Kessab
La déchirure
Le journaliste et poète d'AGOS, Karin Karakasli, a visité le village
arménien de Vakifli en Turquie, où les Arméniens déplacés de Kessab se
sont réfugiés.
Le photographe Berge Arabian a pris des cliché de la vie quotidienne
de ces 21 personnes gées entre 65 et 92 ans, restés à Kessab, après
que les rebelles syriens eurent attaqué la ville arménienne de Syrie
du Nord.
Les habitants de Vakifli, un village du Musaler historique (Musa
Dagh), parlent un dialecte semblable au dialecte arménien de Kessab.
Les habitants des deux dernières villes arméniennes de l'Empire
ottoman, l'une à l'intérieur des frontières turques et l'autre à
celles des frontières syriennes, vivent ensemble, ne sachant pas pour
combien de temps encore. Dix autres, jeunes et vieux, n'ont pas
rejoints la population de Lattaquié ou celle de Vakifli. Ils sont
toujours portés disparus.
dimanche 13 avril 2014,
Jean Eckian (c)armenews.com
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=98966
From: A. Papazian
La déchirure
Le journaliste et poète d'AGOS, Karin Karakasli, a visité le village
arménien de Vakifli en Turquie, où les Arméniens déplacés de Kessab se
sont réfugiés.
Le photographe Berge Arabian a pris des cliché de la vie quotidienne
de ces 21 personnes gées entre 65 et 92 ans, restés à Kessab, après
que les rebelles syriens eurent attaqué la ville arménienne de Syrie
du Nord.
Les habitants de Vakifli, un village du Musaler historique (Musa
Dagh), parlent un dialecte semblable au dialecte arménien de Kessab.
Les habitants des deux dernières villes arméniennes de l'Empire
ottoman, l'une à l'intérieur des frontières turques et l'autre à
celles des frontières syriennes, vivent ensemble, ne sachant pas pour
combien de temps encore. Dix autres, jeunes et vieux, n'ont pas
rejoints la population de Lattaquié ou celle de Vakifli. Ils sont
toujours portés disparus.
dimanche 13 avril 2014,
Jean Eckian (c)armenews.com
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=98966
From: A. Papazian