Appo Jabarian
La Turquie à l'Avant-garde du Terrorisme International en Syrie
Par Appo Jabarian, Directeur Exécutif/ Responsable de l'édition USA
Armenian Life et Hay Guiank Armenian Weekly (édition en arménien)
D'après Joseph Fitsanakis d' Intelnews.org, les autorités turques
auraient ` rejeté une demande officielle d'extradition des États Unis
concernant l'un des gendres d'Oussama Ben Laden, qui a été arrêté à
Ankara vendredi à la suite d'une dénonciation de la CIA. Suleiman Abu
Ghaith est né au Koweit mais sa citoyenneté lui a été retirée après
qu'il se soit publiquement opposé à la légitimité de la monarchie
koweïtie et demandé l'institution de la charia dans l'émirat
producteur de pétrole. En 2000, il s'est rendu en Afghanistan, où il a
rencontré Oussama Ben Laden et a rejoint Al Qaeda. Il a par la suite
épousé Fatima Ben Laden, l'une des nombreuses filles de Ben Laden `.
Peu de temps près l'entrée récente de Ghaith en Turquie, la CIA a
contacté les membres de l'Organisation Nationale Turque du
Renseignement (connue sous le nom de MIT), les informant qu'il était
entré dans ce pays à l'aide d'un faux-passeport. Il a été rapidement
arrêté dans un hôtel chic du quartier Cankaya. L'hôtel où Ghaith a été
arrêté est situé tout près de la résidence du président turc Abdullah
Gul et à un jet de pierre de l'ambassade des USA et d'autres
ambassades, rapporte le grand quotidien de Turquie Milliyet.
Ce n'est pas la première fois que la Turquie est directement impliquée
dans une action dirigée contre des terroristes et leur hébergement.
L'importation et l'exportation du terrorisme international est en
Turquie une tradition.
Ce jeudi 6 février, environ deux cents jeunes Américains pour la
plupart Arabes, Anglais, Africains, Arméniens, Assyriens et Kurdes
d'origine ont désigné la Turquie comme responsable des activités
criminelles d'Ankara dans un pays voisin - la Syrie.
Les protestataires, des personnes aisées pour la plupart, ont pris sur
le temps précieux de leur vie professionnelle ou personnelle et se
sont dirigées vers le consulat de Turquie à Los Angeles, condamnant le
rôle de la Turquie dans la destruction de la Syrie diverse aux plans
ethnique, religieux, et culturel.
Les manifestants se sont exprimés haut et clair : ` La Turquie doit
cesser de soutenir les terroristes d'Al Qaeda en Syrie `, ` La Turquie
doit cesser le pillage des entreprises de Syrie ` ; ` Les Terroristes
de la Turquie tuent les Chrétiens `, ` La Turquie doit cesser son
agression contre le peuple syrien `, et ` l'empire ottoman , PLUS
jamais ! ` parmi d'autres.
Malgré une rhétorique mal avisée et velléitaire depuis dix-huit mois,
selon laquelle le Président Assad ` serait sur le point de s'en aller
`, jusqu'à présent, les méga entreprises occidentales et leur base
avancée la Turquie ont échoué dans leur projet d'un autre soi-disant
Printemps Arabe de faire tomber le régime atypique en orient de Bechar
El Assad.
En conséquence, les groupes de pression des méga entreprises aux USA
et en Europe qui ont dicté la politique étrangère des USA au Moyen
Orient se sont heurtées à la tenace population syrienne et à leurs
forces patriotiques absolument opposées aux extrémistes islamiques
pour la plupart non-syriens dans le pays. C'est ainsi qu'un plan
concerté - soutenu par le terrorisme par procuration de la Turquie, a
été initialement conçu pour faire chuter le régime Assad. Mais le plan
a dégénéré en un bourbier syrien inattendu, engageant gravement la
responsabilité des néoconservateurs de Washington et leur protégée la
Turquie. Le premier ministre actuel de la Turquie Erdogan qui a pris
la tête de l'invasion de la Syrie est sur le point de perdre le
soutien des Turcs Musulmans chez lui et au Moyen Orient.
Avec juste raison, les manifestants de jeudi passé à Los Angeles ont
crié ` Erdogan doit s'en aller ! `
Pensant que se retourner contre ` son frère ` en Syrie le Président
Assad lui rapporterait un avantage matériel et politique, le premier
ministre Erdogan a changé de bord et a commencé à soutenir les
extrémistes étrangers pour la plupart non Syriens en facilitant leur
invasion de la Syrie.
Erdogan avait mis de grands espoirs dans une chute rapide du régime de
Damas, ce qui lui aurait rapporté des bénéfices économiques et
politiques énormes. Les choses, cependant, ne ses ont pas passées
comme il l'espérait.
Au plus le régime d'Assad montrait les signes qu'il resterait au
pouvoir, au plus il s'obstinait dans son soutien des éléments anti
démocratiques pour la plupart non Syriens envoyés en Syrie via la
Turquie. Son rêve s'est avéré illusoire.
Une proportion importante du peuple en Syrie et autour du monde
réalise à présent le légitime mouvement de réforme intérieur syrien a
déjà été détourné par les terroristes de Turquie en Syrie.
L'opposition patriotique syrienne se lamente et affecte à la Turquie
la faute que le pays soit devenu une zone criminalisée.
Avec les atrocités commises par les terroristes de Turquie à Alep et
en d'autres lieux, les possibilités d'un mouvement présentable portant
des réformes réelles sont désormais nulles. La Turquie ne peut plus
prétendre à la plus haute autorité morale. L'apparence turque d'
`humanitarisme ` a dégénéré en une campagne génocidaire contre les
musulmans modérés de Syrie tels les Sunnites, les Alawites, les Druzes
et les Kurdes ; tout comme les Arméniens, les Syriaques, les Assyriens
et autres Chrétiens.
Conformément à sa propre intolérance sociale, la Turquie semble avoir
l'intention de saper et finalement désintégrer la société
d'acceptation et de tolérance mutuelles de la Syrie, diverse
ethniquement et au plan religieux.
Au cours de la manifestation de la semaine passée devant le consulat
de Turquie à Los Angeles, le Syrien d'Amérique Johnny Achi a déclaré à
l'aide d'un haut- parleur : ` La Turquie est directement responsable
du sang qui est versé en Syrie... Nous exigeons que la Turquie ARRÊTE
de soutenir le terrorisme et ARRÊTE d'intervenir en Syrie `.
Parlant au nom des Arabes Américains pour la Syrie, des Syriens en
Californie du Sud, des S`urs Syriennes en Californie du Sud, du Comité
ANSWER, du Centre International d'Action, des Arméniens Syriens
Américains (SAA), des Libanais pour un Syrie Unie, de l'Union des
Patriotes Syriens, Achi a souligné : ` 1) La Turquie soutient
l'accueil et la formation de terroristes et de mercenaires venus du
monde entier, et leur procure ensuite un sauf conduit pour entrer et
sortir de Syrie. 2) La Turquie aide à l'apport d'armes et d'artillerie
et au soutien logistique de tous les différents groupes terroristes en
Syrie. 3) Les terroristes de Turquie ont procédé à des attaques
systématiques de villages syriens comportant des minorités - des
villages syriens chrétiens, kurdes et arméniens ont payé un très lourd
tribut dans les récents mous tandis que la Turquie accentue ses
persécutions dans le style ottoman des communautés kurde, arabe,
chrétiennes et arménienne de Syrie. 4) La Turquie, au su de son
gouvernement, a reçu des biens volés à plus d'un millier d'usines de
la ville industrielle d'Alep, détruisant systématiquement l'économie
syrienne. 5) Le soutien de la Turquie à l'organisation terroriste des
Frères Musulmans et autres groupes extrémistes Salafistes, Takfirites,
Wahabites ou du Front Nusra encourage le fanatisme religieux et
détruit le tissu séculaire de la Syrie. 6) La Turquie est responsable
de la détention d'otages libanais au nord de la Syrie, et doit les
relcher immédiatement `.
M. Achi a conclu en demandant que la Turquie participe à ` promouvoir
la paix en Syrie, et pas la guerre, cesser le soutien actif des divers
groupes terroristes en Syrie, et pour cesser le trafic d'armes et de
moyens de télécommunications à travers sa frontière `.
Aujourd'hui, c'est évident, la Turquie n'est pas un courtier honnête
pour ce conflit. Se montrant politiquement opportuniste, Ankara a
saboté elle-même sa politique du ` Zéro problème avec ses voisins `.
A ce stade terminal d'une partie perdue, le gouvernement Erdogan peut
encore sauver son existence politique à l'intérieur comme à
l'extérieur en se retirant complètement de la Syrie.
La Turquie a déjà suffisamment des problèmes à l'intérieur.
En abandonnant la mauvaise politique qu'elle a elle-même conçue en
Syrie, Ankara pourrait rechercher une solution pacifique à 1) La crise
Kurde en Turquie. 2) La demande de justice des Arméniens. 3) La
demande chypriote de retrait inconditionnel de la partie nord de
Chypre. 4) Les demandes internationales de levée du blocus contre
l'Arménie. 5) Mettre fin durablement aux violations massives aux
droits de l'homme qui ont cours dans ce qu'on appelle actuellement la
Turquie.
vendredi 15 février 2013,
Jean Eckian ©armenews.com
From: Baghdasarian
La Turquie à l'Avant-garde du Terrorisme International en Syrie
Par Appo Jabarian, Directeur Exécutif/ Responsable de l'édition USA
Armenian Life et Hay Guiank Armenian Weekly (édition en arménien)
D'après Joseph Fitsanakis d' Intelnews.org, les autorités turques
auraient ` rejeté une demande officielle d'extradition des États Unis
concernant l'un des gendres d'Oussama Ben Laden, qui a été arrêté à
Ankara vendredi à la suite d'une dénonciation de la CIA. Suleiman Abu
Ghaith est né au Koweit mais sa citoyenneté lui a été retirée après
qu'il se soit publiquement opposé à la légitimité de la monarchie
koweïtie et demandé l'institution de la charia dans l'émirat
producteur de pétrole. En 2000, il s'est rendu en Afghanistan, où il a
rencontré Oussama Ben Laden et a rejoint Al Qaeda. Il a par la suite
épousé Fatima Ben Laden, l'une des nombreuses filles de Ben Laden `.
Peu de temps près l'entrée récente de Ghaith en Turquie, la CIA a
contacté les membres de l'Organisation Nationale Turque du
Renseignement (connue sous le nom de MIT), les informant qu'il était
entré dans ce pays à l'aide d'un faux-passeport. Il a été rapidement
arrêté dans un hôtel chic du quartier Cankaya. L'hôtel où Ghaith a été
arrêté est situé tout près de la résidence du président turc Abdullah
Gul et à un jet de pierre de l'ambassade des USA et d'autres
ambassades, rapporte le grand quotidien de Turquie Milliyet.
Ce n'est pas la première fois que la Turquie est directement impliquée
dans une action dirigée contre des terroristes et leur hébergement.
L'importation et l'exportation du terrorisme international est en
Turquie une tradition.
Ce jeudi 6 février, environ deux cents jeunes Américains pour la
plupart Arabes, Anglais, Africains, Arméniens, Assyriens et Kurdes
d'origine ont désigné la Turquie comme responsable des activités
criminelles d'Ankara dans un pays voisin - la Syrie.
Les protestataires, des personnes aisées pour la plupart, ont pris sur
le temps précieux de leur vie professionnelle ou personnelle et se
sont dirigées vers le consulat de Turquie à Los Angeles, condamnant le
rôle de la Turquie dans la destruction de la Syrie diverse aux plans
ethnique, religieux, et culturel.
Les manifestants se sont exprimés haut et clair : ` La Turquie doit
cesser de soutenir les terroristes d'Al Qaeda en Syrie `, ` La Turquie
doit cesser le pillage des entreprises de Syrie ` ; ` Les Terroristes
de la Turquie tuent les Chrétiens `, ` La Turquie doit cesser son
agression contre le peuple syrien `, et ` l'empire ottoman , PLUS
jamais ! ` parmi d'autres.
Malgré une rhétorique mal avisée et velléitaire depuis dix-huit mois,
selon laquelle le Président Assad ` serait sur le point de s'en aller
`, jusqu'à présent, les méga entreprises occidentales et leur base
avancée la Turquie ont échoué dans leur projet d'un autre soi-disant
Printemps Arabe de faire tomber le régime atypique en orient de Bechar
El Assad.
En conséquence, les groupes de pression des méga entreprises aux USA
et en Europe qui ont dicté la politique étrangère des USA au Moyen
Orient se sont heurtées à la tenace population syrienne et à leurs
forces patriotiques absolument opposées aux extrémistes islamiques
pour la plupart non-syriens dans le pays. C'est ainsi qu'un plan
concerté - soutenu par le terrorisme par procuration de la Turquie, a
été initialement conçu pour faire chuter le régime Assad. Mais le plan
a dégénéré en un bourbier syrien inattendu, engageant gravement la
responsabilité des néoconservateurs de Washington et leur protégée la
Turquie. Le premier ministre actuel de la Turquie Erdogan qui a pris
la tête de l'invasion de la Syrie est sur le point de perdre le
soutien des Turcs Musulmans chez lui et au Moyen Orient.
Avec juste raison, les manifestants de jeudi passé à Los Angeles ont
crié ` Erdogan doit s'en aller ! `
Pensant que se retourner contre ` son frère ` en Syrie le Président
Assad lui rapporterait un avantage matériel et politique, le premier
ministre Erdogan a changé de bord et a commencé à soutenir les
extrémistes étrangers pour la plupart non Syriens en facilitant leur
invasion de la Syrie.
Erdogan avait mis de grands espoirs dans une chute rapide du régime de
Damas, ce qui lui aurait rapporté des bénéfices économiques et
politiques énormes. Les choses, cependant, ne ses ont pas passées
comme il l'espérait.
Au plus le régime d'Assad montrait les signes qu'il resterait au
pouvoir, au plus il s'obstinait dans son soutien des éléments anti
démocratiques pour la plupart non Syriens envoyés en Syrie via la
Turquie. Son rêve s'est avéré illusoire.
Une proportion importante du peuple en Syrie et autour du monde
réalise à présent le légitime mouvement de réforme intérieur syrien a
déjà été détourné par les terroristes de Turquie en Syrie.
L'opposition patriotique syrienne se lamente et affecte à la Turquie
la faute que le pays soit devenu une zone criminalisée.
Avec les atrocités commises par les terroristes de Turquie à Alep et
en d'autres lieux, les possibilités d'un mouvement présentable portant
des réformes réelles sont désormais nulles. La Turquie ne peut plus
prétendre à la plus haute autorité morale. L'apparence turque d'
`humanitarisme ` a dégénéré en une campagne génocidaire contre les
musulmans modérés de Syrie tels les Sunnites, les Alawites, les Druzes
et les Kurdes ; tout comme les Arméniens, les Syriaques, les Assyriens
et autres Chrétiens.
Conformément à sa propre intolérance sociale, la Turquie semble avoir
l'intention de saper et finalement désintégrer la société
d'acceptation et de tolérance mutuelles de la Syrie, diverse
ethniquement et au plan religieux.
Au cours de la manifestation de la semaine passée devant le consulat
de Turquie à Los Angeles, le Syrien d'Amérique Johnny Achi a déclaré à
l'aide d'un haut- parleur : ` La Turquie est directement responsable
du sang qui est versé en Syrie... Nous exigeons que la Turquie ARRÊTE
de soutenir le terrorisme et ARRÊTE d'intervenir en Syrie `.
Parlant au nom des Arabes Américains pour la Syrie, des Syriens en
Californie du Sud, des S`urs Syriennes en Californie du Sud, du Comité
ANSWER, du Centre International d'Action, des Arméniens Syriens
Américains (SAA), des Libanais pour un Syrie Unie, de l'Union des
Patriotes Syriens, Achi a souligné : ` 1) La Turquie soutient
l'accueil et la formation de terroristes et de mercenaires venus du
monde entier, et leur procure ensuite un sauf conduit pour entrer et
sortir de Syrie. 2) La Turquie aide à l'apport d'armes et d'artillerie
et au soutien logistique de tous les différents groupes terroristes en
Syrie. 3) Les terroristes de Turquie ont procédé à des attaques
systématiques de villages syriens comportant des minorités - des
villages syriens chrétiens, kurdes et arméniens ont payé un très lourd
tribut dans les récents mous tandis que la Turquie accentue ses
persécutions dans le style ottoman des communautés kurde, arabe,
chrétiennes et arménienne de Syrie. 4) La Turquie, au su de son
gouvernement, a reçu des biens volés à plus d'un millier d'usines de
la ville industrielle d'Alep, détruisant systématiquement l'économie
syrienne. 5) Le soutien de la Turquie à l'organisation terroriste des
Frères Musulmans et autres groupes extrémistes Salafistes, Takfirites,
Wahabites ou du Front Nusra encourage le fanatisme religieux et
détruit le tissu séculaire de la Syrie. 6) La Turquie est responsable
de la détention d'otages libanais au nord de la Syrie, et doit les
relcher immédiatement `.
M. Achi a conclu en demandant que la Turquie participe à ` promouvoir
la paix en Syrie, et pas la guerre, cesser le soutien actif des divers
groupes terroristes en Syrie, et pour cesser le trafic d'armes et de
moyens de télécommunications à travers sa frontière `.
Aujourd'hui, c'est évident, la Turquie n'est pas un courtier honnête
pour ce conflit. Se montrant politiquement opportuniste, Ankara a
saboté elle-même sa politique du ` Zéro problème avec ses voisins `.
A ce stade terminal d'une partie perdue, le gouvernement Erdogan peut
encore sauver son existence politique à l'intérieur comme à
l'extérieur en se retirant complètement de la Syrie.
La Turquie a déjà suffisamment des problèmes à l'intérieur.
En abandonnant la mauvaise politique qu'elle a elle-même conçue en
Syrie, Ankara pourrait rechercher une solution pacifique à 1) La crise
Kurde en Turquie. 2) La demande de justice des Arméniens. 3) La
demande chypriote de retrait inconditionnel de la partie nord de
Chypre. 4) Les demandes internationales de levée du blocus contre
l'Arménie. 5) Mettre fin durablement aux violations massives aux
droits de l'homme qui ont cours dans ce qu'on appelle actuellement la
Turquie.
vendredi 15 février 2013,
Jean Eckian ©armenews.com
From: Baghdasarian