LA DICTATURQUE D'AZERBAÏDJAN
Le scénariste azéri Roustam Ibrahimbekov poursuivi par les autorités
d'Azerbaïdjan pour délit d'opinion
Après la création d'un forum critiquant le président-dicateur de
l'Azerbaïdjan Ilham Aliev, le célèbre scénariste azéri Roustam
Ibrahimbekov est dans la ligne de mire du pouvoir. R. Ibrahimbekov (74
ans) devenu célère dans l'URSS pour avoir écrit le scénario du film «
Le soleil blanc du désert » qui était arrivé début janvier en
Azerbaïdjan avait été arrêté quelques jours par la police. Mi-janvier
les autorités fiscales azéries accusaient le scénariste d'avoir fui le
pays sans payer des impôts. Dès 2008, Ibrahimbekov sur le site de «
day.az » critiquait sévèrement le Parlement azéri, le gouvernement et
les intellectuels d'Azerbaïdjan. Aussitôt les députés lui exigeaient
des excuses pour ces déclarations, mais le scénariste avait refusé de
répondre. Les autorités procédaient en représailles à la fermeture de
la salle de cinéma « Ibrous » qui appartenait à R. Ibrahimbekov. Le 19
janvier, il déclarait la naissance du mouvement politique « El » qui
revendiquait des élections libres et justes. Le même jour il quittait
le pays. « Une sale campagne est menée contre Ibrahimbekov à cause de
ses positions politiques et de son intense activité » a déclaré Eltar
Namazov, l'un des fondateurs du mouvement « El ».
Krikor Amirzayan
dimanche 17 février 2013,
Krikor Amirzayan ©armenews.com
Le scénariste azéri Roustam Ibrahimbekov poursuivi par les autorités
d'Azerbaïdjan pour délit d'opinion
Après la création d'un forum critiquant le président-dicateur de
l'Azerbaïdjan Ilham Aliev, le célèbre scénariste azéri Roustam
Ibrahimbekov est dans la ligne de mire du pouvoir. R. Ibrahimbekov (74
ans) devenu célère dans l'URSS pour avoir écrit le scénario du film «
Le soleil blanc du désert » qui était arrivé début janvier en
Azerbaïdjan avait été arrêté quelques jours par la police. Mi-janvier
les autorités fiscales azéries accusaient le scénariste d'avoir fui le
pays sans payer des impôts. Dès 2008, Ibrahimbekov sur le site de «
day.az » critiquait sévèrement le Parlement azéri, le gouvernement et
les intellectuels d'Azerbaïdjan. Aussitôt les députés lui exigeaient
des excuses pour ces déclarations, mais le scénariste avait refusé de
répondre. Les autorités procédaient en représailles à la fermeture de
la salle de cinéma « Ibrous » qui appartenait à R. Ibrahimbekov. Le 19
janvier, il déclarait la naissance du mouvement politique « El » qui
revendiquait des élections libres et justes. Le même jour il quittait
le pays. « Une sale campagne est menée contre Ibrahimbekov à cause de
ses positions politiques et de son intense activité » a déclaré Eltar
Namazov, l'un des fondateurs du mouvement « El ».
Krikor Amirzayan
dimanche 17 février 2013,
Krikor Amirzayan ©armenews.com