ARMENIE
Le chef des douanes arméniennes lavé de tout soupçon
Gagik Khachatrian, le très controversé chef des Services des taxex et
douanes d' Arménie, n'a pas abusé de ses fonctions et position à des
fins d'enrichissement personnel ou de ses proches, nd customs
services, a conclu le service qui avait mené l'enquête sur les
soupçons de corruption qui visaient le haut fonctionnaire arménien. La
Commission d'Etat sur l'Ethique des hauts fonctionnaires avait lance
l'enquête ne avril dernier, en réponse à une pétition du Centre
Anti-Corruption (ACC), branche arménienne de l'ONG basée à Berlin
Transparency International.
L'ACC s'appuyait en partie sur un article publié dans le quotidien
proche de l'opposition `Haykakan Zhamanak' en octobre 2012. L'article
publiait la longue liste de compagnies susceptibles d'appartenir à
Khachatrian, ou auxquelles il est lié. Au nombre de ces sociétés, l'un
des principaux fournisseurs d'accès Internet et TV du pays, deux
compagnies important des produits alimentaires, un supermarché, un
concessionnaire de voitures et une boutique de montres de luxe à
Erevan. Selon `Haykakan Zhamanak,' le chef du département des Revenus
de l'Etat (SRC) controôlerait aussi une compagnie qui a le monopole de
la fourniture de formulaires officiels utilisés par des milliers de
sociétés dans le pays.
La commission a conclu dans son rapport que Khachatrian ne possédait
officiellement aucune de ces societies. Elle notait néanmoins que deux
d'entre elles - la concessionaire de voitures Mitsubishi et la
compagnie importatrice de produits aliimentaires Apeyron -
appartenaient à ses enfants, quatre autres étant contrôlées par des
cousins. La commission, qui siege dans les locaux de l'administration
présidentielle à Erevan, a souligné que ce fait ne relevait pas du
conflit d'intérêts. Elle a fait valoir que Khachatrian n'avait pris
aucune decision au titre de chef du SRC qui aurait été susceptible de
bénéficier aux affaires enregistrées sous les noms de ses enfants. Une
simple « affaire familiale » donc, aux yeux des autorités arméniennes,
dont les conclusions ont toutefois été jugées peu convaincantes par
Sona Ayvazian, la vice-présidente de l'ACC, qui reproche notamment à
la commission de ne pas avoir mené une enquête approfondie sur les
privilèges dont auraient pu bénéficier l'intéressé et sa famille.
mardi 21 mai 2013,
Gari ©armenews.com
Le chef des douanes arméniennes lavé de tout soupçon
Gagik Khachatrian, le très controversé chef des Services des taxex et
douanes d' Arménie, n'a pas abusé de ses fonctions et position à des
fins d'enrichissement personnel ou de ses proches, nd customs
services, a conclu le service qui avait mené l'enquête sur les
soupçons de corruption qui visaient le haut fonctionnaire arménien. La
Commission d'Etat sur l'Ethique des hauts fonctionnaires avait lance
l'enquête ne avril dernier, en réponse à une pétition du Centre
Anti-Corruption (ACC), branche arménienne de l'ONG basée à Berlin
Transparency International.
L'ACC s'appuyait en partie sur un article publié dans le quotidien
proche de l'opposition `Haykakan Zhamanak' en octobre 2012. L'article
publiait la longue liste de compagnies susceptibles d'appartenir à
Khachatrian, ou auxquelles il est lié. Au nombre de ces sociétés, l'un
des principaux fournisseurs d'accès Internet et TV du pays, deux
compagnies important des produits alimentaires, un supermarché, un
concessionnaire de voitures et une boutique de montres de luxe à
Erevan. Selon `Haykakan Zhamanak,' le chef du département des Revenus
de l'Etat (SRC) controôlerait aussi une compagnie qui a le monopole de
la fourniture de formulaires officiels utilisés par des milliers de
sociétés dans le pays.
La commission a conclu dans son rapport que Khachatrian ne possédait
officiellement aucune de ces societies. Elle notait néanmoins que deux
d'entre elles - la concessionaire de voitures Mitsubishi et la
compagnie importatrice de produits aliimentaires Apeyron -
appartenaient à ses enfants, quatre autres étant contrôlées par des
cousins. La commission, qui siege dans les locaux de l'administration
présidentielle à Erevan, a souligné que ce fait ne relevait pas du
conflit d'intérêts. Elle a fait valoir que Khachatrian n'avait pris
aucune decision au titre de chef du SRC qui aurait été susceptible de
bénéficier aux affaires enregistrées sous les noms de ses enfants. Une
simple « affaire familiale » donc, aux yeux des autorités arméniennes,
dont les conclusions ont toutefois été jugées peu convaincantes par
Sona Ayvazian, la vice-présidente de l'ACC, qui reproche notamment à
la commission de ne pas avoir mené une enquête approfondie sur les
privilèges dont auraient pu bénéficier l'intéressé et sa famille.
mardi 21 mai 2013,
Gari ©armenews.com