ARMENIE
Le président arménien s'attend à une croissance du PIB de 7 pour cent
cette année
Dans une interview avec Rossiya 24 chaîne de télévision russe le
président arménien Serge Sarkissian a déclaré qu'il s'attend à ce que
la croissance du PIB soit de plus de 7%, le taux d'inflation d'environ
3% et le déficit budgétaire d'environ 2,5%.
Il a aussi dit que le pays a amélioré son climat des affaires et a
gagné 18 places dans le classement annuel de Doing Business de la
Banque mondiale.
« L'Arménie est le premier pays parmi les pays de la CEI et la
cinquième en Europe orientale et en Asie centrale en termes de
réalisation des affaires` a déclaré le président.
Serge Sarkissian a souligné que l'Arménie a été bloqué pendant plus de
20 ans par ses voisins l'Azerbaïdjan et la Turquie.
« Le blocus de la Turquie est illégal, et nous vivons et devons
progresser dans des conditions extrêmement difficiles. Nous n'avons
pas de liaisons ferroviaires directes avec la Russie et les pays de la
CEI, ce qui signifie que nos exportateurs sont dans une situation
désavantageuse. Mais c'est le destin, nous sommes habitués dans ces
conditions difficiles à développer tous les secteurs compétitifs de
l'économie », a déclaré Serge Sarkissian.
lundi 31 décembre 2012,
Stéphane ©armenews.com
Le président arménien s'attend à une croissance du PIB de 7 pour cent
cette année
Dans une interview avec Rossiya 24 chaîne de télévision russe le
président arménien Serge Sarkissian a déclaré qu'il s'attend à ce que
la croissance du PIB soit de plus de 7%, le taux d'inflation d'environ
3% et le déficit budgétaire d'environ 2,5%.
Il a aussi dit que le pays a amélioré son climat des affaires et a
gagné 18 places dans le classement annuel de Doing Business de la
Banque mondiale.
« L'Arménie est le premier pays parmi les pays de la CEI et la
cinquième en Europe orientale et en Asie centrale en termes de
réalisation des affaires` a déclaré le président.
Serge Sarkissian a souligné que l'Arménie a été bloqué pendant plus de
20 ans par ses voisins l'Azerbaïdjan et la Turquie.
« Le blocus de la Turquie est illégal, et nous vivons et devons
progresser dans des conditions extrêmement difficiles. Nous n'avons
pas de liaisons ferroviaires directes avec la Russie et les pays de la
CEI, ce qui signifie que nos exportateurs sont dans une situation
désavantageuse. Mais c'est le destin, nous sommes habitués dans ces
conditions difficiles à développer tous les secteurs compétitifs de
l'économie », a déclaré Serge Sarkissian.
lundi 31 décembre 2012,
Stéphane ©armenews.com