TURQUIE
La Turquie refuse de réduire davantage ses achats de brut iranien
La Turquie a considérablement réduit ses achats de brut iranien depuis
l'an dernier et ne peut en faire davantage, a déclaré vendredi son
ministre de l'Energie, Taner Yildiz.
Nous ne pouvons en faire davantage, nous avons fait le maximum, a
indiqué le ministre devant des journalistes, interrogé si la Turquie
pensait limiter encore plus ses importations de pétrole d'Iran, frappé
par des sanctions européennes et américaines en raison de son
programme nucléaire controversé.
Le ministre a expliqué que le principal importateur local, Tüpras, qui
a réduit après des pressions américaines en 2012 de 20% dans un
premier temps ses achats de ce pays par rapport à 2011 limitait ses
achats actuellement à 105.000 barils de pétrole iranien chaque jour
contre 140.000 l'an dernier.
Nous avons expliqué aux Etats-Unis notre situation et que nous ne
pouvions en faire davantage (...) Le pétrole iranien qui est de bonne
qualité revêt une importance stratégique pour la sécurité énergétique
de la Turquie, a ajouté M. Yildiz.
L'embargo visant le voisin iranien ne fait pas l'affaire de la
Turquie, qui achetait bon marché le pétrole iranien, et qui entretient
avec Téhéran des relations économiques et politiques assez étroites,
car leurs échanges ont été multipliés par 10 au cours de la dernière
décennie, s'établissant à plus de 16 milliards de dollars.
samedi 16 novembre 2013,
Stéphane ©armenews.com
La Turquie refuse de réduire davantage ses achats de brut iranien
La Turquie a considérablement réduit ses achats de brut iranien depuis
l'an dernier et ne peut en faire davantage, a déclaré vendredi son
ministre de l'Energie, Taner Yildiz.
Nous ne pouvons en faire davantage, nous avons fait le maximum, a
indiqué le ministre devant des journalistes, interrogé si la Turquie
pensait limiter encore plus ses importations de pétrole d'Iran, frappé
par des sanctions européennes et américaines en raison de son
programme nucléaire controversé.
Le ministre a expliqué que le principal importateur local, Tüpras, qui
a réduit après des pressions américaines en 2012 de 20% dans un
premier temps ses achats de ce pays par rapport à 2011 limitait ses
achats actuellement à 105.000 barils de pétrole iranien chaque jour
contre 140.000 l'an dernier.
Nous avons expliqué aux Etats-Unis notre situation et que nous ne
pouvions en faire davantage (...) Le pétrole iranien qui est de bonne
qualité revêt une importance stratégique pour la sécurité énergétique
de la Turquie, a ajouté M. Yildiz.
L'embargo visant le voisin iranien ne fait pas l'affaire de la
Turquie, qui achetait bon marché le pétrole iranien, et qui entretient
avec Téhéran des relations économiques et politiques assez étroites,
car leurs échanges ont été multipliés par 10 au cours de la dernière
décennie, s'établissant à plus de 16 milliards de dollars.
samedi 16 novembre 2013,
Stéphane ©armenews.com