LE DICTATEUR AZERBAIDJANAIS ILHAM ALIEV S'EN PREND DESORMAIS A SES PROPRES ECRIVAINS
Le Conseil de coordination des organisations armeniennes de France
condamne fermement l'Azerbaïdjan pour les mesures liberticides prises
par son president, Ilham Aliev contre le citoyen azerbaïdjanais Ekrem
Eylisli, dramaturge et auteur d'un recent ouvrage dans lequel il
denonce les massacres des Armeniens commis en 1919 par le pouvoir
azerbaïdjanais de l'epoque. Le chef de l'Etat azerbaïdjanais en
personne lui a retire le titre " d'ecrivain populaire " et un parti
pro-gouvernemental, Muasir Musafat (Egalite Moderne) a promis a
quiconque de verser une prime de 12 700 dollars pour chaque oreille
decoupee de l'ecrivain. Les autorites azerbaïdjanaises ont par
ailleurs autorise leur population a brûler en place publique les
ouvrages de cet auteur desormais interdit de publication dans son
propre pays. De veritables autodafes de son ouvrage, dont les images
rappellent les exemples les plus insupportables de l'epoque nazie,
s'organisent contre l'~\uvre de cet ecrivain, qui n'a rien dit d'autre
que la verite historique.
Ces procedes s'inscrivent dans la derive dictatoriale de la dynastie
Aliev qui après avoir institutionnalise la haine contre les Armeniens
dans toute la societe, tout en pretendant exercer son empire sur
ceux de la Republique du Haut Karabagh, s'en prend desormais aux
intellectuels azeris refractaires a ce racisme.
Jusqu'a quand l'Union europeenne et le Conseil de l'Europe vont-ils
menager l'Azerbaïdjan, pays dont les pratiques et le regime sont aux
antipodes des valeurs humanistes et democratiques europeennes ?
Le CCAF demande donc aux autorites de la Republique francaise de
prendre dans les meilleurs delais des mesures concrètes pour garantir
la liberte et la securite de l'ecrivain azerbaïdjanais Ekrem Eylisli.
Conseil National du CCAF
mercredi 13 fevrier 2013, Ara ©armenews.com
Le Conseil de coordination des organisations armeniennes de France
condamne fermement l'Azerbaïdjan pour les mesures liberticides prises
par son president, Ilham Aliev contre le citoyen azerbaïdjanais Ekrem
Eylisli, dramaturge et auteur d'un recent ouvrage dans lequel il
denonce les massacres des Armeniens commis en 1919 par le pouvoir
azerbaïdjanais de l'epoque. Le chef de l'Etat azerbaïdjanais en
personne lui a retire le titre " d'ecrivain populaire " et un parti
pro-gouvernemental, Muasir Musafat (Egalite Moderne) a promis a
quiconque de verser une prime de 12 700 dollars pour chaque oreille
decoupee de l'ecrivain. Les autorites azerbaïdjanaises ont par
ailleurs autorise leur population a brûler en place publique les
ouvrages de cet auteur desormais interdit de publication dans son
propre pays. De veritables autodafes de son ouvrage, dont les images
rappellent les exemples les plus insupportables de l'epoque nazie,
s'organisent contre l'~\uvre de cet ecrivain, qui n'a rien dit d'autre
que la verite historique.
Ces procedes s'inscrivent dans la derive dictatoriale de la dynastie
Aliev qui après avoir institutionnalise la haine contre les Armeniens
dans toute la societe, tout en pretendant exercer son empire sur
ceux de la Republique du Haut Karabagh, s'en prend desormais aux
intellectuels azeris refractaires a ce racisme.
Jusqu'a quand l'Union europeenne et le Conseil de l'Europe vont-ils
menager l'Azerbaïdjan, pays dont les pratiques et le regime sont aux
antipodes des valeurs humanistes et democratiques europeennes ?
Le CCAF demande donc aux autorites de la Republique francaise de
prendre dans les meilleurs delais des mesures concrètes pour garantir
la liberte et la securite de l'ecrivain azerbaïdjanais Ekrem Eylisli.
Conseil National du CCAF
mercredi 13 fevrier 2013, Ara ©armenews.com