La Montagne, France
Jeudi 29 Septembre 2011
Moulins Edition
Harut Yekmalyan : un invité d'honneur défenseur de la sculpture
L'invité d'honneur, Harut Yekmalyan, représente, au Salon des arts,
la nation arménienne.
Il en est heureux et fier à la fois. « Je ne connaissais pas ce
rendez-vous artistique », raconte cet artiste qui possède en lui le
talent des trois dimensions.
Sculpteur, il impose à la matière la volupté des formes généreuses,
infiniment lisses pour mieux être caressées.
Dessinateur et peintre à la fois, on retrouve en lui cette volonté
d'entremêler des corps rebondis, pulpeux, qui ajoute la sensualité à
des touches de couleurs suggestives :
« J'ai trop connu la pensée artistique unique en Arménie soviétique
pour ne pas m'accorder une liberté d'expression qui aille au-delà des
canons de la mode ».
Basé en résidence d'artistes à Chtel-Montagne depuis de nombreuses
années, Harut Yekmalyan a tourné la page de l'artiste parisien pour
s'imprégner de l'atmosphère de la Montagne bourbonnaise et travailler
dans la sérénité de ce village d'artistes.
Mais le syndicalisme ne tarde pas à s'imposer à lui. « Je milite pour
que soit appliquée à tous les investissements de la collectivité
publique la loi du 1 % artistique. L'équilibre de la vie d'artiste
repose sur trois pieds : la commande publique, la commande privée et
le travail de l'artiste. S'il manque un seul pied, tout s'écroule ! ».
Jeudi 29 Septembre 2011
Moulins Edition
Harut Yekmalyan : un invité d'honneur défenseur de la sculpture
L'invité d'honneur, Harut Yekmalyan, représente, au Salon des arts,
la nation arménienne.
Il en est heureux et fier à la fois. « Je ne connaissais pas ce
rendez-vous artistique », raconte cet artiste qui possède en lui le
talent des trois dimensions.
Sculpteur, il impose à la matière la volupté des formes généreuses,
infiniment lisses pour mieux être caressées.
Dessinateur et peintre à la fois, on retrouve en lui cette volonté
d'entremêler des corps rebondis, pulpeux, qui ajoute la sensualité à
des touches de couleurs suggestives :
« J'ai trop connu la pensée artistique unique en Arménie soviétique
pour ne pas m'accorder une liberté d'expression qui aille au-delà des
canons de la mode ».
Basé en résidence d'artistes à Chtel-Montagne depuis de nombreuses
années, Harut Yekmalyan a tourné la page de l'artiste parisien pour
s'imprégner de l'atmosphère de la Montagne bourbonnaise et travailler
dans la sérénité de ce village d'artistes.
Mais le syndicalisme ne tarde pas à s'imposer à lui. « Je milite pour
que soit appliquée à tous les investissements de la collectivité
publique la loi du 1 % artistique. L'équilibre de la vie d'artiste
repose sur trois pieds : la commande publique, la commande privée et
le travail de l'artiste. S'il manque un seul pied, tout s'écroule ! ».