DE NOUVELLES PROTESTATIONS CONTRE LA HAUSSE DES TRANSPORTS
Transports
De jeunes militants lancent une nouvelle campagne de protestations
contre la hausse significative du coût du transport public annoncee
par la municipalite d'Erevan.
Dans une action commune, plus de 60 entreprises privees de bus et
minibus avaient exige au debut de la semaine une elevation du prix du
trajet de 100 drams a 150-200 drams, affirmant qu'ils continueraient
sinon a enregistrer de lourdes pertes.
La municipalite avait deja prevu d'augmenter les frais de transport
de plus de 50% en juillet. Mais elle n'a pas reussi a executer la
decision impopulaire en raison de manifestations sans precedent
organisees par des centaines de jeunes.
Le maire d'Erevan, Taron Markarian, n'avait alors pas exclu la
possibilite d'une nouvelle tentative d'augmentation des prix. Il avait
declare que sa decision finale serait basee sur les recommandations
de la commission sur le transport qu'il avait mis en place ad hoc.
Sevak Mamian, l'un des leaders charismatiques du mouvement de la
jeunesse, a decrit l'appel conjoint des entreprises de transport
comme le prelude a une nouvelle flambee des tarifs. Il a prevenu que
les militants se preparent donc a defiler de nouveau dans les rues.
" Je pense que les protestations seront plus importantes que les
precedentes parce que les armeniens ont compris que seule une lutte
massive pourrait produire un resultat ".
La municipalite avait declare en juillet que l'un des facteurs a
l'origine de cette augmentation etait la recente hausse de 50 % du
prix du gaz naturel russe livre a l'Armenie. Or, pratiquement tous
les bus et minibus du pays fonctionnent au gaz liquefie ou comprime.
Les protestataires rejettent cette explication, en fustigeant le
système de transport public d'Erevan mis a mal par la corruption du
gouvernement. Pour eux, la plupart des lignes de bus degageant du
profit sont contrôlees depuis longtemps par de hauts fonctionnaires,
dont le maire, et leurs proches.
jeudi 19 septembre 2013, Claire ©armenews.com
Transports
De jeunes militants lancent une nouvelle campagne de protestations
contre la hausse significative du coût du transport public annoncee
par la municipalite d'Erevan.
Dans une action commune, plus de 60 entreprises privees de bus et
minibus avaient exige au debut de la semaine une elevation du prix du
trajet de 100 drams a 150-200 drams, affirmant qu'ils continueraient
sinon a enregistrer de lourdes pertes.
La municipalite avait deja prevu d'augmenter les frais de transport
de plus de 50% en juillet. Mais elle n'a pas reussi a executer la
decision impopulaire en raison de manifestations sans precedent
organisees par des centaines de jeunes.
Le maire d'Erevan, Taron Markarian, n'avait alors pas exclu la
possibilite d'une nouvelle tentative d'augmentation des prix. Il avait
declare que sa decision finale serait basee sur les recommandations
de la commission sur le transport qu'il avait mis en place ad hoc.
Sevak Mamian, l'un des leaders charismatiques du mouvement de la
jeunesse, a decrit l'appel conjoint des entreprises de transport
comme le prelude a une nouvelle flambee des tarifs. Il a prevenu que
les militants se preparent donc a defiler de nouveau dans les rues.
" Je pense que les protestations seront plus importantes que les
precedentes parce que les armeniens ont compris que seule une lutte
massive pourrait produire un resultat ".
La municipalite avait declare en juillet que l'un des facteurs a
l'origine de cette augmentation etait la recente hausse de 50 % du
prix du gaz naturel russe livre a l'Armenie. Or, pratiquement tous
les bus et minibus du pays fonctionnent au gaz liquefie ou comprime.
Les protestataires rejettent cette explication, en fustigeant le
système de transport public d'Erevan mis a mal par la corruption du
gouvernement. Pour eux, la plupart des lignes de bus degageant du
profit sont contrôlees depuis longtemps par de hauts fonctionnaires,
dont le maire, et leurs proches.
jeudi 19 septembre 2013, Claire ©armenews.com