Manifestation jeudi 6 septembre a 18h30 devant l'ambassade de Hongrie a Paris (rediffusion)
Ara
armenews.com
mercredi 5 septembre 2012
Le transfèrement en Azerbaïdjan et la liberation immediate du monstre
Ramil Safarov, condamne en 2006 a la perpetuite avec une peine
incompressible de 30 ans par la justice hongroise, constituent non
seulement un encouragement a la barbarie, mais aussi une violation de
toutes les règles du droit international en la matière, en particulier
la convention de Strasbourg.
Le CCAF qui a deja exprime sa consternation quant a tournure
scandaleuse prise par cette affaire, ne saurait la considerer comme
sa conclusion definitive. Il appelle en particulier les autorites
hongroises, qui ont dans le meilleur des cas agi avec une extreme
legèrete dans ce dossier, a faire respecter leur propre decision de
justice. Il leur appartient en particulier d'exiger de l'Azerbaïdjan,
pour le moins, la mise sous les verrous de ce monstre qui s'etait
rendu coupable de l'assassinat a coups de hache, durant son sommeil,
de l'officier Kourken Markarian, dans un stage de l'OTAN a Budapest.
La communaute armenienne de France, comme l'ensemble de la nation,
qu'elle soit sur le sol national ou en diaspora, ne peut tolerer
qu'a l'approche du centième anniversaire du genocide de 1915, le
panturquisme continue a promouvoir aussi ouvertement l'entreprise
d'extermination en oeuvrant pour l'impunite des crimes racistes commis
contre les Armeniens.
La liberation de Ramil Samirof est un deni de justice envers le
lieutenant Kourken Markarian.
Elle est une violation du droit international.
Elle est un defi au droit a l'existence et a la liberte du peuple
armenien.
Elle est une provocation a la recidive.
Il faut denoncer cette situation honteuse et contraire a toutes
les valeurs du Conseil de l'Europe, auquel appartiennent la Hongrie
comme l'Azerbaïdjan.
Il faut exiger la reincarceration de Ramil Samirof et la poursuite
de sa peine sous contrôle international.
Manifestation devant l'ambassade de Hongrie,
78 avenue Foch
jeudi 6 septembre a 18h30
Metro Porte Dauphine
Ara
armenews.com
mercredi 5 septembre 2012
Le transfèrement en Azerbaïdjan et la liberation immediate du monstre
Ramil Safarov, condamne en 2006 a la perpetuite avec une peine
incompressible de 30 ans par la justice hongroise, constituent non
seulement un encouragement a la barbarie, mais aussi une violation de
toutes les règles du droit international en la matière, en particulier
la convention de Strasbourg.
Le CCAF qui a deja exprime sa consternation quant a tournure
scandaleuse prise par cette affaire, ne saurait la considerer comme
sa conclusion definitive. Il appelle en particulier les autorites
hongroises, qui ont dans le meilleur des cas agi avec une extreme
legèrete dans ce dossier, a faire respecter leur propre decision de
justice. Il leur appartient en particulier d'exiger de l'Azerbaïdjan,
pour le moins, la mise sous les verrous de ce monstre qui s'etait
rendu coupable de l'assassinat a coups de hache, durant son sommeil,
de l'officier Kourken Markarian, dans un stage de l'OTAN a Budapest.
La communaute armenienne de France, comme l'ensemble de la nation,
qu'elle soit sur le sol national ou en diaspora, ne peut tolerer
qu'a l'approche du centième anniversaire du genocide de 1915, le
panturquisme continue a promouvoir aussi ouvertement l'entreprise
d'extermination en oeuvrant pour l'impunite des crimes racistes commis
contre les Armeniens.
La liberation de Ramil Samirof est un deni de justice envers le
lieutenant Kourken Markarian.
Elle est une violation du droit international.
Elle est un defi au droit a l'existence et a la liberte du peuple
armenien.
Elle est une provocation a la recidive.
Il faut denoncer cette situation honteuse et contraire a toutes
les valeurs du Conseil de l'Europe, auquel appartiennent la Hongrie
comme l'Azerbaïdjan.
Il faut exiger la reincarceration de Ramil Samirof et la poursuite
de sa peine sous contrôle international.
Manifestation devant l'ambassade de Hongrie,
78 avenue Foch
jeudi 6 septembre a 18h30
Metro Porte Dauphine