DES JOURNALISTES TURCS ET ARMENIENS VEULENT QUE LA FRONTIÈRE SOIT OUVERTE
Stephane
armenews.com
vendredi 29 juin 2012
Un groupe de journalistes turcs et armeniens a voyage en Turquie, en
Armenie et en Georgie entre le 24 mai et le 6 juin et a declare que la
frontière fermee entre la Turquie et l'Armenie affecte negativement
les relations entre les deux pays, preconisant son ouverture. Arsen
Kharatyan de Voice of America a declare au journal turc Zaman que
la fermeture de la frontière est une question symbolique. " Le jour
où nous arretrons d'atteindre les pays de chacun via d'autres pays,
nos deux societes se comprendront plus. Le passage par la Georgie
vers l'Armenie montre que chaque niveau de relations est obtenu par
mediationde tierces personnes " a dit Arsen Kharatyan, ajoutant que
le dialogue constructif, sincère et honnete et a tous les niveaux
de la societe civile et du gouvernement contribuerait positivement
a l'avenir des relations.
Le groupe de 15 journalistes a visite six emplacements en Turquie :
Istanbul, Malatya, Kayseri, la Cappadoce, Ankara et Kars. Le groupe a
alors voyage vers l'Armenie, où ils ont passe semaine a visiter des
villes et des villages a travers le pays, incluant Gyumri, Goris,
Sevan et Erevan.
Le Turkey-Armenia Media Reporting Bus Tour a ete organise par Global
Political Trends Center (GPoT) de l'Universite de la Culture d'Ýstanbul
en aprtenariat avec l'Eurasia Partnership Foundation section Erevan
(EPF), dans le cadre du projet Support to Armenia-Turkey Rapprochement
(SATR) et grâce a l'aide financière de l'United States Agency for
International Development (USAID). " Si quelqu'un veut comprendre
le present, il ou elle doit traiter avec le passe et le percevoir
de leurs propres yeux, plutôt que d'ecouter de l'exterieur " a dit
Arsen Kharatyan, ajoutant que le tour etait un voyage de decouverte
de soi pour les journalistes.
Questionne sur le futur entre les deux pays dans l'avenir, Arsen
Kharatyan a repondu qu'actuellement les discussions entre la Turquie
et l'Armenie ont ete elaborees au niveau du discours intellectuel,
ajoutant que la paix durable pourrait seulement etre realisee en
maintenant l'honnetete entre les nations. " Je suis d'accord avec les
fonctionnaires Turcs que nous devons resoudre ce problème au lieu de
le laisser a nos enfants " a dit Arsen Kharatyan.
Andranik Ispiryan de l'agence de presse basee a Erevan News.am a
affirme pour sa part " la frontière entre la Turquie et l'Armenie est
la seule frontière fermee au 21e siècle, suggerant que la fermeture des
frontières empeche les relations de s'ameliorer entre les deux pays.
" Je crois que la frontière fermee affecte les relations negativement,
non seulement au niveau diplomatique, mais aussi au niveau social
" a dit Ispiryan, proposant que si la frontière etait ouverte les
deux societes auraient une occasion d'apprendre de la culture de
l'autre nation, ce qui aiderait aussi a reduire des idees fausses
des deux côtes.
Zafer Opsar de Bursaport.com dit au quotidien Zaman que la frontière
fermee ne contribue pas positivement aux relations entre les pays,
ajoutant que tous les deux côtes profiteraient de l'ouverture des
frontières. " J'ai bon espoir pour l'avenir et je crois que notre
voyage contribuera a l'avenir des relations. Mais je pense que le
mot genocide bloque le developpement des relations. Les deux pays
peuvent surmonter les problèmes par l'empathie seulement " a-t-il dit.
" Les journalistes sont la voix du public. Nous [les journalistes
Turcs et armeniens] ont l'occasion d'observer le pays voisin sans la
participation de tierces personnes " a dit Opsar.
Stephane
armenews.com
vendredi 29 juin 2012
Un groupe de journalistes turcs et armeniens a voyage en Turquie, en
Armenie et en Georgie entre le 24 mai et le 6 juin et a declare que la
frontière fermee entre la Turquie et l'Armenie affecte negativement
les relations entre les deux pays, preconisant son ouverture. Arsen
Kharatyan de Voice of America a declare au journal turc Zaman que
la fermeture de la frontière est une question symbolique. " Le jour
où nous arretrons d'atteindre les pays de chacun via d'autres pays,
nos deux societes se comprendront plus. Le passage par la Georgie
vers l'Armenie montre que chaque niveau de relations est obtenu par
mediationde tierces personnes " a dit Arsen Kharatyan, ajoutant que
le dialogue constructif, sincère et honnete et a tous les niveaux
de la societe civile et du gouvernement contribuerait positivement
a l'avenir des relations.
Le groupe de 15 journalistes a visite six emplacements en Turquie :
Istanbul, Malatya, Kayseri, la Cappadoce, Ankara et Kars. Le groupe a
alors voyage vers l'Armenie, où ils ont passe semaine a visiter des
villes et des villages a travers le pays, incluant Gyumri, Goris,
Sevan et Erevan.
Le Turkey-Armenia Media Reporting Bus Tour a ete organise par Global
Political Trends Center (GPoT) de l'Universite de la Culture d'Ýstanbul
en aprtenariat avec l'Eurasia Partnership Foundation section Erevan
(EPF), dans le cadre du projet Support to Armenia-Turkey Rapprochement
(SATR) et grâce a l'aide financière de l'United States Agency for
International Development (USAID). " Si quelqu'un veut comprendre
le present, il ou elle doit traiter avec le passe et le percevoir
de leurs propres yeux, plutôt que d'ecouter de l'exterieur " a dit
Arsen Kharatyan, ajoutant que le tour etait un voyage de decouverte
de soi pour les journalistes.
Questionne sur le futur entre les deux pays dans l'avenir, Arsen
Kharatyan a repondu qu'actuellement les discussions entre la Turquie
et l'Armenie ont ete elaborees au niveau du discours intellectuel,
ajoutant que la paix durable pourrait seulement etre realisee en
maintenant l'honnetete entre les nations. " Je suis d'accord avec les
fonctionnaires Turcs que nous devons resoudre ce problème au lieu de
le laisser a nos enfants " a dit Arsen Kharatyan.
Andranik Ispiryan de l'agence de presse basee a Erevan News.am a
affirme pour sa part " la frontière entre la Turquie et l'Armenie est
la seule frontière fermee au 21e siècle, suggerant que la fermeture des
frontières empeche les relations de s'ameliorer entre les deux pays.
" Je crois que la frontière fermee affecte les relations negativement,
non seulement au niveau diplomatique, mais aussi au niveau social
" a dit Ispiryan, proposant que si la frontière etait ouverte les
deux societes auraient une occasion d'apprendre de la culture de
l'autre nation, ce qui aiderait aussi a reduire des idees fausses
des deux côtes.
Zafer Opsar de Bursaport.com dit au quotidien Zaman que la frontière
fermee ne contribue pas positivement aux relations entre les pays,
ajoutant que tous les deux côtes profiteraient de l'ouverture des
frontières. " J'ai bon espoir pour l'avenir et je crois que notre
voyage contribuera a l'avenir des relations. Mais je pense que le
mot genocide bloque le developpement des relations. Les deux pays
peuvent surmonter les problèmes par l'empathie seulement " a-t-il dit.
" Les journalistes sont la voix du public. Nous [les journalistes
Turcs et armeniens] ont l'occasion d'observer le pays voisin sans la
participation de tierces personnes " a dit Opsar.