UN FILM ARMENIEN SUR L'HISTOIRE D'UNE GRAND-MÈRE A ISTANBUL
Stephane
armenews.com
jeudi 15 mars 2012
A l'occasion de sa 10ème edition le festival international du cinema
de femme diffusera un documentaire explorant les experiences en 1915
de Khanoum Nene, la grand-mère la realisatrice armeno-Suedoise Suzanne
Khardalian a annonce le journal Hurriyet.
" Les tatouages de Grand-mère " seront sur l'ecran du theatre AFM
Fitas Beyoglu les 15 et 16 mars. le Centre Culturel francais devait
projeter le film, mais le programme a ete change a la dernière minute.
Pendant sa diffusion en Suède quelques Turcs ont proteste.
Suzanne Khardalian a dit qu'elle etait enchantee que son film puisse
etre vu des spectateurs Turcs. " Mon film pourrait servir comme une
plate-forme pour inviter le dialogue, discuter des questions qui
sont très difficiles. C'est en realite une invitation a traiter avec
nos tabous enracines, tabous qui nous ont estropies a la fois les
armeniens et les turcs ".
Mme Khardalian a dit qu'elle etait aussi un peu nerveuse parce que
le film etait une histoire très personnelle. " En faisant ce film,
j'ai compris après une longue deliberation et reflexion que je devais
faire ce film. Bien que le film soit au sujet de ma grand-mère,
c'est aussi sur moi. C'est a propos de ma realite aujourd'hui ".
Stephane
armenews.com
jeudi 15 mars 2012
A l'occasion de sa 10ème edition le festival international du cinema
de femme diffusera un documentaire explorant les experiences en 1915
de Khanoum Nene, la grand-mère la realisatrice armeno-Suedoise Suzanne
Khardalian a annonce le journal Hurriyet.
" Les tatouages de Grand-mère " seront sur l'ecran du theatre AFM
Fitas Beyoglu les 15 et 16 mars. le Centre Culturel francais devait
projeter le film, mais le programme a ete change a la dernière minute.
Pendant sa diffusion en Suède quelques Turcs ont proteste.
Suzanne Khardalian a dit qu'elle etait enchantee que son film puisse
etre vu des spectateurs Turcs. " Mon film pourrait servir comme une
plate-forme pour inviter le dialogue, discuter des questions qui
sont très difficiles. C'est en realite une invitation a traiter avec
nos tabous enracines, tabous qui nous ont estropies a la fois les
armeniens et les turcs ".
Mme Khardalian a dit qu'elle etait aussi un peu nerveuse parce que
le film etait une histoire très personnelle. " En faisant ce film,
j'ai compris après une longue deliberation et reflexion que je devais
faire ce film. Bien que le film soit au sujet de ma grand-mère,
c'est aussi sur moi. C'est a propos de ma realite aujourd'hui ".