AZERBAÏDJAN
Pour certains, il est plus facile de marcher sur la Lune qu'en Azerbaïdjan
Le ministère azerbaïdjanais des affaires étrangères a annoncé que
l'astronaute américain Charles Duke, membre de la mission Apollo 16
qui s'était rendue sur la Lune en 1972, était persona non grata en
Azerbaïdjan.
L'astronaute suisse Claude Nicollier, lui aussi interdit de séjour à
Bakou, participaient à une conférence sur l'espace le 16 septembre à
Stepanakert, la capitale du Haut-Karabagh, une présence qui suffit à
les inscrire sur la liste noire de Bakou. La conférence était dédiée à
Neil Armstrong, le premier home à avoir mis le pied sur la lune,
disparu le 25 août dernier.
Les autorités azerbaïdjanaises ont fait savoir à plusieurs reprises
que toute personne qui mettrait le pied au Haut Karabagh sous contrôle
arménien sans en avoir informé Bakou, qui prétend exercer son autorité
sur le territoire peuplé majoritairement arménien, et sans avoir
obtenu l'aval des autorités azéries, serait considérée automatiquement
persona non grata en Azerbaïdjan. Duke n'est pas seulement le 10e des
12 hommes qui ont foulé le sol lunaire, il peut se flatter aussi
d'avoir été le plus jeune de tous les astronautes ayant eu ce
privilège. IL était en effet gé de 36 ans quand il a marché sur la
lune dans le cadre de la 5e mission lunaire habitée organisée par la
NASA.
Quant à Nicollier, il a participée à qu atre missions à bord de la
navette spaciale américaine de 1992 à 1999, et il a été le premier
astronaute représentant l'Agence spatiale européenne à évoluer si ce
n'est sur la lune, en tout cas dans l'espace en effectutant une sortie
hors de la navette.
Le ministre de l'éducation et des sciences de la République du Haut
Karabagh, Vladik Khatchatrian, a justifié la tenue à Stepanakert d'une
conférenne internationale dédiée à l'espace et plus précisément à Neil
Armstrong par un message adressé aux participants de cette rencontre
dans lequel il explique que l'Arménie a gardé des vestiges qui
prouvent que l'on y observait l'univers depuis la plus haute
antiquité.
Le 20e siècle a été l'ge d'or de l'astronomie arménienne, a-t-il
ajouté, dans une allusion au célèbre astrophysicien Viktor
Ambartsoumian qui a fondé l'observatoire de Biurakan, toujours en
activité, et en soulignant que de nombreux spécialistes dans ce
domaine de recherche scientifique avaient vu le jour en Artsakh.
dimanche 23 septembre 2012,
Gari ©armenews.com
From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress
Pour certains, il est plus facile de marcher sur la Lune qu'en Azerbaïdjan
Le ministère azerbaïdjanais des affaires étrangères a annoncé que
l'astronaute américain Charles Duke, membre de la mission Apollo 16
qui s'était rendue sur la Lune en 1972, était persona non grata en
Azerbaïdjan.
L'astronaute suisse Claude Nicollier, lui aussi interdit de séjour à
Bakou, participaient à une conférence sur l'espace le 16 septembre à
Stepanakert, la capitale du Haut-Karabagh, une présence qui suffit à
les inscrire sur la liste noire de Bakou. La conférence était dédiée à
Neil Armstrong, le premier home à avoir mis le pied sur la lune,
disparu le 25 août dernier.
Les autorités azerbaïdjanaises ont fait savoir à plusieurs reprises
que toute personne qui mettrait le pied au Haut Karabagh sous contrôle
arménien sans en avoir informé Bakou, qui prétend exercer son autorité
sur le territoire peuplé majoritairement arménien, et sans avoir
obtenu l'aval des autorités azéries, serait considérée automatiquement
persona non grata en Azerbaïdjan. Duke n'est pas seulement le 10e des
12 hommes qui ont foulé le sol lunaire, il peut se flatter aussi
d'avoir été le plus jeune de tous les astronautes ayant eu ce
privilège. IL était en effet gé de 36 ans quand il a marché sur la
lune dans le cadre de la 5e mission lunaire habitée organisée par la
NASA.
Quant à Nicollier, il a participée à qu atre missions à bord de la
navette spaciale américaine de 1992 à 1999, et il a été le premier
astronaute représentant l'Agence spatiale européenne à évoluer si ce
n'est sur la lune, en tout cas dans l'espace en effectutant une sortie
hors de la navette.
Le ministre de l'éducation et des sciences de la République du Haut
Karabagh, Vladik Khatchatrian, a justifié la tenue à Stepanakert d'une
conférenne internationale dédiée à l'espace et plus précisément à Neil
Armstrong par un message adressé aux participants de cette rencontre
dans lequel il explique que l'Arménie a gardé des vestiges qui
prouvent que l'on y observait l'univers depuis la plus haute
antiquité.
Le 20e siècle a été l'ge d'or de l'astronomie arménienne, a-t-il
ajouté, dans une allusion au célèbre astrophysicien Viktor
Ambartsoumian qui a fondé l'observatoire de Biurakan, toujours en
activité, et en soulignant que de nombreux spécialistes dans ce
domaine de recherche scientifique avaient vu le jour en Artsakh.
dimanche 23 septembre 2012,
Gari ©armenews.com
From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress