LA PRESSE SUIT ATTENTIVEMENT LA TENSION CROISSANTE DES RELATIONS ENTRE LES EMPLOYES ET L'ADMINISTRATION DE LA CENTRALE NUCLEAIRE
Stephane
armenews.com
mardi 25 octobre 2011
La presse suit attentivement la tension croissante des relations
entre les employes et l'administration de la Centrale nucleaire. Les
negociations sont dans l'impasse depuis que le directeur a signe
vendredi plusieurs lettres de demission. Les employes ont presente des
propositions, demandant 30% d'augmentations a partir du 1er novembre
et 20% a partir du 1er avril 2012. L'administration, evoquant le
manque de moyens financiers, a rejete toutes ces propositions.
Certains quotidiens progouvernementaux comparent ces revendications au
niveau moyen de salaires en Armenie, tandis que ceux de l'opposition se
refèrent a celui en usage dans des centrales nucleaires occidentales. "
Un caprice antinational " titre Aravot, qui voit deux issues a cette
situation : des specialistes viendront de Russie et toucheront le
double des salaires du personnel armenien ou la centrale sera arretee,
continuant de depenser de l'energie pour sa maintenance sans produire
un Kwt. Dans les deux cas, l'Etat est perdant. A moins que la fermeture
de la Centrale etait a l'ordre du jour et le conflit du travail etait
un pretexte pour hâter la decision " conclut l'editorialiste.
Ambassade de France en Armenie
Service de presse
Stephane
armenews.com
mardi 25 octobre 2011
La presse suit attentivement la tension croissante des relations
entre les employes et l'administration de la Centrale nucleaire. Les
negociations sont dans l'impasse depuis que le directeur a signe
vendredi plusieurs lettres de demission. Les employes ont presente des
propositions, demandant 30% d'augmentations a partir du 1er novembre
et 20% a partir du 1er avril 2012. L'administration, evoquant le
manque de moyens financiers, a rejete toutes ces propositions.
Certains quotidiens progouvernementaux comparent ces revendications au
niveau moyen de salaires en Armenie, tandis que ceux de l'opposition se
refèrent a celui en usage dans des centrales nucleaires occidentales. "
Un caprice antinational " titre Aravot, qui voit deux issues a cette
situation : des specialistes viendront de Russie et toucheront le
double des salaires du personnel armenien ou la centrale sera arretee,
continuant de depenser de l'energie pour sa maintenance sans produire
un Kwt. Dans les deux cas, l'Etat est perdant. A moins que la fermeture
de la Centrale etait a l'ordre du jour et le conflit du travail etait
un pretexte pour hâter la decision " conclut l'editorialiste.
Ambassade de France en Armenie
Service de presse