LA TURQUIE EXIGE LE DROIT DE NIER !
Stephane
armenews.com
mardi 31 janvier 2012
En France une loi est discutee / passee pour limiter la liberte
d'expression en interdisant le dementi du genocide.
Notre pays, un paradis de libertes, est mobilise encore une fois
[pour la liberte de parole].
S'il est inopportun pour un Parlement de passer des resolutions sur
l'histoire, cela signifie-t-il que nous n'avons rien a attendre du
Parlement Turc sur le genocide armenien ?
S'il est inopportun pour les politiciens de choisir finalement les
sujets d'histoire, donc pourquoi etions-nous si enthousiastes des
paroles sur le Dersim ?
Cependant cette fois, la loi francaise va au-dela de la reconnaissance
du genocide et interdit son dementi.
Cela a donne a la Turquie une chance de cacher son esprit negationniste
et sa position injuste sous une mince couverture de legitimite.
Il est evident que nous tous semblions reconnaître que la negation
du genocide ne doit pas etre penalise.
Cela signifie-t-il que nous croyons tous que la negation n'est pas
une infraction morale ?
N'est-ce pas la Turquie, en fin de compte, qui exige le droit de nier
le genocide ?
N'y a -t-il pas le desir de continuer le luxe d'exercice ce " droit " ?
Si la negation n'est pas un crime, quel crime la Turquie a-t-elle
commis pendant ces longues annees ?
Est que les 9 personnes de Turquie, incluant Hrant Dink et Ragip
Zarakolu, ont discute en 2006 en France vraiment la meme realite que
celle que la Turquie dispute aujourd'hui ?
Est-ce que Turquie n'est pas honteuse d'employer les mots de Hrant
Dink a son propre avantage ?
Est-ce que le choix de Hrant Dink - la dernière voix des armeniens
de Turquie - de ne pas employer le mot " genocide " peut se voir
attribuer la meme signification que celle des autres qui veulent
aujourd'hui ne pas employer le mot " genocide " ?
Quel est la vrai parole de la Turquie [pour cela ?]
La politique de negation a commis beaucoup de crimes après 1915 car
[la Turquie] a donne son consentement a cela et a fraye la voie pour
l'assassinat de Hrant Dink.
La negation, en causant aux victimes du genocide de vivre le meme
trauma a maintes reprises, pose le danger de nouveaux actes de violence
et pour cette raison c'est un crime.
La liberte de discours d'expression qui est base sur la negation emet
une très mauvaise odeur d'hypocrisie.
Vous ne le sentez pas ?
Le bras le plus mince de l'arbre de la liberte d'expression où la
Turquie s'accroche n'est pas assez fort pour porter ce lourd fardeau.
Oui, nous devons prendre la question de pays tiers et le ramener sur
la terre où il appartient.
Peut-etre c'est la raison la plus legitime de la resistance au projet
de loi en question.
Laissez donc la France de côte.
Ca va, peut etre la France est dans l'erreur, ses intentions sont
inutiles.
Mais comment la Turquie projette-t-elle de faire ?
Arat Dink
Garo Paylan
Hayko Bagdat
Markar Esayan
Sibil Cekmen
Tamar Nalcý
Tatyos Bebek
From: A. Papazian
Stephane
armenews.com
mardi 31 janvier 2012
En France une loi est discutee / passee pour limiter la liberte
d'expression en interdisant le dementi du genocide.
Notre pays, un paradis de libertes, est mobilise encore une fois
[pour la liberte de parole].
S'il est inopportun pour un Parlement de passer des resolutions sur
l'histoire, cela signifie-t-il que nous n'avons rien a attendre du
Parlement Turc sur le genocide armenien ?
S'il est inopportun pour les politiciens de choisir finalement les
sujets d'histoire, donc pourquoi etions-nous si enthousiastes des
paroles sur le Dersim ?
Cependant cette fois, la loi francaise va au-dela de la reconnaissance
du genocide et interdit son dementi.
Cela a donne a la Turquie une chance de cacher son esprit negationniste
et sa position injuste sous une mince couverture de legitimite.
Il est evident que nous tous semblions reconnaître que la negation
du genocide ne doit pas etre penalise.
Cela signifie-t-il que nous croyons tous que la negation n'est pas
une infraction morale ?
N'est-ce pas la Turquie, en fin de compte, qui exige le droit de nier
le genocide ?
N'y a -t-il pas le desir de continuer le luxe d'exercice ce " droit " ?
Si la negation n'est pas un crime, quel crime la Turquie a-t-elle
commis pendant ces longues annees ?
Est que les 9 personnes de Turquie, incluant Hrant Dink et Ragip
Zarakolu, ont discute en 2006 en France vraiment la meme realite que
celle que la Turquie dispute aujourd'hui ?
Est-ce que Turquie n'est pas honteuse d'employer les mots de Hrant
Dink a son propre avantage ?
Est-ce que le choix de Hrant Dink - la dernière voix des armeniens
de Turquie - de ne pas employer le mot " genocide " peut se voir
attribuer la meme signification que celle des autres qui veulent
aujourd'hui ne pas employer le mot " genocide " ?
Quel est la vrai parole de la Turquie [pour cela ?]
La politique de negation a commis beaucoup de crimes après 1915 car
[la Turquie] a donne son consentement a cela et a fraye la voie pour
l'assassinat de Hrant Dink.
La negation, en causant aux victimes du genocide de vivre le meme
trauma a maintes reprises, pose le danger de nouveaux actes de violence
et pour cette raison c'est un crime.
La liberte de discours d'expression qui est base sur la negation emet
une très mauvaise odeur d'hypocrisie.
Vous ne le sentez pas ?
Le bras le plus mince de l'arbre de la liberte d'expression où la
Turquie s'accroche n'est pas assez fort pour porter ce lourd fardeau.
Oui, nous devons prendre la question de pays tiers et le ramener sur
la terre où il appartient.
Peut-etre c'est la raison la plus legitime de la resistance au projet
de loi en question.
Laissez donc la France de côte.
Ca va, peut etre la France est dans l'erreur, ses intentions sont
inutiles.
Mais comment la Turquie projette-t-elle de faire ?
Arat Dink
Garo Paylan
Hayko Bagdat
Markar Esayan
Sibil Cekmen
Tamar Nalcý
Tatyos Bebek
From: A. Papazian