ARMENIE-SEISME
4 500 familles de Gumri vivent encore dans des doumiks 25 ans après de
séisme de 1988
25 ans après le séisme meurtrier de décembre 1988 près de 4 500
familles vivent encore dans des doumiks (habitations précaires) à
Gumri, la deuxième plus grande ville d'Arménie. Les conditions de vie
rendent la vie très difficile, dans ces maisons qui n'ont aucun
confort. Situation particulièrement difficile l'hiver avec le froid
dans des zones où la température descend facilement sous le seuil de
-10°. En 25 ans, les autorités arméniennes ne sont pas parvenus à
reloger l'ensemble des sinistrés de cette ville considérée comme la
capitale de la culture.
Ces conditions difficiles et le manque d'emplois obligea un nombre
important de la population à émigrer, principalement vers la Russie.
Gumri qui compta jusqu'à 220 000 habitants n'est plus peuplé que par
près de 130 000 ou 140 000 personnes aujourd'hui. Quelque peu
délaissée par Erévan où se concentre plus de la moitié de l'activité
de l'Arménie, Gumri survit, loin des regards tant des autorités et des
investisseurs.
Krikor Amirzayan
dimanche 8 décembre 2013,
Krikor Amirzayan ©armenews.com
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=95463
4 500 familles de Gumri vivent encore dans des doumiks 25 ans après de
séisme de 1988
25 ans après le séisme meurtrier de décembre 1988 près de 4 500
familles vivent encore dans des doumiks (habitations précaires) à
Gumri, la deuxième plus grande ville d'Arménie. Les conditions de vie
rendent la vie très difficile, dans ces maisons qui n'ont aucun
confort. Situation particulièrement difficile l'hiver avec le froid
dans des zones où la température descend facilement sous le seuil de
-10°. En 25 ans, les autorités arméniennes ne sont pas parvenus à
reloger l'ensemble des sinistrés de cette ville considérée comme la
capitale de la culture.
Ces conditions difficiles et le manque d'emplois obligea un nombre
important de la population à émigrer, principalement vers la Russie.
Gumri qui compta jusqu'à 220 000 habitants n'est plus peuplé que par
près de 130 000 ou 140 000 personnes aujourd'hui. Quelque peu
délaissée par Erévan où se concentre plus de la moitié de l'activité
de l'Arménie, Gumri survit, loin des regards tant des autorités et des
investisseurs.
Krikor Amirzayan
dimanche 8 décembre 2013,
Krikor Amirzayan ©armenews.com
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=95463