ARMENIE
1988-2013 : Un quart de siècle de reconstruction, une vie pour se souvenir
Une horloge dans une rue à Gyumri arrêtée à la suite du tremblement de
terre montre le moment où le séisme dévastateur a frappé la ville le 7
Décembre 1988.
Le tremblement de terre de Spitak le 7 Décembre 1988 a été un moment
déterminant dans l'histoire de l'Arménie actuelle.
La perte profonde des vies n'était que le début de la souffrance et
des défis dans les années à venir qui verrait l'effondrement d'une
structure politique, la naissance compliquée d'un nouveau monde, les
difficultés historiques apportées par le blocus énergétique et la
guerre qui - le tout combiné - ont paralysé l' Arménie de façon
inimaginable.
Tant de temps s'est écoulé depuis qu'une seconde, après le séisme, la
reconstruction a commencé, que des enfants sont nés en tant que «
remplaçants » des enfants perdus il y a 25 ans. Mais pas assez de
temps s'est écoulé pour annuler la dévastation.
Les Arméniens sont connus pour savoir survivre. Pourtant, après un
quart de siècle de reconstruction, les blessures du 7 Décembre 1988
n'ont pas disparu malgré une attention constante à transformer la
`zone de catastrophe` en un semblant de normalité pour ceux qui ont
survécu l'horreur du séisme.
samedi 7 décembre 2013,
Stéphane ©armenews.com
From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress
1988-2013 : Un quart de siècle de reconstruction, une vie pour se souvenir
Une horloge dans une rue à Gyumri arrêtée à la suite du tremblement de
terre montre le moment où le séisme dévastateur a frappé la ville le 7
Décembre 1988.
Le tremblement de terre de Spitak le 7 Décembre 1988 a été un moment
déterminant dans l'histoire de l'Arménie actuelle.
La perte profonde des vies n'était que le début de la souffrance et
des défis dans les années à venir qui verrait l'effondrement d'une
structure politique, la naissance compliquée d'un nouveau monde, les
difficultés historiques apportées par le blocus énergétique et la
guerre qui - le tout combiné - ont paralysé l' Arménie de façon
inimaginable.
Tant de temps s'est écoulé depuis qu'une seconde, après le séisme, la
reconstruction a commencé, que des enfants sont nés en tant que «
remplaçants » des enfants perdus il y a 25 ans. Mais pas assez de
temps s'est écoulé pour annuler la dévastation.
Les Arméniens sont connus pour savoir survivre. Pourtant, après un
quart de siècle de reconstruction, les blessures du 7 Décembre 1988
n'ont pas disparu malgré une attention constante à transformer la
`zone de catastrophe` en un semblant de normalité pour ceux qui ont
survécu l'horreur du séisme.
samedi 7 décembre 2013,
Stéphane ©armenews.com
From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress