LES PREMIÈRES IMPRESSIONS D'ARA SARAFIAN
" C'est rien de moins qu'une revolution" s'enthousiasme Ara Sarafian.
Il semble qu'il ne peut pas croire qu'il est effectivement situe dans
le centre d'Istanbul sur un cimetière et qu'il a prononce un discours.
"Je pouvais parler librement, je pouvais dire ce que je voulais."
Ara Sarafian est un historien armenien. Il vit a Londres et a
l'occasion du 98e Anniversaire de la commemoration du genocide
armenien est venu en Turquie. "Il y a quelques annees" dit-il, "je
n'aurais jamais pu venir pour cet evenement en Turquie et parler de
genocide. Au contraire, en fait, j'ai toujours pense que dans ma vie
cela ne serait pas possible ".
Cependant, la "negation du genocide qui fait mal aux descendants des
victimes aujourd'hui ", arrive a son terme en Turquie. Ara Sarafian
en est convaincu. "Sinon, les evenements auxquels nous assistons
aujourd'hui ne seraient pas possibles."
Ara Sarafian espère que la politique de deni dans deux ans, quand on
celèbrera le 100e anniversaire du genocide sera terminee en Turquie.
"Je suis pour le dialogue", dit-il. "Je reviendrai l'annee prochaine
et peut-etre dans deux ans, c'est aussi au gouvernement[turc]a nous
parler."
jeudi 2 mai 2013, Stephane ©armenews.com
" C'est rien de moins qu'une revolution" s'enthousiasme Ara Sarafian.
Il semble qu'il ne peut pas croire qu'il est effectivement situe dans
le centre d'Istanbul sur un cimetière et qu'il a prononce un discours.
"Je pouvais parler librement, je pouvais dire ce que je voulais."
Ara Sarafian est un historien armenien. Il vit a Londres et a
l'occasion du 98e Anniversaire de la commemoration du genocide
armenien est venu en Turquie. "Il y a quelques annees" dit-il, "je
n'aurais jamais pu venir pour cet evenement en Turquie et parler de
genocide. Au contraire, en fait, j'ai toujours pense que dans ma vie
cela ne serait pas possible ".
Cependant, la "negation du genocide qui fait mal aux descendants des
victimes aujourd'hui ", arrive a son terme en Turquie. Ara Sarafian
en est convaincu. "Sinon, les evenements auxquels nous assistons
aujourd'hui ne seraient pas possibles."
Ara Sarafian espère que la politique de deni dans deux ans, quand on
celèbrera le 100e anniversaire du genocide sera terminee en Turquie.
"Je suis pour le dialogue", dit-il. "Je reviendrai l'annee prochaine
et peut-etre dans deux ans, c'est aussi au gouvernement[turc]a nous
parler."
jeudi 2 mai 2013, Stephane ©armenews.com