MANIFESTATIONS COMMEMORANT LE 24AME ANNIVERSAIRE DES POGROMS DE SOUMGAIT
Jean Eckian
armenews.com
samedi 25 février 2012
La communaute armenienne de la region parisienne est invitee a
participer aux commemorations de soutien au Haut-Karabakh.
Du 26 au 29 fevrier 1988 des dizaines de personnes ont ete tuees avec
une cruaute sadique, dont une grande partie a ete brûlee vive après
avoir subi sevices, torture et violence. Des centaines de personnes
ont ete mutilees a vie sans compter les milliers de refugies...
Le massacre des Armeniens a Soumgaït a ete soigneusement organise.
Raison pour laquelle on peu parler de genocide. Les rassemblements
anti-armeniens ont commence le 26 Fevrier sur la place centrale, les
dirigeants de la ville appelant ouvertement a la violence contre les
Armeniens. Le 27 fevrier les "rassemblements" ont degeneres en
violence. Le 28 fevrier, un nombre de voyous, armes de barres de fer,
haches, marteaux et autres instruments, a sensiblement augmente. En
trois jours, les manifestants au nombre d'une cinquantaine, etait
passe a plusieurs milliers.
Ce n'est que dans la soiree du 29 fevrier que des unites de l'armee
azerie ont commence a prendre des mesures pour arreter le massacre qui
ne visait exclusivement que les Armeniens. Un crime contre l'humanite
reste impuni.
cliquer sur l'image pour agrandir
Pendant trois journees de fevrier 1988, la ville de Soumgaït, dans la
Republique socialiste sovietique d'Azerbaïdjan, a connu un veritable
genocide. La population armenienne chretienne a ete sauvagement
attaquee par les Azeris : des dizaines de tues, roues de coup,
tortures et brûles vifs, des femmes et des adolescentes violees, des
centaines d'appartements pilles, saccages et detruits.
Le drame de Soumgaït n'est pas seulement racial, il est egalement
politique. C'est celui que posent toutes les ethnies des diverses
composantes des republiques de l'URSS.
En condamnant les pogroms de Soumgaït, des savants sovietiques ont
ecrit : " Depuis les ferocites staliniennes, il ne s'est rien passe
dans notre pays qui nous ait rejetes aussi loin en arrière, de la
civilisation a la sauvagerie. "
Jean Eckian
armenews.com
samedi 25 février 2012
La communaute armenienne de la region parisienne est invitee a
participer aux commemorations de soutien au Haut-Karabakh.
Du 26 au 29 fevrier 1988 des dizaines de personnes ont ete tuees avec
une cruaute sadique, dont une grande partie a ete brûlee vive après
avoir subi sevices, torture et violence. Des centaines de personnes
ont ete mutilees a vie sans compter les milliers de refugies...
Le massacre des Armeniens a Soumgaït a ete soigneusement organise.
Raison pour laquelle on peu parler de genocide. Les rassemblements
anti-armeniens ont commence le 26 Fevrier sur la place centrale, les
dirigeants de la ville appelant ouvertement a la violence contre les
Armeniens. Le 27 fevrier les "rassemblements" ont degeneres en
violence. Le 28 fevrier, un nombre de voyous, armes de barres de fer,
haches, marteaux et autres instruments, a sensiblement augmente. En
trois jours, les manifestants au nombre d'une cinquantaine, etait
passe a plusieurs milliers.
Ce n'est que dans la soiree du 29 fevrier que des unites de l'armee
azerie ont commence a prendre des mesures pour arreter le massacre qui
ne visait exclusivement que les Armeniens. Un crime contre l'humanite
reste impuni.
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Pendant trois journees de fevrier 1988, la ville de Soumgaït, dans la
Republique socialiste sovietique d'Azerbaïdjan, a connu un veritable
genocide. La population armenienne chretienne a ete sauvagement
attaquee par les Azeris : des dizaines de tues, roues de coup,
tortures et brûles vifs, des femmes et des adolescentes violees, des
centaines d'appartements pilles, saccages et detruits.
Le drame de Soumgaït n'est pas seulement racial, il est egalement
politique. C'est celui que posent toutes les ethnies des diverses
composantes des republiques de l'URSS.
En condamnant les pogroms de Soumgaït, des savants sovietiques ont
ecrit : " Depuis les ferocites staliniennes, il ne s'est rien passe
dans notre pays qui nous ait rejetes aussi loin en arrière, de la
civilisation a la sauvagerie. "