Agence France Presse
28 février 2013 jeudi 12:40 PM GMT
Le Quai d'Orsay "regrette" les incidents entre Arméniens et
Azerbaïdjanais à l'Assemblée
PARIS 28 fév 2013
Le ministère des Affaires étrangères a "regretté" jeudi les incidents
survenus mardi soir à l'Assemblée nationale à Paris entre militants
pro-Arméniens et Azerbaïdjanais.
"Nous regrettons les incidents et condamnons les actes de violence
survenus le 26 février dans les locaux de l'Assemblée nationale", a
déclaré le porte-parole du Quai d'Orsay, Philippe Lalliot.
"La France est convaincue que seul le dialogue permettra un règlement
durable du conflit du Haut-Karabakh", a-t-il ajouté.
Des incidents ont opposé mardi soir à l'Assemblée nationale des
militants de la cause arménienne, qui y tenaient une réunion, à deux
Azerbaïdjanais, provoquant l'intervention immédiate de l'ambassadeur
d'Azerbaïjan.
Les pro-Arméniens s'étaient rassemblés pour une cérémonie d'hommage
aux victimes arméniennes d'un pogrom dans la ville azérie de Soumgaït,
en 1988, à l'époque de l'URSS, quand les deux Azerbaïdjanais sont
intervenus et ont été, selon l'ambassade d'Azerbaïdjan à Paris,
frappés.
Ils avaient déclaré à la salle vouloir pour leur part commémorer un
autre massacre, perpétré selon eux par les Arméniens en 1992 à
Khojaly, lors du conflit de la région du Nagorny-Karabakh. Les
militants arméniens ont alors, toujours selon l'ambassade,
"sauvagement battu les deux Azerbaïdjanais".
L'ambassadeur d'Azerbaïdjan en France, Elchin Amirbayov, s'est ensuite
rendu sur place pour réclamer que "les agresseurs" soient "bientôt
identifiés et traduits en justice", selon l'ambassade.
28 février 2013 jeudi 12:40 PM GMT
Le Quai d'Orsay "regrette" les incidents entre Arméniens et
Azerbaïdjanais à l'Assemblée
PARIS 28 fév 2013
Le ministère des Affaires étrangères a "regretté" jeudi les incidents
survenus mardi soir à l'Assemblée nationale à Paris entre militants
pro-Arméniens et Azerbaïdjanais.
"Nous regrettons les incidents et condamnons les actes de violence
survenus le 26 février dans les locaux de l'Assemblée nationale", a
déclaré le porte-parole du Quai d'Orsay, Philippe Lalliot.
"La France est convaincue que seul le dialogue permettra un règlement
durable du conflit du Haut-Karabakh", a-t-il ajouté.
Des incidents ont opposé mardi soir à l'Assemblée nationale des
militants de la cause arménienne, qui y tenaient une réunion, à deux
Azerbaïdjanais, provoquant l'intervention immédiate de l'ambassadeur
d'Azerbaïjan.
Les pro-Arméniens s'étaient rassemblés pour une cérémonie d'hommage
aux victimes arméniennes d'un pogrom dans la ville azérie de Soumgaït,
en 1988, à l'époque de l'URSS, quand les deux Azerbaïdjanais sont
intervenus et ont été, selon l'ambassade d'Azerbaïdjan à Paris,
frappés.
Ils avaient déclaré à la salle vouloir pour leur part commémorer un
autre massacre, perpétré selon eux par les Arméniens en 1992 à
Khojaly, lors du conflit de la région du Nagorny-Karabakh. Les
militants arméniens ont alors, toujours selon l'ambassade,
"sauvagement battu les deux Azerbaïdjanais".
L'ambassadeur d'Azerbaïdjan en France, Elchin Amirbayov, s'est ensuite
rendu sur place pour réclamer que "les agresseurs" soient "bientôt
identifiés et traduits en justice", selon l'ambassade.