MEDIAS-GENOCIDE ARMENIEN
« Le Nouvel Observateur » évoque sous le titre « Génocide arménien :
le livre choc » l'ouvrage de Hasan Cemal
Dans son dernier numéro daté du 20 au 26 septembre (n°2498)
l'hebdomadaire « Le Nouvel Observateur dans sa page « Monde » consacre
un court article consacré à la Turquie sous le titre « Génocide
arménien : le livre choc ». « Le Nouvel Observateur » écrit « A peine
sorti, le nouveau livre de Hasan Cemal, célèbre journaliste turc, est
déjà un évènement. « 1915, le génocide arménien » évoque sans
euphémisme le grand crime fondateur de la Turquie moderne et appelle
Ankara à « faire la paix avec son histoire ». Cet ouvrage est d'autant
plus remarqué que son auteur se trouve être le petit-fils de Djemal
Pacha, ministre de la Marine du gouvernement jeune-turc, membre du
triumvirat au pouvoir en 1915. Hasan Cemal y raconte son cheminement
personnel, entre histoire familiale et devoir de mémoire. Une
réflexion qui l'a conduit à aller s'agenouiller, en 2008, sur le
mémorial du génocide en Arménie ».
Le sujet aurait sans doute mérité d'autres réactions de la presse et
des médias en France.
Krikor Amirzayan
dimanche 23 septembre 2012,
Krikor Amirzayan ©armenews.com
From: A. Papazian
« Le Nouvel Observateur » évoque sous le titre « Génocide arménien :
le livre choc » l'ouvrage de Hasan Cemal
Dans son dernier numéro daté du 20 au 26 septembre (n°2498)
l'hebdomadaire « Le Nouvel Observateur dans sa page « Monde » consacre
un court article consacré à la Turquie sous le titre « Génocide
arménien : le livre choc ». « Le Nouvel Observateur » écrit « A peine
sorti, le nouveau livre de Hasan Cemal, célèbre journaliste turc, est
déjà un évènement. « 1915, le génocide arménien » évoque sans
euphémisme le grand crime fondateur de la Turquie moderne et appelle
Ankara à « faire la paix avec son histoire ». Cet ouvrage est d'autant
plus remarqué que son auteur se trouve être le petit-fils de Djemal
Pacha, ministre de la Marine du gouvernement jeune-turc, membre du
triumvirat au pouvoir en 1915. Hasan Cemal y raconte son cheminement
personnel, entre histoire familiale et devoir de mémoire. Une
réflexion qui l'a conduit à aller s'agenouiller, en 2008, sur le
mémorial du génocide en Arménie ».
Le sujet aurait sans doute mérité d'autres réactions de la presse et
des médias en France.
Krikor Amirzayan
dimanche 23 septembre 2012,
Krikor Amirzayan ©armenews.com
From: A. Papazian