NEGATIONNISME
Renaissance arménienne condamne la CEHD
Dans un arrêt rendu le 17 décembre 2013 à Strasbourg, la Cour
Européenne des Droits de l'Homme affirme que le fait de nier le
génocide arménien ne constitue pas un délit.
Selon elle, la décision rendue en 2007 par la justice suisse,
condamnant le Président du parti des travailleurs de Turquie, Dogu
Perinçek pour ses propos négationnistes, porte atteinte à la liberté
d'expression.
Renaissance arménienne - Paris condamne cette décision avec la plus
grande fermeté.
Par cette décision, la CEDH dénature le sens profond de ce qu'est la «
liberté d'expression » pour en faire l'arme de tous les dangers pour
tous ceux qui contreviennent au principe du droit à la dignité
humaine.
Par cette décision, la CEDH tend à disqualifier l'ensemble de ses
propres missions.
Par cette décision, la CEDH dénie au peuple arménien le droit à
l'existence, au peuple turc le droit à la vérité sur sa propre
histoire. Aujourd'hui, les Arméniens, demain qui ou quel autre peuple
? Car cette décision aura des lendemains.
Cette décision interroge, est-ce par inculture, est-ce par on ne sait
quelle légèreté, on ne sait quels intérêts sous-jacents, que l'on veut
ignorer ce qui est arrivé au peuple arménien, que l'on veut ignorer
que l'Etat turc est un Etat porteur d'une idéologie négationniste et
que Dogu Perinçek est le serviteur zélé de cette idéologie qui scelle
et consacre le crime des crimes ?
Renaissance arménienne - Paris condamne cette décision qu'elle
considère comme une dérive dont les conséquences peuvent être d'une
extrême gravité et invite les démocrates conscients de ces
conséquences à réagir.
Renaissance arménienne - Paris invite tout particulièrement l'ensemble
des Arméniens, en Arménie comme dans le monde, à réagir (pétitions,
lettres, etc.), personnellement et à travers leurs instances.
Paris le 20/12/2013
samedi 21 décembre 2013,
Ara ©armenews.com
Renaissance arménienne condamne la CEHD
Dans un arrêt rendu le 17 décembre 2013 à Strasbourg, la Cour
Européenne des Droits de l'Homme affirme que le fait de nier le
génocide arménien ne constitue pas un délit.
Selon elle, la décision rendue en 2007 par la justice suisse,
condamnant le Président du parti des travailleurs de Turquie, Dogu
Perinçek pour ses propos négationnistes, porte atteinte à la liberté
d'expression.
Renaissance arménienne - Paris condamne cette décision avec la plus
grande fermeté.
Par cette décision, la CEDH dénature le sens profond de ce qu'est la «
liberté d'expression » pour en faire l'arme de tous les dangers pour
tous ceux qui contreviennent au principe du droit à la dignité
humaine.
Par cette décision, la CEDH tend à disqualifier l'ensemble de ses
propres missions.
Par cette décision, la CEDH dénie au peuple arménien le droit à
l'existence, au peuple turc le droit à la vérité sur sa propre
histoire. Aujourd'hui, les Arméniens, demain qui ou quel autre peuple
? Car cette décision aura des lendemains.
Cette décision interroge, est-ce par inculture, est-ce par on ne sait
quelle légèreté, on ne sait quels intérêts sous-jacents, que l'on veut
ignorer ce qui est arrivé au peuple arménien, que l'on veut ignorer
que l'Etat turc est un Etat porteur d'une idéologie négationniste et
que Dogu Perinçek est le serviteur zélé de cette idéologie qui scelle
et consacre le crime des crimes ?
Renaissance arménienne - Paris condamne cette décision qu'elle
considère comme une dérive dont les conséquences peuvent être d'une
extrême gravité et invite les démocrates conscients de ces
conséquences à réagir.
Renaissance arménienne - Paris invite tout particulièrement l'ensemble
des Arméniens, en Arménie comme dans le monde, à réagir (pétitions,
lettres, etc.), personnellement et à travers leurs instances.
Paris le 20/12/2013
samedi 21 décembre 2013,
Ara ©armenews.com