Le Télégramme, France
Lundi 18 Mars 2013
Roman. Marina Dédéyan, « fière d'être Malouine »
C'est en découvrant, dans une rue de Pondichéry, une plaque au nom de
Surcouf qu'elle a eu l'idée d'écrire son quatrième roman 100 % breton.
C'est à Paramé qu'elle a vu le jour. Et c'est sur les secteurs de
Dinan, Dinard, La Richardais que la jeune fille, d'origine russe et
arménienne, passait régulièrement deux mois et demi de son temps.
Depuis son enfance, elle baigne dans la littérature : une
arrière-grand-mère amie de Marcel Pagnol, un grand-oncle qui a
fréquenté les mêmes bars qu'Hemingway à Nice et Cannes, un grand-père
professeur à la Sorbonne et écrivain, un oncle, Roman Petroff,
spécialiste de Marin-Marie... Normal donc de la voir aujourd'hui
sortir son quatrième roman, dans lequel l'histoire (son père est
historien) est très présente. « J'ai écrit mon premier roman à l'ge
de 7 ans, confesse celle qui est aussi consultante en communication.
C'est vrai qu'aujourd'hui, je réalise un rêve d'enfance ».
Second tome en septembre
L'idée de ce livre lui est venue lors d'un voyage en Inde, il y a cinq
ans. Là où elle séjourne un mois et demi chaque année. « Ce pays me
captive. C'est un tel choc. C'est un pays qui vous apprend à voir les
choses autrement ». La Bretagne de la fin du XVIIIe et tout
particulièrement Saint-Malo, celle des grands navigateurs, servent de
décor à ce roman, qui sera suivi d'un second tome en septembre.
Pratique
« De tempête et d'espoir. Saint-Malo » chez Flammarion.
Lundi 18 Mars 2013
Roman. Marina Dédéyan, « fière d'être Malouine »
C'est en découvrant, dans une rue de Pondichéry, une plaque au nom de
Surcouf qu'elle a eu l'idée d'écrire son quatrième roman 100 % breton.
C'est à Paramé qu'elle a vu le jour. Et c'est sur les secteurs de
Dinan, Dinard, La Richardais que la jeune fille, d'origine russe et
arménienne, passait régulièrement deux mois et demi de son temps.
Depuis son enfance, elle baigne dans la littérature : une
arrière-grand-mère amie de Marcel Pagnol, un grand-oncle qui a
fréquenté les mêmes bars qu'Hemingway à Nice et Cannes, un grand-père
professeur à la Sorbonne et écrivain, un oncle, Roman Petroff,
spécialiste de Marin-Marie... Normal donc de la voir aujourd'hui
sortir son quatrième roman, dans lequel l'histoire (son père est
historien) est très présente. « J'ai écrit mon premier roman à l'ge
de 7 ans, confesse celle qui est aussi consultante en communication.
C'est vrai qu'aujourd'hui, je réalise un rêve d'enfance ».
Second tome en septembre
L'idée de ce livre lui est venue lors d'un voyage en Inde, il y a cinq
ans. Là où elle séjourne un mois et demi chaque année. « Ce pays me
captive. C'est un tel choc. C'est un pays qui vous apprend à voir les
choses autrement ». La Bretagne de la fin du XVIIIe et tout
particulièrement Saint-Malo, celle des grands navigateurs, servent de
décor à ce roman, qui sera suivi d'un second tome en septembre.
Pratique
« De tempête et d'espoir. Saint-Malo » chez Flammarion.