ARMENIENS-LIVRE
« La voie du silence, les Arméniens de Diyarbakir parlent » édité en turc
par la Fondation Hrant Dink
La Fondation Hrant Dink vient de publier en turc un livre intitulé «
La voie du silence, les Arméniens de Diyarbakir parlent ». L'ouvrage
évoque les vies et l'histoire des Arméniens de Diyarbakir, l'actuelle
« capitale du Kurdistan turc » autrefois Tigranakert, la capitale de
l'Arménie antique fondée par Tigrane le Grand. La présentation du
livre s'est déroulée dans la salle « Djazaïr » à Istanbul en présence
des auteurs, Ferda Balandjari, Arzou Ozturkmen professeur d'histoire à
l'université Boghazitchi et Eminé Kolivar. Le livre reprend l'histoire
de 8 femmes et 8 hommes. Pour écrire ces ouvrage, les auteurs ont
rencontré avec des Arméniens originaires de Diyarbakir mais habitant
aujourd'hui à Istanbul, Diyarbakir, au Liban, à New York, à Los
Angeles, à Montréal, à Toronto, à Erevan et au New Jersey. Au total 81
personnes. L'un des auteurs, Eminé Kolivar a affirmé que l'idée du
livre était née lors de la réouverture de l'église arménienne Sourp
Guiragos de Diyarbakir. Il a également confié qu'il étudiait
l'histoire des Arméniens d'Anatolie. E. Kolivar a également confié que
de nombreux Arméniens de Diyarbakir avait été islamisés ou ont grandi
dans des familles musulmanes qui les avaient adopté. Puis ils avaient
redécouvert leur origine arménienne.
dimanche 30 décembre 2012,
Krikor Amirzayan ©armenews.com
« La voie du silence, les Arméniens de Diyarbakir parlent » édité en turc
par la Fondation Hrant Dink
La Fondation Hrant Dink vient de publier en turc un livre intitulé «
La voie du silence, les Arméniens de Diyarbakir parlent ». L'ouvrage
évoque les vies et l'histoire des Arméniens de Diyarbakir, l'actuelle
« capitale du Kurdistan turc » autrefois Tigranakert, la capitale de
l'Arménie antique fondée par Tigrane le Grand. La présentation du
livre s'est déroulée dans la salle « Djazaïr » à Istanbul en présence
des auteurs, Ferda Balandjari, Arzou Ozturkmen professeur d'histoire à
l'université Boghazitchi et Eminé Kolivar. Le livre reprend l'histoire
de 8 femmes et 8 hommes. Pour écrire ces ouvrage, les auteurs ont
rencontré avec des Arméniens originaires de Diyarbakir mais habitant
aujourd'hui à Istanbul, Diyarbakir, au Liban, à New York, à Los
Angeles, à Montréal, à Toronto, à Erevan et au New Jersey. Au total 81
personnes. L'un des auteurs, Eminé Kolivar a affirmé que l'idée du
livre était née lors de la réouverture de l'église arménienne Sourp
Guiragos de Diyarbakir. Il a également confié qu'il étudiait
l'histoire des Arméniens d'Anatolie. E. Kolivar a également confié que
de nombreux Arméniens de Diyarbakir avait été islamisés ou ont grandi
dans des familles musulmanes qui les avaient adopté. Puis ils avaient
redécouvert leur origine arménienne.
dimanche 30 décembre 2012,
Krikor Amirzayan ©armenews.com