HAUT KARABAGH
« Nous devions obliger l'Azerbaïdjan à capituler plutôt que de signer
un cessez-le-feu » affirme un député du Parlement de Stepanakert
Malgré la signature d'un cessez-le-feu entre l'Azerbaïdjan et les
troupes arméniennes d'autodéfense de la République du Haut Karabagh en
mai 1994, Bakou continue de violer chaque jour le régime du
cessez-le-feu pour maintenir une pression sur le conflit arméno-azéri.
Le député au Parlement de Stepanakert, Vahram Atanesyan vient
d'affirmer que la signature de l'accord du cessez-le-feu avec les
Azéris était une erreur et que les Arméniens devaient exiger la
capitulation de l'Azerbaïdjan. « L'Azerbaïdjan continue de nous
menacer de la reprise de la guerre. Une grande partie des habitants du
Haut Karabagh et les combattants de la libération de l'Artsakh se
posent des questions aujourd'hui sur l'utilité de la signature du
cessez-le-feu. Il aurait été plus juste de mettre la pression sur
l'adversaire et l'obliger à signer une capitulation » affirme le
député arménien. Dans le même temps, Vahram Atanesyan a noté que lors
des 19 dernières années, la République du Haut Karabagh a enregistré
des succès tels que la consolidation de l'Etat, l'économie et les
institutions. « Sous cet angle, bien évidemment, nous sommes heureux
d'avoir signé un traité de paix pour mettre fin à la guerre il y a 19
ans » dit Vahram Atanesyan. Il est vrai qu'après les nombreux succès à
Chouchi, Aghdam et tout au long du front de la guerre, les Arméniens
avaient -affirment les combattants et les stratèges militaires- la
possibilité de déplacer le front beaucoup plus à l'est en direction de
Bakou. Mais semble-t-il l'ordre fut donnée à l'armée arménienne
victorieuse -par une puissance étrangère dit-on- de cesser l'avancée
et de signer un cessez-le-feu avec les troupes azéries défaites.
Krikor Amirzayan
lundi 13 mai 2013,
Krikor Amirzayan ©armenews.com
« Nous devions obliger l'Azerbaïdjan à capituler plutôt que de signer
un cessez-le-feu » affirme un député du Parlement de Stepanakert
Malgré la signature d'un cessez-le-feu entre l'Azerbaïdjan et les
troupes arméniennes d'autodéfense de la République du Haut Karabagh en
mai 1994, Bakou continue de violer chaque jour le régime du
cessez-le-feu pour maintenir une pression sur le conflit arméno-azéri.
Le député au Parlement de Stepanakert, Vahram Atanesyan vient
d'affirmer que la signature de l'accord du cessez-le-feu avec les
Azéris était une erreur et que les Arméniens devaient exiger la
capitulation de l'Azerbaïdjan. « L'Azerbaïdjan continue de nous
menacer de la reprise de la guerre. Une grande partie des habitants du
Haut Karabagh et les combattants de la libération de l'Artsakh se
posent des questions aujourd'hui sur l'utilité de la signature du
cessez-le-feu. Il aurait été plus juste de mettre la pression sur
l'adversaire et l'obliger à signer une capitulation » affirme le
député arménien. Dans le même temps, Vahram Atanesyan a noté que lors
des 19 dernières années, la République du Haut Karabagh a enregistré
des succès tels que la consolidation de l'Etat, l'économie et les
institutions. « Sous cet angle, bien évidemment, nous sommes heureux
d'avoir signé un traité de paix pour mettre fin à la guerre il y a 19
ans » dit Vahram Atanesyan. Il est vrai qu'après les nombreux succès à
Chouchi, Aghdam et tout au long du front de la guerre, les Arméniens
avaient -affirment les combattants et les stratèges militaires- la
possibilité de déplacer le front beaucoup plus à l'est en direction de
Bakou. Mais semble-t-il l'ordre fut donnée à l'armée arménienne
victorieuse -par une puissance étrangère dit-on- de cesser l'avancée
et de signer un cessez-le-feu avec les troupes azéries défaites.
Krikor Amirzayan
lundi 13 mai 2013,
Krikor Amirzayan ©armenews.com