LETTRE OUVERTE A TOUTES LES INSTANCES DU DIOCèSE DE FRANCE DE LEGLISE APOSTOLIQUE ARMéNIENNE
CONSEIL PAROISSIAL STE MARIE DE NICE
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=93879
Personne ne peut se voiler la face, notre Ă~Iglise traverse une crise
gravissime au caractère totalement inédit.
La vérité s'impose a tous et la démonstration en a été
faite. Cette crise ne se réglera pas uniquement par le sommet de la
hiérarchie ecclésiale, mais aussi par le réveil de conscience du
peuple et de ses représentants.
Notre pays, la France, a malheureusement été un théâtre majeur
de la dĂ©rive de la gouvernance de notre Ă~Iglise avec les deux
paroxysmes que sont la situation de notre paroisse et le réveil de
conscience récent de Monseigneur Norvan Zakarian qui est la preuve
éclatante de l'authenticité de tout ce que nous dénoncions depuis
maintenant cinq ans.
Le 19 octobre 2013 se tiendra l'assemblée diocésaine. La première
après l'annonce de sa démission par Monseigneur Norvan Zakarian et
ses révélations sur les pressions et les humiliations inadmissibles
autant qu'incomprĂ©hensibles qu'il a dĂ" endurer de la part du
Catholicos dont la mission première est de répandre l'amour et la
fraternité entre les hommes.
Ă~@ l'occasion de cette importante Ă©chĂ©ance, nous lancons un appel
a la conscience et a la raison.
Ici, en France, cette terrible et destructrice crise a commencé
a Nice. Aujourd'hui, il n'y a pas d'autre chemin que celui de la
vérité pour sortir de cette crise et mettre un terme définitif a
ses effets destructeurs non seulement au niveau de l'Ă~Iglise, mais
aussi parâ~@~Pdela, au niveau du combat que nous menons tous pour la
mémoire de nos martyrs.
Ce chemin de vérité il faut le reprendre la où il a été perdu
de vue, c'estâ~@~Paâ~@~Pdire a Nice.
La réparation de l'injustice et des graves blessures morales faites
a notre paroisse est le premier jalon d'un retour a une situation
apaisée car rien ne se construit sur le mensonge.
Combien de fois, depuis 2009 et l'apparition au grand jour du
vrai visage du Père Vatché dont nous avions alerté le diocèse,
avonsâ~@~Pnous appelĂ© au secours sans jamais avoir Ă©tĂ© entendu
? Trop de fois ! Et chacun de ses appels sans retour, Ă©tait une
blessure supplémentaire qui accroissait notre désespérance et
notre souffrance. Pire encore avec l'inversion permanente du bien et
du mal que nous endurons, puisque c'est nous qui sommes désignés
comme nuisibles a notre Ă~Iglise alors que nous en dĂ©fendons les
valeurs les plus sacrées qui font sa spécificité, tel le rôle
vital dĂ©volu aux laĂŻcs qui assure a notre Ă~Iglise son caractère
d'Ă~Iglise du peuple sans lequel elle ne peut survivre.
RĂ©alisezâ~@~Pvous la faute historique, le manquement a la mĂ©moire de
nos martyrs que constitue la désacralisation de la première église
apostolique arménienne construite en France après le génocide par
des rescapĂ©s de celuiâ~@~Pci ? Ce sacrilège, c'est celui qu'a subit
notre bienaimĂ©e Ă©glise Sainteâ~@~PMarie en haut du boulevard de la
Madeleine a Nice et a l'orée de la petite cité arménienne bâtie
par les premiers réfugiés en 1923.
Mémoire bafouée donc, mais aussi droit bafoué et statuts du diocèse
bafouĂ©s car ceuxâ~@~Pci n'autorisaient pas notre Â" exclusion Â".
Nous avons aussi connu la violence physique avec notre Assemblée
Générale du 21 mars 2010 empêchée brutalement et qui a servi, une
fois encore en infraction avec les statuts diocésains, de prétexte
pour disqualifier nos deux délégués et ainsi bâillonner par
l'absence de représentativité notre paroisse lors des assemblées
du diocèse.
La liste est encore longue et nous pourrions comme cela, encore
décliner d'autres rappels douloureux.
Parce que nous sommes tous des citoyens imprégnés des magnifiques
valeurs de notre RĂ©publique Francaise qui n'en doutons pas est le
meilleur modèle d'inspiration pour la jeune République d'Arménie et
toutes ses entités morales, nous ne pouvons pas rester silencieux. Et
quand nous disons Â" nous Â", cela signifie nous tous.
Que chacun retrouve son rĂ´le tel qu'il Ă©tait avant cette crise
déplorable. Notamment le diocèse qui doit se réinscrire dans le
cadre de sa mission au service du seul rayonnement de notre Ă~Iglise.
Nul ne se perd dans le droit chemin...
samedi 12 octobre 2013, Ara ©armenews.com
From: Baghdasarian
CONSEIL PAROISSIAL STE MARIE DE NICE
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=93879
Personne ne peut se voiler la face, notre Ă~Iglise traverse une crise
gravissime au caractère totalement inédit.
La vérité s'impose a tous et la démonstration en a été
faite. Cette crise ne se réglera pas uniquement par le sommet de la
hiérarchie ecclésiale, mais aussi par le réveil de conscience du
peuple et de ses représentants.
Notre pays, la France, a malheureusement été un théâtre majeur
de la dĂ©rive de la gouvernance de notre Ă~Iglise avec les deux
paroxysmes que sont la situation de notre paroisse et le réveil de
conscience récent de Monseigneur Norvan Zakarian qui est la preuve
éclatante de l'authenticité de tout ce que nous dénoncions depuis
maintenant cinq ans.
Le 19 octobre 2013 se tiendra l'assemblée diocésaine. La première
après l'annonce de sa démission par Monseigneur Norvan Zakarian et
ses révélations sur les pressions et les humiliations inadmissibles
autant qu'incomprĂ©hensibles qu'il a dĂ" endurer de la part du
Catholicos dont la mission première est de répandre l'amour et la
fraternité entre les hommes.
Ă~@ l'occasion de cette importante Ă©chĂ©ance, nous lancons un appel
a la conscience et a la raison.
Ici, en France, cette terrible et destructrice crise a commencé
a Nice. Aujourd'hui, il n'y a pas d'autre chemin que celui de la
vérité pour sortir de cette crise et mettre un terme définitif a
ses effets destructeurs non seulement au niveau de l'Ă~Iglise, mais
aussi parâ~@~Pdela, au niveau du combat que nous menons tous pour la
mémoire de nos martyrs.
Ce chemin de vérité il faut le reprendre la où il a été perdu
de vue, c'estâ~@~Paâ~@~Pdire a Nice.
La réparation de l'injustice et des graves blessures morales faites
a notre paroisse est le premier jalon d'un retour a une situation
apaisée car rien ne se construit sur le mensonge.
Combien de fois, depuis 2009 et l'apparition au grand jour du
vrai visage du Père Vatché dont nous avions alerté le diocèse,
avonsâ~@~Pnous appelĂ© au secours sans jamais avoir Ă©tĂ© entendu
? Trop de fois ! Et chacun de ses appels sans retour, Ă©tait une
blessure supplémentaire qui accroissait notre désespérance et
notre souffrance. Pire encore avec l'inversion permanente du bien et
du mal que nous endurons, puisque c'est nous qui sommes désignés
comme nuisibles a notre Ă~Iglise alors que nous en dĂ©fendons les
valeurs les plus sacrées qui font sa spécificité, tel le rôle
vital dĂ©volu aux laĂŻcs qui assure a notre Ă~Iglise son caractère
d'Ă~Iglise du peuple sans lequel elle ne peut survivre.
RĂ©alisezâ~@~Pvous la faute historique, le manquement a la mĂ©moire de
nos martyrs que constitue la désacralisation de la première église
apostolique arménienne construite en France après le génocide par
des rescapĂ©s de celuiâ~@~Pci ? Ce sacrilège, c'est celui qu'a subit
notre bienaimĂ©e Ă©glise Sainteâ~@~PMarie en haut du boulevard de la
Madeleine a Nice et a l'orée de la petite cité arménienne bâtie
par les premiers réfugiés en 1923.
Mémoire bafouée donc, mais aussi droit bafoué et statuts du diocèse
bafouĂ©s car ceuxâ~@~Pci n'autorisaient pas notre Â" exclusion Â".
Nous avons aussi connu la violence physique avec notre Assemblée
Générale du 21 mars 2010 empêchée brutalement et qui a servi, une
fois encore en infraction avec les statuts diocésains, de prétexte
pour disqualifier nos deux délégués et ainsi bâillonner par
l'absence de représentativité notre paroisse lors des assemblées
du diocèse.
La liste est encore longue et nous pourrions comme cela, encore
décliner d'autres rappels douloureux.
Parce que nous sommes tous des citoyens imprégnés des magnifiques
valeurs de notre RĂ©publique Francaise qui n'en doutons pas est le
meilleur modèle d'inspiration pour la jeune République d'Arménie et
toutes ses entités morales, nous ne pouvons pas rester silencieux. Et
quand nous disons Â" nous Â", cela signifie nous tous.
Que chacun retrouve son rĂ´le tel qu'il Ă©tait avant cette crise
déplorable. Notamment le diocèse qui doit se réinscrire dans le
cadre de sa mission au service du seul rayonnement de notre Ă~Iglise.
Nul ne se perd dans le droit chemin...
samedi 12 octobre 2013, Ara ©armenews.com
From: Baghdasarian