SAMEDI 8 DECEMBRE
Meeting-débat de NAM avec Alec Yénikomchian*
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=84921
Meeting-débat organisé par NAM sur la situation alarmante de
l'Arménie, les moyens d'en sortir, le rôle de la diaspora
Avec la présence exceptionnelle en France d'ALEC YENIKOMCHIAN*, venu
spécialement d'Arménie, membre du Mouvement Sardarabad, directeur du
Fonds Monté Melkonian, figure de la lutte de libération des années
75-80. Avec la participation de l'Association de soutien aux
mouvements civiques en Arménie.
A Paris le samedi 8 décembre 2012 A 20H00 A L'AGECA**
177 RUE DE CHARONNE 75011 PARIS
METRO : ALEXANDRE DUMAS
A Marseille, le vendredi 14 décembre, au centre culturel de la JAF, 47
avenue de Toulon 1306
Nouvelles d'Arménie Magazine
*Alec Yénikomshian a été celui qui le 3 octobre 1980 a donné pour la
première fois un visage et un nom au renouveau de la lutte de
libération du peuple arménien des années 75.
Jusqu'alors, une opacité complète régnait sur les auteurs de la série
d'actions qui avait ciblé les représentants et les intérêts de l'Etat
turc dans le monde.
Alec, intellectuel de la communauté arménienne du Liban a été arrêté à
Genève le 3 octobre 1980, en compagnie de Susy Maseredjian (une
Américaine d'origine arménienne), à la suite de la déflagration
accidentelle du détonateur d'un pain de plastic destiné au consulat de
Turquie. Il avait alors 24 ans. Alec a perdu la vue, sa main gauche et
trois doigts de sa main droite dans cette opération de « propagande
armée ».
Son procès, le premier des combattants arméniens, s'est transformé
grce à sa plaidoirie exceptionnelle, en réquisitoire contre l'Etat
fasciste turc. Devenu aveugle et amputé, Alec a expliqué à ses juges
pourquoi et comment il en était venu à prendre la décision de
s'engager dans cette lutte.
Cet événement judiciaire, qui avait fait la `une` des journaux
suisses, largement reproduite partout en Europe, a été un des premiers
révélateurs publics du génocide arménien. Les jurés suisses ont
condamné Alec à une peine symbolique qui lui a permis d'être libéré à
l'issue de l'audience, après quelques mois de détention. Suzy a
également été relchée au même moment.
Cette double décision de clémence, saluée par l'opinion de l'époque, a
été la première victoire politique institutionnelle du peuple arménien
depuis le procès de Téhlirian, exécuteur à Berlin en 1921 de Talaat
Pacha, ex-premier ministre turc, principal instigateur du génocide.
En 1983 il dénonce la dérive terroriste de l'ASALA et se solidarise de
la scission dans ses rangs proclamée le 15 juillet de la même année
par Monté Melkonian.
Alec s'installe en Arménie dans l'année qui a suivi la mort en héros
de Monté, le 13 juin 1993, sur le front du Karabagh.
Il devient alors, entres autres activités, directeur du fonds Monté Melkonian
Il décide enfin de s'engager dans le mouvement Sardarabad, une
organisation citoyenne et populaire qui lutte pour l'instauration d'un
état de droit en Arménie, la défense des droits des droits de l'homme
et des intérêts nationaux du pays.
**Dans cette salle s'étaient tenues de nombreuses réunions au début
des années 80 pour la libération des prisonniers politiques, dont
faisait partie Alec Yénikomchian.
samedi 1er décembre 2012,
Ara ©armenews.com
From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress
Meeting-débat de NAM avec Alec Yénikomchian*
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Meeting-débat organisé par NAM sur la situation alarmante de
l'Arménie, les moyens d'en sortir, le rôle de la diaspora
Avec la présence exceptionnelle en France d'ALEC YENIKOMCHIAN*, venu
spécialement d'Arménie, membre du Mouvement Sardarabad, directeur du
Fonds Monté Melkonian, figure de la lutte de libération des années
75-80. Avec la participation de l'Association de soutien aux
mouvements civiques en Arménie.
A Paris le samedi 8 décembre 2012 A 20H00 A L'AGECA**
177 RUE DE CHARONNE 75011 PARIS
METRO : ALEXANDRE DUMAS
A Marseille, le vendredi 14 décembre, au centre culturel de la JAF, 47
avenue de Toulon 1306
Nouvelles d'Arménie Magazine
*Alec Yénikomshian a été celui qui le 3 octobre 1980 a donné pour la
première fois un visage et un nom au renouveau de la lutte de
libération du peuple arménien des années 75.
Jusqu'alors, une opacité complète régnait sur les auteurs de la série
d'actions qui avait ciblé les représentants et les intérêts de l'Etat
turc dans le monde.
Alec, intellectuel de la communauté arménienne du Liban a été arrêté à
Genève le 3 octobre 1980, en compagnie de Susy Maseredjian (une
Américaine d'origine arménienne), à la suite de la déflagration
accidentelle du détonateur d'un pain de plastic destiné au consulat de
Turquie. Il avait alors 24 ans. Alec a perdu la vue, sa main gauche et
trois doigts de sa main droite dans cette opération de « propagande
armée ».
Son procès, le premier des combattants arméniens, s'est transformé
grce à sa plaidoirie exceptionnelle, en réquisitoire contre l'Etat
fasciste turc. Devenu aveugle et amputé, Alec a expliqué à ses juges
pourquoi et comment il en était venu à prendre la décision de
s'engager dans cette lutte.
Cet événement judiciaire, qui avait fait la `une` des journaux
suisses, largement reproduite partout en Europe, a été un des premiers
révélateurs publics du génocide arménien. Les jurés suisses ont
condamné Alec à une peine symbolique qui lui a permis d'être libéré à
l'issue de l'audience, après quelques mois de détention. Suzy a
également été relchée au même moment.
Cette double décision de clémence, saluée par l'opinion de l'époque, a
été la première victoire politique institutionnelle du peuple arménien
depuis le procès de Téhlirian, exécuteur à Berlin en 1921 de Talaat
Pacha, ex-premier ministre turc, principal instigateur du génocide.
En 1983 il dénonce la dérive terroriste de l'ASALA et se solidarise de
la scission dans ses rangs proclamée le 15 juillet de la même année
par Monté Melkonian.
Alec s'installe en Arménie dans l'année qui a suivi la mort en héros
de Monté, le 13 juin 1993, sur le front du Karabagh.
Il devient alors, entres autres activités, directeur du fonds Monté Melkonian
Il décide enfin de s'engager dans le mouvement Sardarabad, une
organisation citoyenne et populaire qui lutte pour l'instauration d'un
état de droit en Arménie, la défense des droits des droits de l'homme
et des intérêts nationaux du pays.
**Dans cette salle s'étaient tenues de nombreuses réunions au début
des années 80 pour la libération des prisonniers politiques, dont
faisait partie Alec Yénikomchian.
samedi 1er décembre 2012,
Ara ©armenews.com
From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress