribuée gratuitement sur Internet, cette feuille virtuelle poursuit
sa triste besogne d'intoxication, tout en assurant, sans doute dans la
perspective naïve de s'attacher la complaisance de quelque autorité,
la promotion du ministre Thierry Mariani (apparemment a son corps
défendant), dont les photos et les interviews repiquées d'autres
journaux parsèment ses diverses éditions. Et ce, sans pour autant
que les sources soient citées : le piratage et la contrefacon,
y compris de certains articles de NAM (un comble), ne faisant pas
peur a ce journal dont le siège situé a Erevan le met a l'abri de
toutes poursuites. Et l'amène peut-être a se croire dispensé de
toute déontologie.
Ces coups dirigés contre NAM et Armenews ne portent pas seulement
atteinte a l'existence d'une presse libre et n'atteignent pas
uniquement les personnes physiques et morales visées. Ils touchent a
l'intégrité et l'unité de l'ensemble de la communauté arménienne
sur laquelle tente de faire main basse un monsieur dont l'âge est
peut être respectable mais la moralité plus sujette a caution (outre
l'affaire contre les NAM, il fait l'objet d'une mise en examen pour
Â" proxénétisme aggravé par plusieurs victimes Â") et dont les
comportements douteux ont provoqué sa mise a la porte de l'AFAJA
(association franco-arménienne des juristes et avocats).
La cote dans les sphères de pouvoir de Yézéguélian, qui visiblement
n'aime rien tant que se faire photographier auprès de personnalités
et se mettre ainsi en scène dans les journaux qu'il achète semble
cependant en déclin. Il a été écarté de toutes les cérémonies
officielles franco-arméniennes récentes, en particulier celles
liées a la visite de Nicolas Sarkozy a Erevan, malgré son titre de
Â" coprésident de l'Union des Francais de l'Etranger Â" en Arménie
et bien qu'il se soit rendu spécialement sur place pour l'occasion.
En dépit de sa soif d'honorabilité, de ses efforts et de son
argent, le vent est en train de tourner pour ce personnage qui semble
vouloir importer dans notre communauté des mÅ"urs politiques en
cours dans certaines républiques bananières africaines où il a
pignon sur rue, mais dont la nature ne saurait être compatible avec
l'éthique de conviction qui seule doit présider au fonctionnement
de nos structures.
Exception faite des malveillants, cette situation particulièrement
malsaine devrait inspirer une sage réserve aux quelques personnes qui,
par naïveté ou opportunisme, continuent de se faire les complices
directs ou indirects des manÅ"uvres de Yézéguélian et de son vilain
petit canard, dont aucun caractère ne recèle le moindre Â" signe Â"
a venir de majesté.
La rédaction en chef de Nouvelles d'Arménie Magazine