GENOCIDE ARMENIEN-PRESSE
« Marianne » évoque l'attitude de la Turquie sur la reconnaissance du
génocide arménien
Dans son dossier de 24 pages « Spécial Histoire », l'hebdomadaire «
Marianne » (n° 813 daté du 17 au 24 novembre) consacre des articles
sur les exactions de l'Histoire, les crimes et génocides. Dans un
article signé par Vladimir de Gmeline titré « Tour du monde des
examens de conscience » l'hebdomadaire sous-titre « Massacres de
Nankin pour les Japonais, génocide arménien pour les Turcs, crimes
contre les Indiens d'Amérique...Chacun choisit de s'en excuser ou
pas... ». Au sujet du génocide arménien, Vladimir de Gmeline écrit
après l'attitude des Chinois et des Japonais sur l'interprétation des
massacres de Nankin « (...) Une attitude que l'on retrouve, de manière
beaucoup plus marquée, en Turquie, où le simple emploi du mot «
génocide » à propos des déportations et des massacres d'Arméniens en
1915 est passible d'une peine de prison. Un terme qu'ont d'ailleurs
pris soin de ne pas employer les 200 intellectuels turcs qui ont signé
la pétition demandant pardon aux Arméniens pour la Grande Catastrophe
qui les a frappés. Les tenants de l'histoire officielle considèrent
que les Arméniens étaient en train de s'allier aux Russes, qu'ils
étaient les agresseurs et qu'il n'y a donc aucune raison de s'excuser.
Une ligne soutenue par le Premier ministre, Recep Tayyip Erdogan : «
Si un tel crime a eu lieu, celui qui l'a commis peut s'excuser. Mais
ce n'est pas mon cas, ni celui de mon pays, ni de ma nation ».
Krikor Amirzayan
samedi 24 novembre 2012,
Krikor Amirzayan ©armenews.com
« Marianne » évoque l'attitude de la Turquie sur la reconnaissance du
génocide arménien
Dans son dossier de 24 pages « Spécial Histoire », l'hebdomadaire «
Marianne » (n° 813 daté du 17 au 24 novembre) consacre des articles
sur les exactions de l'Histoire, les crimes et génocides. Dans un
article signé par Vladimir de Gmeline titré « Tour du monde des
examens de conscience » l'hebdomadaire sous-titre « Massacres de
Nankin pour les Japonais, génocide arménien pour les Turcs, crimes
contre les Indiens d'Amérique...Chacun choisit de s'en excuser ou
pas... ». Au sujet du génocide arménien, Vladimir de Gmeline écrit
après l'attitude des Chinois et des Japonais sur l'interprétation des
massacres de Nankin « (...) Une attitude que l'on retrouve, de manière
beaucoup plus marquée, en Turquie, où le simple emploi du mot «
génocide » à propos des déportations et des massacres d'Arméniens en
1915 est passible d'une peine de prison. Un terme qu'ont d'ailleurs
pris soin de ne pas employer les 200 intellectuels turcs qui ont signé
la pétition demandant pardon aux Arméniens pour la Grande Catastrophe
qui les a frappés. Les tenants de l'histoire officielle considèrent
que les Arméniens étaient en train de s'allier aux Russes, qu'ils
étaient les agresseurs et qu'il n'y a donc aucune raison de s'excuser.
Une ligne soutenue par le Premier ministre, Recep Tayyip Erdogan : «
Si un tel crime a eu lieu, celui qui l'a commis peut s'excuser. Mais
ce n'est pas mon cas, ni celui de mon pays, ni de ma nation ».
Krikor Amirzayan
samedi 24 novembre 2012,
Krikor Amirzayan ©armenews.com