TURQUIE
Conférence négationniste en Turquie
L'organisation de Recherche sur la Stratégique Internationale (USAK)
qui est un think tank soutenu par l'État turc a organisé une
conférence intitulée « des méthodes légales pour la Turquie dans la
réfutation des revendications arméniennes » le 27 décembre 2012 avec
l'Ambassadeur à la retraite et député M. Sukrü Elekdag comme principal
orateur. Des ambassadeurs et autres diplomates du Ministère des
Affaires étrangères Turc, des représentants de groupe de réflexion,
des universitaires et plusieurs membres des médias ont participé à la
conférence.
Sukrü Elekdag a commencé son discours en affirmant que les allégations
quant « au prétendu génocide » sont à l'ordre du jour politique de
l'Arménie, mais aussi à l'ordre du jour de la politique étrangère de
beaucoup d'autres pays. Il a dit que la question est utilisée comme un
levier face à la Turquie dans les relations de ce pays avec les
Etats-Unis et la France. Il a aussi soutenu que l'augmentation du
nombre des états qui reconnaissent le génocide laisse la voie à
d'autres tiers de penser que les « allégations » sont « des faits
historiquement vérifiés ».
M. Elekdag a ajouté que les obstacles principaux d'une attaque de la
Turquie devant des instances internationales proviennent de réserves
politiques intérieures. M. Elekdag a indiqué que l'obstacle principal
a été posé par la décision d'intégrer l'UE et a souligné que ce
processus a été transformé en une initiative visant la Turquie dés
2007.
Pour lui « il est temps de lancer des procès pour résoudre la question
arménienne qui a affligé la Turquie dans l'arène internationale » Il a
rappelé que la décision du Conseil Constitutionnel en France a indiqué
que la loi reconnaissant le génocide arménien était « inopportune »
que la Turquie dispose maintenant d'une arme pour faire annuler la loi
qui date de 2001.
De plus, M. Elekdag a indiqué que le facteur clef dans la
classification d'un acte de violence massive comme d'un génocide est «
l'intention politique ». Il a alors scruté les affaires Radislav
Krstic et Goran Jelistic', quant à l'ex-Yougoslavie, pour un examen
minutieux du sujet. Dans certaines situations quand l'intention
particulière ne semble pas être un génocide, le terme `crime contre
l'humanité ' est employé a-t-il ajouté.
M.Elekdag a suggéré que la Turquie se prépare à une stratégie devant
les tribunaux, fixe les témoignages historiques appropriés en appui de
ses demandes et organise une table ronde en Turquie avec la
participation d'une équipe d'avocats étrangers internationaux, de
politologues et d'historiens avec des diplomates Turcs, des
universitaires et des experts.
À la fin de la présentation par l'Ambassadeur à la retraite, une
session de discussion a eu lieu pendant une heure.
vendredi 4 janvier 2013,
Stéphane ©armenews.com
Conférence négationniste en Turquie
L'organisation de Recherche sur la Stratégique Internationale (USAK)
qui est un think tank soutenu par l'État turc a organisé une
conférence intitulée « des méthodes légales pour la Turquie dans la
réfutation des revendications arméniennes » le 27 décembre 2012 avec
l'Ambassadeur à la retraite et député M. Sukrü Elekdag comme principal
orateur. Des ambassadeurs et autres diplomates du Ministère des
Affaires étrangères Turc, des représentants de groupe de réflexion,
des universitaires et plusieurs membres des médias ont participé à la
conférence.
Sukrü Elekdag a commencé son discours en affirmant que les allégations
quant « au prétendu génocide » sont à l'ordre du jour politique de
l'Arménie, mais aussi à l'ordre du jour de la politique étrangère de
beaucoup d'autres pays. Il a dit que la question est utilisée comme un
levier face à la Turquie dans les relations de ce pays avec les
Etats-Unis et la France. Il a aussi soutenu que l'augmentation du
nombre des états qui reconnaissent le génocide laisse la voie à
d'autres tiers de penser que les « allégations » sont « des faits
historiquement vérifiés ».
M. Elekdag a ajouté que les obstacles principaux d'une attaque de la
Turquie devant des instances internationales proviennent de réserves
politiques intérieures. M. Elekdag a indiqué que l'obstacle principal
a été posé par la décision d'intégrer l'UE et a souligné que ce
processus a été transformé en une initiative visant la Turquie dés
2007.
Pour lui « il est temps de lancer des procès pour résoudre la question
arménienne qui a affligé la Turquie dans l'arène internationale » Il a
rappelé que la décision du Conseil Constitutionnel en France a indiqué
que la loi reconnaissant le génocide arménien était « inopportune »
que la Turquie dispose maintenant d'une arme pour faire annuler la loi
qui date de 2001.
De plus, M. Elekdag a indiqué que le facteur clef dans la
classification d'un acte de violence massive comme d'un génocide est «
l'intention politique ». Il a alors scruté les affaires Radislav
Krstic et Goran Jelistic', quant à l'ex-Yougoslavie, pour un examen
minutieux du sujet. Dans certaines situations quand l'intention
particulière ne semble pas être un génocide, le terme `crime contre
l'humanité ' est employé a-t-il ajouté.
M.Elekdag a suggéré que la Turquie se prépare à une stratégie devant
les tribunaux, fixe les témoignages historiques appropriés en appui de
ses demandes et organise une table ronde en Turquie avec la
participation d'une équipe d'avocats étrangers internationaux, de
politologues et d'historiens avec des diplomates Turcs, des
universitaires et des experts.
À la fin de la présentation par l'Ambassadeur à la retraite, une
session de discussion a eu lieu pendant une heure.
vendredi 4 janvier 2013,
Stéphane ©armenews.com