" L'INFLUENCE D'UN LOBBY TURC TROS PUISSANT "
Ara
armenews.com
vendredi 2 mars 2012
Interview d'Ara Toranian copresident du CCAF sur le site de France
Soir.
France-Soir : Le Conseil constitutionnel a censure mardi la loi
punissant la negation des genocides. Quelle est votre reaction ?
Ara Toranian C'est une decision purement politique. Les motifs invoques
par le Conseil constitutionnel sont des arguties juridiques qui ne
tiennent pas la route. Invoquer le principe de la liberte d'expression
pour condamner cette loi ne me paraît pas correct. Au niveau europeen,
on considère que la negation d'un genocide ne participe pas de la
liberte d'expression. D'autant plus que la loi avait pris la precaution
de parler d'un " negationnisme outrancier " des genocides. Pourquoi la
liberte d'expression serait-elle respectee dans le cas de l'application
de la loi Gayssot (qui punit la negation du genocide juif pendant
le seconde guerre mondiale, NDLR), et mise en cause dès qu'on parle
du genocide armenien ? Demain on peut revenir avec un autre projet
de loi qui tienne compte de la decision du Conseil constitutionnel,
il trouvera encore a redire... La suite sur : France-soir
Ara
armenews.com
vendredi 2 mars 2012
Interview d'Ara Toranian copresident du CCAF sur le site de France
Soir.
France-Soir : Le Conseil constitutionnel a censure mardi la loi
punissant la negation des genocides. Quelle est votre reaction ?
Ara Toranian C'est une decision purement politique. Les motifs invoques
par le Conseil constitutionnel sont des arguties juridiques qui ne
tiennent pas la route. Invoquer le principe de la liberte d'expression
pour condamner cette loi ne me paraît pas correct. Au niveau europeen,
on considère que la negation d'un genocide ne participe pas de la
liberte d'expression. D'autant plus que la loi avait pris la precaution
de parler d'un " negationnisme outrancier " des genocides. Pourquoi la
liberte d'expression serait-elle respectee dans le cas de l'application
de la loi Gayssot (qui punit la negation du genocide juif pendant
le seconde guerre mondiale, NDLR), et mise en cause dès qu'on parle
du genocide armenien ? Demain on peut revenir avec un autre projet
de loi qui tienne compte de la decision du Conseil constitutionnel,
il trouvera encore a redire... La suite sur : France-soir