RETOUR DE 17 BIENS IMMOBILIERS AYANT APPARTENU AUX ARMENIENS A DIYARBAKIR
A Diyarbakir (l'antique Tigranakert capitale de l'Armenie,
aujourd'hui la ville la plus peuplee du Kurdistan turc) la Fondation
de l'Eglise armenienne Sourp Guiragos a demande aux autorites de
la ville le retour aux Armeniens de 190 biens immobiliers spolies
lors du genocide. Mais pour l'instant la Fondation recut une reponse
positive sur le retour de 17 biens immobiliers. Selon le site turc
Ozgurhabergazetesi dans les registres de l'eglise armenienne Sourp
Guiragos de Diyarbakir sont consignes la liste des biens immobiliers
au nombre de 190 dans 20 quartiers de Diyarbakir pour la periode de
1910-1921, biens appartenant aux Armeniens. Selon Vartkes Ergyun, le
president de la Fondation de l'eglise Sourp Guiragos, ces retours des
biens immobiliers aux Armeniens rencontrent de nombreux problèmes
administratifs et techniques. Par exemple sur certaines terres
appartenant aux Armeniens avant le genocide, un certain nombre de
constructions illegales furent realisees et dont il est difficile de
retracer l'origine et de retrouver les proprietaires.
Krikor Amirzayan
mercredi 10 juillet 2013, Krikor Amirzayan ©armenews.com
From: A. Papazian
A Diyarbakir (l'antique Tigranakert capitale de l'Armenie,
aujourd'hui la ville la plus peuplee du Kurdistan turc) la Fondation
de l'Eglise armenienne Sourp Guiragos a demande aux autorites de
la ville le retour aux Armeniens de 190 biens immobiliers spolies
lors du genocide. Mais pour l'instant la Fondation recut une reponse
positive sur le retour de 17 biens immobiliers. Selon le site turc
Ozgurhabergazetesi dans les registres de l'eglise armenienne Sourp
Guiragos de Diyarbakir sont consignes la liste des biens immobiliers
au nombre de 190 dans 20 quartiers de Diyarbakir pour la periode de
1910-1921, biens appartenant aux Armeniens. Selon Vartkes Ergyun, le
president de la Fondation de l'eglise Sourp Guiragos, ces retours des
biens immobiliers aux Armeniens rencontrent de nombreux problèmes
administratifs et techniques. Par exemple sur certaines terres
appartenant aux Armeniens avant le genocide, un certain nombre de
constructions illegales furent realisees et dont il est difficile de
retracer l'origine et de retrouver les proprietaires.
Krikor Amirzayan
mercredi 10 juillet 2013, Krikor Amirzayan ©armenews.com
From: A. Papazian