TURQUIE
Un groupe radical kurde revendique l'attentat meurtrier d'Ankara
Un groupe kurde armé, les Faucons de la liberté du Kurdistan (TAK), a
revendiqué jeudi un attentat qui a fait 3 morts et une quinzaine de
blessés mardi dans le centre d'Ankara.
Dans un courrier électronique envoyé à l'agence de presse pro-kurde
Firat News, cette organisation menace de s'en prendre aux métropoles
turques, affirmant que l'attentat perpétré dans la capitale turque
`n'est qu'un début`.
`Les métropoles turques seront notre champ de bataille. L'attaque de
Kizilay (centre d'Ankara) n'est qu'un début`, souligne cette
organisation.
L'attentat qui a frappé mardi matin le quartier commerçant de Kizilay
a été imputé par les autorités turques aux rebelles séparatistes
kurdes.
Les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qui mènent
depuis 27 ans des actions armées, ont par le passé mené de telles
attaques dans les grandes villes turques.
L'aile militaire du PKK a cependant nié mercredi toute implication.
Selon les autorités turques, le TAK sert de prête-nom au PKK quand
celui-ci commet des attentats pouvant encourir la désapprobation
populaire, notamment quand des civils sont tués.
Le PKK rétorque que les TAK sont constitués d'éléments incontrôlés,
ayant quitté ses rangs.
dimanche 25 septembre 2011,
Sté[email protected]
From: A. Papazian
Un groupe radical kurde revendique l'attentat meurtrier d'Ankara
Un groupe kurde armé, les Faucons de la liberté du Kurdistan (TAK), a
revendiqué jeudi un attentat qui a fait 3 morts et une quinzaine de
blessés mardi dans le centre d'Ankara.
Dans un courrier électronique envoyé à l'agence de presse pro-kurde
Firat News, cette organisation menace de s'en prendre aux métropoles
turques, affirmant que l'attentat perpétré dans la capitale turque
`n'est qu'un début`.
`Les métropoles turques seront notre champ de bataille. L'attaque de
Kizilay (centre d'Ankara) n'est qu'un début`, souligne cette
organisation.
L'attentat qui a frappé mardi matin le quartier commerçant de Kizilay
a été imputé par les autorités turques aux rebelles séparatistes
kurdes.
Les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qui mènent
depuis 27 ans des actions armées, ont par le passé mené de telles
attaques dans les grandes villes turques.
L'aile militaire du PKK a cependant nié mercredi toute implication.
Selon les autorités turques, le TAK sert de prête-nom au PKK quand
celui-ci commet des attentats pouvant encourir la désapprobation
populaire, notamment quand des civils sont tués.
Le PKK rétorque que les TAK sont constitués d'éléments incontrôlés,
ayant quitté ses rangs.
dimanche 25 septembre 2011,
Sté[email protected]
From: A. Papazian