dreuz.info, France
29 oct 2013
Qui se souviendra du génocide arménien, si Obama se soumet au
négationniste Erdogan?
Posted On 29 oct 2013 By : Rosaly
Nonante neuf ans après le génocide des Chrétiens arméniens et
assyro-chaldéens perpétré en 1915 par le gouvernement Jeunes Turcs de
l'Empire Ottoman, l'un des symboles les plus poignants de la
souffrance arménienne « The Armenian Orphan Rug », est gardé en otage
par la Maison Blanche.
Cette tapisserie, baptisée « The Armenian Orphan Rug » d'une longueur
d'environ 5m50, fut tissée par 400 orphelines arméniennes en exil au
Liban, et offerte en 1925 au Président Calvin Coolidge pour remercier
le peuple américain de l'aide apportée aux survivants du génocide
arménien. Le Président Coolidge promit de lui réserver une place
d'honneur à la Maison Blanche, où elle deviendrait le symbole de
l'amitié sur terre.
Malheureusement, sous l'ère Obama, cette tapisserie s'est transformée
en un symbole politique dérangeant.
Un dentiste américano-arménien, le Dr Hagop Martin Deranian, a
récemment écrit un livre intitulé « Le Président Calvin Coolidge et
l'Armenian OrphanRug ». Il devait présenter son livre lors d'un
évènement culturel organisé par la Smithsonian Institution le 16
décembre prochain à Washington. Il était également prévu d'exposer la
tapisserie Armenian Orphan Rug. Mais la Maison Blanche, par crainte
d'irriter l'ami, le confident, l'islamiste Erdogan, a refusé de prêter
au musée de la Smithsonian la précieuse tapisserie.
Les journalistes qui posèrent des questions au Département d'Etat au
sujet de ce refus furent renvoyés vers la Maison Blanche. Et le porte
parole de la Maison Blanche leur répondit sèchement qu'il n'avait rien
à dire, excepté qu'il n'était pas possible de prêter cette tapisserie
« pour l'instant ».
Pour les Arméniens américains, l'administration Obama se soumet à la
pression du gouvernement turc, qui nie avec virulence le génocide
arménien.
L'orgueilleux et caractériel premier ministre turc, l'islamiste
Erdogan, n'hésite pas, en revanche, à exiger des excuses officielles
de quiconque ose mentionner le génocide arménien.
Cet homme, qui accuse les Européens d'islamophobes, qui déclare
l'islamophobie crime contre l'humanité, qui s'acharne à convaincre
l'UE de promulguer une loi pénalisant toute critique de l'islam, mais
soutient les rebelles islamistes, dont les tchétchènes responsables de
l'enlèvement de deux évêques syriens et du massacre de Chrétiens
souvent arméniens, s'offusque, trépigne de rage, et menace, dès qu'il
entend les mots « génocide arménien ».
Et cet homme est un ami d'Obama, ce chrétien si musulman.
Les Arméniens ont de bonnes raisons d'être méfiants. En 2009, au cours
de sa campagne pour la présidence, le sénateur Obama déclarait :
« L'Amérique mérite un leader qui parle sincèrement du génocide arménien ».
Belles paroles de politicien, aussi vides de sens que les promesses
politiques électorales. Devenu président, Obama n'a jamais plus
utilisé le mot « génocide », juste une expression arménienne « Meds
Yeghern » qui signifie « grande calamité ». La crainte de déplaire aux
Turcs semble être le seul motif plausible pour justifier ce tour de
passe-passe rhétorique.
Les Arméniens ne devraient pas être les seuls à se révolter. Les Juifs
américains ont aussi des raisons de s'inquiéter, car indépendamment de
la sympathie instinctive que les victimes de génocides peuvent
ressentir entre elles, le danger réside dans le fait que si la Maison
Blanche permet aujourd'hui que des considérations politiques
l'emportent sur la reconnaissance du génocide arménien, la
commémoration de l'Holocauste pourrait un jour subir le même sort, et
ce afin de ne pas heurter la susceptibilité d'un allié des nazis de
confession musulmane.
Cet article vous a intéressé ? Inscrivez-vous à notre newsletter pour
recevoir les nouveaux articles de Dreuz, une fois par jour en fin
d'après-midi.
Un président, toutefois, respecta sa parole : Calvin Coolidge exposa
fièrement la tapisserie à la Maison Blanche jusqu'à la fin de son
mandat. Quand il quitta la Maison Blanche, il emporta la tapisserie
dans sa résidence du Massachusetts. Elle y était encore en 1939, quand
l'ex first Lady, Grace Coolidge, devint la figure de proue du combat
qu'elle mena pour sauver un autre groupe d'enfants des griffes d'un
dictateur génocidaire nazi. Elle appuya de toutes ses forces le projet
de loi « Wagner-Rogers » qui aurait permis l'accueil de 20.000 enfants
juifs allemands aux USA. Mais le président Franklin Roosevelt refusa
de soutenir ce projet ... et les enfants Juifs d'Allemagne périrent dans
les camps de la mort.
Ironiquement, un parent éloigné de Franklin Roosevelt et lui-même
ex-président des USA, Théodore Roosevelt, avait préconisé de déclarer
la guerre à la Turquie suite au génocide arménien. Il avait déclaré en
1918 :
« Le massacre des Arméniens a été le plus grave crime de guerre, et
l'incapacité d'agir contre la Turquie revient à tolérer ce massacre...
l'incapacité de mettre radicalement un terme à l'horreur turque
signifie que tous les discours visant à garantir la paix dans le monde
à l'avenir ne sont que sottises malveillantes. »
L'ambassadeur américain auprès de l'Empire ottoman, en 1915, M. Henry
Morgenthau écrivit dans ses mémoires :
« Lorsque les autorités turques ont donné l'ordre de procéder à ces
déportations, elles signaient l'arrêt de mort de toute une race, ce
qu'elles comprenaient parfaitement bien et, dans les conversations que
j'ai eues avec elles, elles n'ont pas essayé de cacher ce fait. Je
n'ai pas raconté les détails les plus horribles car le récit complet
des orgies sadiques dont ces Arméniens et ces Arméniennes ont été
victimes ne pourraient jamais être imprimés dans une publication
américaine. »
Les récits des témoins oculaires sont complétés par une masse de
preuves documentaires de source étrangère et turque. Le 24 mai 1915,
la France, la Grande-Bretagne et la Russie ont signé une déclaration
conjointe que voici :
« Les habitants d'une centaine de villages près de Van ont tous été
tués.. Compte tenu de ces nouveaux crimes commis par la Turquie contre
l'humanité et la civilisation, les gouvernements alliés annoncent
publiquement, qu'ils tiendront personnellement responsables de ces
crimes tous les membres du gouvernement Ottoman ainsi que leurs agents
qui auront participé à de tels massacres. »
« La scène pitoyable des enfants affamés et mutilés des réfugiés
arméniens ont fini de me convaincre qu'il fallait racheter le sort
cruel du peuple arménien précipité dans l'abîme de l'oubli» - Franz
Werfel, Damas 1929.
Les craintes de Teddy Roosevelt s'avérèrent prémonitoires : le fait
d'avoir toléré ce génocide allait ouvrir la voie à d'autres génocides
... dont le plus terrible fut celui de la Shoah, qui vit l'extermination
industrielle de 6.000.000 d'êtres humains.
Hitler déclara un jour à ses bouchers nazis que leurs atrocités
tomberaient dans l'oubli, car après tout, qui aujourd'hui parle encore
de l'annihilation de 1.5 million d'Arméniens... (Certainement pas
Obama).
La tapisserie, symbole du génocide arménien, reprit sa place à la
Maison Blanche et fut exposée à nouveau publiquement au cours du
mandat du président Clinton. Mais elle ne fut plus exhibée depuis. Si
l'Administration Obama et le gouvernement turc poursuivent leur
entente cordiale, la tapisserie n'aura aucune chance de voir à nouveau
la lumière du jour.
En décembre prochain, les Américains se précipiteront voir un nouveau
film Monuments Men, réalisé par George Clooney. Ce film raconte
l'histoire, basée sur des faits réels, d'une poignée de militaires
américains qui risquèrent leur vie pour sauver des peintures célèbres,
des monuments et autres `uvres d'art européens des griffes cupides des
nazis vers la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Faudra-t-il attendre une nouvelle génération de « Monuments Men» pour
sauver la tapisserie, symbole du génocide arménien, des oubliettes de
la Maison Blanche, afin de pouvoir à nouveau exposer ce précieux
héritage au public ?
L'ignoble déclaration d'Hitler est toujours d'actualité : les
négationnistes et les révisionnistes continuent de manifester leur
volonté malsaine d'effacer de l'histoire toute trace de ces crimes
monstrueux contre l'humanité, à commencer par le premier génocide du
XXe siècle, celui d'un million et demi d'Arméniens par les Ottomans,
qui sera suivi quelques décennies plus tard par un autre génocide,
celui de l'extermination de 6 millions de Juifs par les Nazis.
Mais Obama, insensible aux souffrances des Arméniens, sans aucun
respect pour la mémoire des victimes de génocide, n'ayant pas retenu
les leçons de l'histoire, se soucie avant tout de ne pas heurter la
sensibilité du Premier Ministre turc et se prosterne aux pieds de
l'annihilationiste islamiste Erdogan.
Obama pourrait tout aussi bien déclarer : «Après tout, qui se
souviendra encore du génocide arménien d'ici quelques décennies »,
pour justifier sa lcheté.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Source : `Armenian genocide rug's freedom a worthy cause for American
Jews « by Dr. Rafael Medoff is Director of The David S. Wyman
Institute for Holocaust Studies, in Washington, D.C.' JNS.org/News
Service/ Washington Post (traduit, adapté et commenté par Rosaly)
http://www.dreuz.info/2013/10/qui-se-souviendra-du-genocide-armenien-si-loccident-se-soumet-au-negationniste-erdogan/
29 oct 2013
Qui se souviendra du génocide arménien, si Obama se soumet au
négationniste Erdogan?
Posted On 29 oct 2013 By : Rosaly
Nonante neuf ans après le génocide des Chrétiens arméniens et
assyro-chaldéens perpétré en 1915 par le gouvernement Jeunes Turcs de
l'Empire Ottoman, l'un des symboles les plus poignants de la
souffrance arménienne « The Armenian Orphan Rug », est gardé en otage
par la Maison Blanche.
Cette tapisserie, baptisée « The Armenian Orphan Rug » d'une longueur
d'environ 5m50, fut tissée par 400 orphelines arméniennes en exil au
Liban, et offerte en 1925 au Président Calvin Coolidge pour remercier
le peuple américain de l'aide apportée aux survivants du génocide
arménien. Le Président Coolidge promit de lui réserver une place
d'honneur à la Maison Blanche, où elle deviendrait le symbole de
l'amitié sur terre.
Malheureusement, sous l'ère Obama, cette tapisserie s'est transformée
en un symbole politique dérangeant.
Un dentiste américano-arménien, le Dr Hagop Martin Deranian, a
récemment écrit un livre intitulé « Le Président Calvin Coolidge et
l'Armenian OrphanRug ». Il devait présenter son livre lors d'un
évènement culturel organisé par la Smithsonian Institution le 16
décembre prochain à Washington. Il était également prévu d'exposer la
tapisserie Armenian Orphan Rug. Mais la Maison Blanche, par crainte
d'irriter l'ami, le confident, l'islamiste Erdogan, a refusé de prêter
au musée de la Smithsonian la précieuse tapisserie.
Les journalistes qui posèrent des questions au Département d'Etat au
sujet de ce refus furent renvoyés vers la Maison Blanche. Et le porte
parole de la Maison Blanche leur répondit sèchement qu'il n'avait rien
à dire, excepté qu'il n'était pas possible de prêter cette tapisserie
« pour l'instant ».
Pour les Arméniens américains, l'administration Obama se soumet à la
pression du gouvernement turc, qui nie avec virulence le génocide
arménien.
L'orgueilleux et caractériel premier ministre turc, l'islamiste
Erdogan, n'hésite pas, en revanche, à exiger des excuses officielles
de quiconque ose mentionner le génocide arménien.
Cet homme, qui accuse les Européens d'islamophobes, qui déclare
l'islamophobie crime contre l'humanité, qui s'acharne à convaincre
l'UE de promulguer une loi pénalisant toute critique de l'islam, mais
soutient les rebelles islamistes, dont les tchétchènes responsables de
l'enlèvement de deux évêques syriens et du massacre de Chrétiens
souvent arméniens, s'offusque, trépigne de rage, et menace, dès qu'il
entend les mots « génocide arménien ».
Et cet homme est un ami d'Obama, ce chrétien si musulman.
Les Arméniens ont de bonnes raisons d'être méfiants. En 2009, au cours
de sa campagne pour la présidence, le sénateur Obama déclarait :
« L'Amérique mérite un leader qui parle sincèrement du génocide arménien ».
Belles paroles de politicien, aussi vides de sens que les promesses
politiques électorales. Devenu président, Obama n'a jamais plus
utilisé le mot « génocide », juste une expression arménienne « Meds
Yeghern » qui signifie « grande calamité ». La crainte de déplaire aux
Turcs semble être le seul motif plausible pour justifier ce tour de
passe-passe rhétorique.
Les Arméniens ne devraient pas être les seuls à se révolter. Les Juifs
américains ont aussi des raisons de s'inquiéter, car indépendamment de
la sympathie instinctive que les victimes de génocides peuvent
ressentir entre elles, le danger réside dans le fait que si la Maison
Blanche permet aujourd'hui que des considérations politiques
l'emportent sur la reconnaissance du génocide arménien, la
commémoration de l'Holocauste pourrait un jour subir le même sort, et
ce afin de ne pas heurter la susceptibilité d'un allié des nazis de
confession musulmane.
Cet article vous a intéressé ? Inscrivez-vous à notre newsletter pour
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d'après-midi.
Un président, toutefois, respecta sa parole : Calvin Coolidge exposa
fièrement la tapisserie à la Maison Blanche jusqu'à la fin de son
mandat. Quand il quitta la Maison Blanche, il emporta la tapisserie
dans sa résidence du Massachusetts. Elle y était encore en 1939, quand
l'ex first Lady, Grace Coolidge, devint la figure de proue du combat
qu'elle mena pour sauver un autre groupe d'enfants des griffes d'un
dictateur génocidaire nazi. Elle appuya de toutes ses forces le projet
de loi « Wagner-Rogers » qui aurait permis l'accueil de 20.000 enfants
juifs allemands aux USA. Mais le président Franklin Roosevelt refusa
de soutenir ce projet ... et les enfants Juifs d'Allemagne périrent dans
les camps de la mort.
Ironiquement, un parent éloigné de Franklin Roosevelt et lui-même
ex-président des USA, Théodore Roosevelt, avait préconisé de déclarer
la guerre à la Turquie suite au génocide arménien. Il avait déclaré en
1918 :
« Le massacre des Arméniens a été le plus grave crime de guerre, et
l'incapacité d'agir contre la Turquie revient à tolérer ce massacre...
l'incapacité de mettre radicalement un terme à l'horreur turque
signifie que tous les discours visant à garantir la paix dans le monde
à l'avenir ne sont que sottises malveillantes. »
L'ambassadeur américain auprès de l'Empire ottoman, en 1915, M. Henry
Morgenthau écrivit dans ses mémoires :
« Lorsque les autorités turques ont donné l'ordre de procéder à ces
déportations, elles signaient l'arrêt de mort de toute une race, ce
qu'elles comprenaient parfaitement bien et, dans les conversations que
j'ai eues avec elles, elles n'ont pas essayé de cacher ce fait. Je
n'ai pas raconté les détails les plus horribles car le récit complet
des orgies sadiques dont ces Arméniens et ces Arméniennes ont été
victimes ne pourraient jamais être imprimés dans une publication
américaine. »
Les récits des témoins oculaires sont complétés par une masse de
preuves documentaires de source étrangère et turque. Le 24 mai 1915,
la France, la Grande-Bretagne et la Russie ont signé une déclaration
conjointe que voici :
« Les habitants d'une centaine de villages près de Van ont tous été
tués.. Compte tenu de ces nouveaux crimes commis par la Turquie contre
l'humanité et la civilisation, les gouvernements alliés annoncent
publiquement, qu'ils tiendront personnellement responsables de ces
crimes tous les membres du gouvernement Ottoman ainsi que leurs agents
qui auront participé à de tels massacres. »
« La scène pitoyable des enfants affamés et mutilés des réfugiés
arméniens ont fini de me convaincre qu'il fallait racheter le sort
cruel du peuple arménien précipité dans l'abîme de l'oubli» - Franz
Werfel, Damas 1929.
Les craintes de Teddy Roosevelt s'avérèrent prémonitoires : le fait
d'avoir toléré ce génocide allait ouvrir la voie à d'autres génocides
... dont le plus terrible fut celui de la Shoah, qui vit l'extermination
industrielle de 6.000.000 d'êtres humains.
Hitler déclara un jour à ses bouchers nazis que leurs atrocités
tomberaient dans l'oubli, car après tout, qui aujourd'hui parle encore
de l'annihilation de 1.5 million d'Arméniens... (Certainement pas
Obama).
La tapisserie, symbole du génocide arménien, reprit sa place à la
Maison Blanche et fut exposée à nouveau publiquement au cours du
mandat du président Clinton. Mais elle ne fut plus exhibée depuis. Si
l'Administration Obama et le gouvernement turc poursuivent leur
entente cordiale, la tapisserie n'aura aucune chance de voir à nouveau
la lumière du jour.
En décembre prochain, les Américains se précipiteront voir un nouveau
film Monuments Men, réalisé par George Clooney. Ce film raconte
l'histoire, basée sur des faits réels, d'une poignée de militaires
américains qui risquèrent leur vie pour sauver des peintures célèbres,
des monuments et autres `uvres d'art européens des griffes cupides des
nazis vers la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Faudra-t-il attendre une nouvelle génération de « Monuments Men» pour
sauver la tapisserie, symbole du génocide arménien, des oubliettes de
la Maison Blanche, afin de pouvoir à nouveau exposer ce précieux
héritage au public ?
L'ignoble déclaration d'Hitler est toujours d'actualité : les
négationnistes et les révisionnistes continuent de manifester leur
volonté malsaine d'effacer de l'histoire toute trace de ces crimes
monstrueux contre l'humanité, à commencer par le premier génocide du
XXe siècle, celui d'un million et demi d'Arméniens par les Ottomans,
qui sera suivi quelques décennies plus tard par un autre génocide,
celui de l'extermination de 6 millions de Juifs par les Nazis.
Mais Obama, insensible aux souffrances des Arméniens, sans aucun
respect pour la mémoire des victimes de génocide, n'ayant pas retenu
les leçons de l'histoire, se soucie avant tout de ne pas heurter la
sensibilité du Premier Ministre turc et se prosterne aux pieds de
l'annihilationiste islamiste Erdogan.
Obama pourrait tout aussi bien déclarer : «Après tout, qui se
souviendra encore du génocide arménien d'ici quelques décennies »,
pour justifier sa lcheté.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Source : `Armenian genocide rug's freedom a worthy cause for American
Jews « by Dr. Rafael Medoff is Director of The David S. Wyman
Institute for Holocaust Studies, in Washington, D.C.' JNS.org/News
Service/ Washington Post (traduit, adapté et commenté par Rosaly)
http://www.dreuz.info/2013/10/qui-se-souviendra-du-genocide-armenien-si-loccident-se-soumet-au-negationniste-erdogan/