ARMENIE-URUGYAY-GENOCIDE
Hovig Abrahamian accusé par « Hrabarag » de ne pas respecter la
mémoire des victimes du génocide
Les quelques pas de danse du Président de l'Assemblée nationale
arménienne Hovig Abrahamian place Armenia face au mémorial du génocide
arménien à Montevideo (Uruguay) furent critiqués par le journal
arménien « Hrabarag ». Selon ce dernier, le geste du Président de
l'Assemblée nationale était comme une insulte à la mémoire des
victimes du génocide arménien. Kohar Boghossian, la chargée des
relations publiques de l'Assemblée nationale a rejeté cette accusation
de « Hrabarag » en affirmant que la danse de Hovig Abrahamian était
dédiée non pas au mémorial du génocide mais à la fierté d'avoir une «
place Arménia »à Montevideo la capitale de l'Uruguay. De plus la
musique arménienne diffusée sur cette place était une musique de fête
et non une musique dédiée aux victimes du génocide. Toujours est-il
que le geste de bonheur et de joie de la part d'un des premiers
personnages de l'Etat arménien n'est pas habituel dans le monde
politique et pourrait surprendre plus d'un observateur.
Krikor Amirzayan
dimanche 24 novembre 2013,
Krikor Amirzayan ©armenews.com
From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress
Hovig Abrahamian accusé par « Hrabarag » de ne pas respecter la
mémoire des victimes du génocide
Les quelques pas de danse du Président de l'Assemblée nationale
arménienne Hovig Abrahamian place Armenia face au mémorial du génocide
arménien à Montevideo (Uruguay) furent critiqués par le journal
arménien « Hrabarag ». Selon ce dernier, le geste du Président de
l'Assemblée nationale était comme une insulte à la mémoire des
victimes du génocide arménien. Kohar Boghossian, la chargée des
relations publiques de l'Assemblée nationale a rejeté cette accusation
de « Hrabarag » en affirmant que la danse de Hovig Abrahamian était
dédiée non pas au mémorial du génocide mais à la fierté d'avoir une «
place Arménia »à Montevideo la capitale de l'Uruguay. De plus la
musique arménienne diffusée sur cette place était une musique de fête
et non une musique dédiée aux victimes du génocide. Toujours est-il
que le geste de bonheur et de joie de la part d'un des premiers
personnages de l'Etat arménien n'est pas habituel dans le monde
politique et pourrait surprendre plus d'un observateur.
Krikor Amirzayan
dimanche 24 novembre 2013,
Krikor Amirzayan ©armenews.com
From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress